Texte intégral
Le ministre d'État, ministre de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables, a présenté une communication relative à la position française dans les négociations internationales sur le changement climatique.
La France entend faire de la lutte contre les changements climatiques une priorité de son action et un axe important de sa diplomatie. Le « Grenelle de l'environnement » lui a accordé une place toute particulière en définissant des programmes d'action concrets pour les transports, l'habitat et
l'énergie.
La France adhère pleinement aux propositions de l'Union européenne, visant notamment à réduire de 20 % ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2020 par rapport à 1990, taux pouvant être porté à 30 % dans le cadre d'un accord international. Le climat sera d'ailleurs une des priorités de la présidence française de l'Union européenne.
Face à un défi de nature planétaire, c'est l'ensemble de la communauté internationale qui doit s'efforcer de définir, de façon urgente, une réponse efficace. La France s'engagera activement, lors de la conférence de Bali sur le changement climatique, en faveur d'un accord qui renforcera et complétera les actions mises en oeuvre au titre du Protocole de Kyoto.
Ce nouveau cadre, qui s'appliquera après 2012, devra intégrer une diversité d'approches et d'actions, adaptées à la phase de développement des pays concernés, permettant notamment aux pays émergeants de prendre part à l'action collective.
Il doit renforcer la solidarité entre pays développés et pays en développement et encourager la coopération en matière de technologie. La France inscrira sa politique de coopération dans ce cadre.La France réitère enfin sa proposition d'examiner la mise en place de mécanismes d'ajustement à la frontière pour les pays qui refuseraient de participer à la lutte contre le changement climatique, de façon à éviter toute concurrence déloyale ou dumping environnemental.
La France entend faire de la lutte contre les changements climatiques une priorité de son action et un axe important de sa diplomatie. Le « Grenelle de l'environnement » lui a accordé une place toute particulière en définissant des programmes d'action concrets pour les transports, l'habitat et
l'énergie.
La France adhère pleinement aux propositions de l'Union européenne, visant notamment à réduire de 20 % ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2020 par rapport à 1990, taux pouvant être porté à 30 % dans le cadre d'un accord international. Le climat sera d'ailleurs une des priorités de la présidence française de l'Union européenne.
Face à un défi de nature planétaire, c'est l'ensemble de la communauté internationale qui doit s'efforcer de définir, de façon urgente, une réponse efficace. La France s'engagera activement, lors de la conférence de Bali sur le changement climatique, en faveur d'un accord qui renforcera et complétera les actions mises en oeuvre au titre du Protocole de Kyoto.
Ce nouveau cadre, qui s'appliquera après 2012, devra intégrer une diversité d'approches et d'actions, adaptées à la phase de développement des pays concernés, permettant notamment aux pays émergeants de prendre part à l'action collective.
Il doit renforcer la solidarité entre pays développés et pays en développement et encourager la coopération en matière de technologie. La France inscrira sa politique de coopération dans ce cadre.La France réitère enfin sa proposition d'examiner la mise en place de mécanismes d'ajustement à la frontière pour les pays qui refuseraient de participer à la lutte contre le changement climatique, de façon à éviter toute concurrence déloyale ou dumping environnemental.