Texte intégral
Les négociations intergouvernementales sur la réforme du Conseil de sécurité ont été lancées hier, conformément à notre souhait et au calendrier fixé par l'Assemblée générale dans sa décision du 15 septembre dernier. C'est une étape importante : l'essentiel est d'engager sans tarder de réelles négociations, et non plus seulement des discussions que nous avons suffisamment menées dans le cadre de l'Assemblée générale.
Comme l'a rappelé le président de la République dans ses voeux au corps diplomatique, le 16 janvier 2009, la réforme du Conseil de sécurité est un impératif dans le cadre de la réforme des institutions internationales.
Il est de notre intérêt de travailler à la réforme du Conseil de sécurité des Nations unies afin d'améliorer son efficacité et sa légitimité dans la résolution des crises. Le Conseil de sécurité doit mieux représenter le monde d'aujourd'hui tout en restant capable de prendre les mesures nécessaires face aux problèmes de sécurité qui se posent au XXIe siècle.
La réforme du Conseil de sécurité passe par un élargissement du nombre de sièges permanents et non-permanents. Nous soutenons l'accession à un siège de membre permanent de l'Allemagne, du Brésil, de l'Inde et du Japon, ainsi qu'une plus juste représentation de l'Afrique et des pays arabes au Conseil de sécurité.
Afin de permettre d'aboutir plus sûrement à une réforme du Conseil de sécurité, nous soutenons l'option d'une réforme intérimaire, comme l'a rappelé le président de la République le 16 janvier dernier. Cette option doit nous permettre d'avancer en testant les paramètres d'une réforme du Conseil de sécurité.
Afin de parvenir à une réforme efficace, un engagement politique des États membres au plus haut niveau est nécessaire pour assurer aux négociations intergouvernementales le soutien et la dynamique nécessaires.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 23 février 2009
Comme l'a rappelé le président de la République dans ses voeux au corps diplomatique, le 16 janvier 2009, la réforme du Conseil de sécurité est un impératif dans le cadre de la réforme des institutions internationales.
Il est de notre intérêt de travailler à la réforme du Conseil de sécurité des Nations unies afin d'améliorer son efficacité et sa légitimité dans la résolution des crises. Le Conseil de sécurité doit mieux représenter le monde d'aujourd'hui tout en restant capable de prendre les mesures nécessaires face aux problèmes de sécurité qui se posent au XXIe siècle.
La réforme du Conseil de sécurité passe par un élargissement du nombre de sièges permanents et non-permanents. Nous soutenons l'accession à un siège de membre permanent de l'Allemagne, du Brésil, de l'Inde et du Japon, ainsi qu'une plus juste représentation de l'Afrique et des pays arabes au Conseil de sécurité.
Afin de permettre d'aboutir plus sûrement à une réforme du Conseil de sécurité, nous soutenons l'option d'une réforme intérimaire, comme l'a rappelé le président de la République le 16 janvier dernier. Cette option doit nous permettre d'avancer en testant les paramètres d'une réforme du Conseil de sécurité.
Afin de parvenir à une réforme efficace, un engagement politique des États membres au plus haut niveau est nécessaire pour assurer aux négociations intergouvernementales le soutien et la dynamique nécessaires.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 23 février 2009