Texte intégral
La mise en place du programme "vacances-travail" franco-canadien, semblable à ceux qui existent depuis 1999 avec le Japon et la Nouvelle Zélande, permettra en année pleine à 500 jeunes de chaque pays de se rendre dans l'autre pour des séjours d'un an maximum en ayant la possibilité d'exercer sans contrainte ni formalité une activité salariée pour compléter leurs ressources financières de départ. L'Accord fixe les conditions dans lesquelles les bénéficiaires du programme se voient délivrer un visa spécifique (ou son équivalent canadien constitué d'une "lettre d'introduction").
Il s'agit d'une formule d'échanges souple et attirante en faveur des jeunes français et canadiens âgés de 18 à 30 ans, qui pourront acquérir une expérience combinant librement tourisme et activité professionnelle dans le pays d'accueil ; ils contribueront ainsi à la diffusion réciproque d'une image moderne de la culture et de la société en France et au Canada, ainsi qu'au renforcement de l'amitié et de la compréhension entre les deux pays.
La conclusion d'un tel accord figurait parmi les propositions du groupe de travail franco-canadien sur la mobilité des personnes, dont la création avait été décidée par les deux Premiers ministres dans une déclaration commune adoptée à Ottawa le 17 décembre 1998.
Un deuxième avenant à l'accord de 1956 relatif aux échanges de stagiaires professionnels, qui porte ces échanges à un chiffre maximum annuel de 300 personnes de part et d'autre à compter de 2001, sera signé au cours de cette même cérémonie./.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 7 février 2001)
Il s'agit d'une formule d'échanges souple et attirante en faveur des jeunes français et canadiens âgés de 18 à 30 ans, qui pourront acquérir une expérience combinant librement tourisme et activité professionnelle dans le pays d'accueil ; ils contribueront ainsi à la diffusion réciproque d'une image moderne de la culture et de la société en France et au Canada, ainsi qu'au renforcement de l'amitié et de la compréhension entre les deux pays.
La conclusion d'un tel accord figurait parmi les propositions du groupe de travail franco-canadien sur la mobilité des personnes, dont la création avait été décidée par les deux Premiers ministres dans une déclaration commune adoptée à Ottawa le 17 décembre 1998.
Un deuxième avenant à l'accord de 1956 relatif aux échanges de stagiaires professionnels, qui porte ces échanges à un chiffre maximum annuel de 300 personnes de part et d'autre à compter de 2001, sera signé au cours de cette même cérémonie./.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 7 février 2001)