Texte intégral
La remise du rapport sur l'adoption de M. Jean-Marie Colombani au président de la République représente un réel espoir pour toutes les familles françaises engagées dans une démarche d'adoption.
Je salue la qualité du travail d'analyse et d'évaluation conduit par M. Jean-Marie Colombani et son équipe qui ont dressé en quelques mois un "état des lieux" complet de l'adoption en France et placé d'emblée les droits de l'enfant au centre de leurs réflexions.
Parmi les trente-deux propositions du rapport, je note avec un grand intérêt celles qui visent à mettre en oeuvre une authentique stratégie pour l'adoption internationale en clarifiant les missions de l'Autorité centrale pour l'adoption internationale. Je relève aussi celles qui ont pour objectif d'apporter aux familles candidates à l'adoption une meilleure information sur la réalité de l'adoption nationale et internationale pendant la phase d'agrément.
L'amélioration des conditions de l'adoption internationale pour les Français est une de mes priorités. Les familles et les associations engagées dans ces démarches peuvent compter sur mon engagement personnel et celui de toutes nos ambassades. Après avoir évoqué ce sujet en Haïti en septembre dernier avec le président Préval, je l'aborderai lors de prochains déplacements au Cambodge et au Népal où de nombreuses familles françaises, engagées dans une démarche d'adoption, rencontrent des difficultés.
Ambitieux et pragmatique, le rapport remis aujourd'hui au président de la République a pris la mesure exacte des obstacles à l'adoption en France. Il constitue ainsi une première et très solide étape vers l'objectif fixé par le président de la République et le Premier ministre en octobre dernier : permettre à un plus grand nombre de familles d'adopter en rendant le système français plus efficace.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 20 mars 2008
Je salue la qualité du travail d'analyse et d'évaluation conduit par M. Jean-Marie Colombani et son équipe qui ont dressé en quelques mois un "état des lieux" complet de l'adoption en France et placé d'emblée les droits de l'enfant au centre de leurs réflexions.
Parmi les trente-deux propositions du rapport, je note avec un grand intérêt celles qui visent à mettre en oeuvre une authentique stratégie pour l'adoption internationale en clarifiant les missions de l'Autorité centrale pour l'adoption internationale. Je relève aussi celles qui ont pour objectif d'apporter aux familles candidates à l'adoption une meilleure information sur la réalité de l'adoption nationale et internationale pendant la phase d'agrément.
L'amélioration des conditions de l'adoption internationale pour les Français est une de mes priorités. Les familles et les associations engagées dans ces démarches peuvent compter sur mon engagement personnel et celui de toutes nos ambassades. Après avoir évoqué ce sujet en Haïti en septembre dernier avec le président Préval, je l'aborderai lors de prochains déplacements au Cambodge et au Népal où de nombreuses familles françaises, engagées dans une démarche d'adoption, rencontrent des difficultés.
Ambitieux et pragmatique, le rapport remis aujourd'hui au président de la République a pris la mesure exacte des obstacles à l'adoption en France. Il constitue ainsi une première et très solide étape vers l'objectif fixé par le président de la République et le Premier ministre en octobre dernier : permettre à un plus grand nombre de familles d'adopter en rendant le système français plus efficace.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 20 mars 2008