Texte intégral
La ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi a présenté une communication relative au renforcement de l'attractivité de la France.
L'attractivité d'un pays est l'une des clés du succès dans l'économie mondialisée. La France dispose de nombreux atouts, au premier rang desquels sa présence au coeur de l'Union européenne - le plus grand marché intégré au monde -, une main-d'oeuvre qualifiée et productive, la performance et la densité de ses infrastructures, ainsi que sa qualité de vie. Pourtant, les différentes études économiques comparatives sur l'attractivité de notre pays portent un jugement en demi-teinte, même si une amélioration, récente mais encore fragile, est perceptible.
Le premier des facteurs d'attractivité d'un territoire est le dynamisme de son économie. Le programme de réformes structurelles engagées par le Président de la République et le Gouvernement depuis un an est donc le premier des leviers d'action pour consolider et accroître l'attractivité du pays. En complément, un travail de fond a été engagé pour concevoir et mettre en oeuvre des mesures ciblées : le suivi assuré par l'Agence française pour les investissements internationaux (AFII) identifie une centaine de mesures concrètes, portant notamment sur l'encouragement à la venue « d'impatriés » de haut niveau, l'accueil d'étudiants et de chercheurs étrangers ou l'environnement économique et fiscal des entreprises.
Deux réformes récentes contribuent à renforcer davantage l'attractivité de la France. La première est le nouveau dispositif de crédit d'impôt recherche, en vigueur depuis janvier 2008. Avec des taux d'intervention relevés, des règles plus simples et plus lisibles, le nouveau système est le plus favorable des pays de l'OCDE. La France se dote ainsi d'un atout majeur pour favoriser et pérenniser l'installation sur son territoire des centres de recherche et développement des entreprises. Le second facteur de progrès est le projet de loi de modernisation de l'économie, actuellement en discussion au Parlement. Il comporte un volet spécifique de mesures destinées à attirer les talents, les idées et les capitaux au service de la croissance et de l'emploi.
Pour que la France continue à bénéficier des retombées positives des investissements étrangers, une attention particulière doit être accordée à la réussite des dispositifs mis en place. Il convient également de maintenir les efforts engagés en poursuivant la politique de réformes structurelles et la mise en oeuvre de mesures plus spécifiquement ciblées sur l'amélioration de l'attractivité de la France.
L'attractivité d'un pays est l'une des clés du succès dans l'économie mondialisée. La France dispose de nombreux atouts, au premier rang desquels sa présence au coeur de l'Union européenne - le plus grand marché intégré au monde -, une main-d'oeuvre qualifiée et productive, la performance et la densité de ses infrastructures, ainsi que sa qualité de vie. Pourtant, les différentes études économiques comparatives sur l'attractivité de notre pays portent un jugement en demi-teinte, même si une amélioration, récente mais encore fragile, est perceptible.
Le premier des facteurs d'attractivité d'un territoire est le dynamisme de son économie. Le programme de réformes structurelles engagées par le Président de la République et le Gouvernement depuis un an est donc le premier des leviers d'action pour consolider et accroître l'attractivité du pays. En complément, un travail de fond a été engagé pour concevoir et mettre en oeuvre des mesures ciblées : le suivi assuré par l'Agence française pour les investissements internationaux (AFII) identifie une centaine de mesures concrètes, portant notamment sur l'encouragement à la venue « d'impatriés » de haut niveau, l'accueil d'étudiants et de chercheurs étrangers ou l'environnement économique et fiscal des entreprises.
Deux réformes récentes contribuent à renforcer davantage l'attractivité de la France. La première est le nouveau dispositif de crédit d'impôt recherche, en vigueur depuis janvier 2008. Avec des taux d'intervention relevés, des règles plus simples et plus lisibles, le nouveau système est le plus favorable des pays de l'OCDE. La France se dote ainsi d'un atout majeur pour favoriser et pérenniser l'installation sur son territoire des centres de recherche et développement des entreprises. Le second facteur de progrès est le projet de loi de modernisation de l'économie, actuellement en discussion au Parlement. Il comporte un volet spécifique de mesures destinées à attirer les talents, les idées et les capitaux au service de la croissance et de l'emploi.
Pour que la France continue à bénéficier des retombées positives des investissements étrangers, une attention particulière doit être accordée à la réussite des dispositifs mis en place. Il convient également de maintenir les efforts engagés en poursuivant la politique de réformes structurelles et la mise en oeuvre de mesures plus spécifiquement ciblées sur l'amélioration de l'attractivité de la France.