Texte intégral
Comme le Secrétaire général des Nations unies, nous sommes profondément préoccupés par la situation humanitaire au Sri Lanka et le sort dramatique des dizaines de milliers de civils pris en otage pas les combats.
Le refus du LTTE que les populations civiles puissent fuir la zone est inacceptable et bafoue le droit international humanitaire.
Comme nous l'avons dit aux autorités sri lankaises, il est de leur responsabilité que tout soit mis en oeuvre pour favoriser l'acheminement de l'aide humanitaire et l'accueil des populations civiles dans les sites de transit et les camps de réfugiés, dans le respect du droit humanitaire international. L'accès sans entrave des populations civiles déplacées à l'aide humanitaire est crucial.
La France appelle tous les acteurs à s'abstenir de tout acte qui pourrait aggraver encore une situation déjà catastrophique.
Nous souhaitons qu'une réunion du Conseil de sécurité puisse se tenir aujourd'hui et qu'elle soit l'occasion de rappeler la nécessité absolue de protéger les populations civiles et de permettre leur évacuation.
La France, qui a déjà décidé d'accroître son soutien aux ONG travaillant au Sri Lanka, examine avec ses principaux partenaires les moyens de renforcer son action en faveur des populations civiles.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 23 avril 2009
Le refus du LTTE que les populations civiles puissent fuir la zone est inacceptable et bafoue le droit international humanitaire.
Comme nous l'avons dit aux autorités sri lankaises, il est de leur responsabilité que tout soit mis en oeuvre pour favoriser l'acheminement de l'aide humanitaire et l'accueil des populations civiles dans les sites de transit et les camps de réfugiés, dans le respect du droit humanitaire international. L'accès sans entrave des populations civiles déplacées à l'aide humanitaire est crucial.
La France appelle tous les acteurs à s'abstenir de tout acte qui pourrait aggraver encore une situation déjà catastrophique.
Nous souhaitons qu'une réunion du Conseil de sécurité puisse se tenir aujourd'hui et qu'elle soit l'occasion de rappeler la nécessité absolue de protéger les populations civiles et de permettre leur évacuation.
La France, qui a déjà décidé d'accroître son soutien aux ONG travaillant au Sri Lanka, examine avec ses principaux partenaires les moyens de renforcer son action en faveur des populations civiles.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 23 avril 2009