Texte intégral
L'attribution à la France des Championnats du Monde d'Athlétisme de 2003 est une formidable nouvelle pour tout le sport français.
Je tiens bien sûr à remercier le Président et les membres du Conseil de la Fédération Internationale d'Athlétisme de leur confiance.
Je tiens également à souligner que le succès de la candidature française doit beaucoup au soutien apporté par l'État et par toutes les collectivités concernées : la région Ile-de-France, le département de la Seine-Saint-Denis, les villes de Paris et de Saint-Denis, auxquels je veux également associer le Stade de France et la RATP.
Ainsi, après la Coupe du monde de football en 1998, après l'Euro de basket en 99, les championnats du monde de patinage artistique qui viennent de se dérouler à Nice, les championnats du monde de handball l'an prochain, c'est l'un des plus grands évènements sportifs internationaux que notre pays accueillera en 2003.
Cette série ininterrompue démontre que la France est bien reconnue comme une terre d'accueil de la planète sport.
Ainsi, ceux qui annonçaient un isolement de la France en raison de son engagement très ferme dans la lutte contre le dopage, se sont trompés.
Pour préparer et réussir ces championnats du monde de 2003, nous disposons de nombreux atouts.
Des atouts techniques bien sûr, avec un stade qui a acquis une renommée internationale en moins de trois ans, avec des services publics de qualité, avec un savoir-faire et des compétences humaines reconnus.
Mais je veux surtout insister sur le fait que notre premier atout pour réussir ce rendez-vous mondial, sera le mouvement sportif lui-même, ses associations, ses clubs, ses éducateurs et ses bénévoles.
Je suis persuadée que cette mobilisation ira bien au-delà de la Fédération Française d'Athlétisme et de ses clubs.
Ces championnats du monde devront être une grande et belle fête du sport, ouverte sur le monde, porteuse d'un message de solidarité et de fraternité.
Mon ministère va s'engager en ce sens, au côté de la Fédération Française d'Athlétisme pour réussir ce rendez-vous.
(Source http://www.jeunesse-sports.gouv.fr, le 26 avril 2000).
Je tiens bien sûr à remercier le Président et les membres du Conseil de la Fédération Internationale d'Athlétisme de leur confiance.
Je tiens également à souligner que le succès de la candidature française doit beaucoup au soutien apporté par l'État et par toutes les collectivités concernées : la région Ile-de-France, le département de la Seine-Saint-Denis, les villes de Paris et de Saint-Denis, auxquels je veux également associer le Stade de France et la RATP.
Ainsi, après la Coupe du monde de football en 1998, après l'Euro de basket en 99, les championnats du monde de patinage artistique qui viennent de se dérouler à Nice, les championnats du monde de handball l'an prochain, c'est l'un des plus grands évènements sportifs internationaux que notre pays accueillera en 2003.
Cette série ininterrompue démontre que la France est bien reconnue comme une terre d'accueil de la planète sport.
Ainsi, ceux qui annonçaient un isolement de la France en raison de son engagement très ferme dans la lutte contre le dopage, se sont trompés.
Pour préparer et réussir ces championnats du monde de 2003, nous disposons de nombreux atouts.
Des atouts techniques bien sûr, avec un stade qui a acquis une renommée internationale en moins de trois ans, avec des services publics de qualité, avec un savoir-faire et des compétences humaines reconnus.
Mais je veux surtout insister sur le fait que notre premier atout pour réussir ce rendez-vous mondial, sera le mouvement sportif lui-même, ses associations, ses clubs, ses éducateurs et ses bénévoles.
Je suis persuadée que cette mobilisation ira bien au-delà de la Fédération Française d'Athlétisme et de ses clubs.
Ces championnats du monde devront être une grande et belle fête du sport, ouverte sur le monde, porteuse d'un message de solidarité et de fraternité.
Mon ministère va s'engager en ce sens, au côté de la Fédération Française d'Athlétisme pour réussir ce rendez-vous.
(Source http://www.jeunesse-sports.gouv.fr, le 26 avril 2000).