Texte intégral
Q - A propos de l'Iran, y aura-t-il une rencontre le 1er octobre ?
R - Vous savez combien il y a eu de rencontres avec l'Iran ? Beaucoup, beaucoup, beaucoup. Nous allons en faire une de plus, c'est très bien, je n'en attends pas grand-chose, hélas. Nous avons beaucoup rencontré l'Iran, nous continuons à rencontrer l'Iran. Il faut toujours parler, donc nous allons parler.
Q - Faut-il aussi insister sur les sanctions ?
R - Il faut insister sur les vrais sujets qui ne sont pas abordés dans le document iranien.
Q - Y aura-t-il encore beaucoup de réunions après ?
R - Il y en aura probablement une à New York. Encore une fois, j'y suis très favorable. Nous avons souvent rencontré les Iraniens, nous avons envoyé des représentants en Iran. Maintenant, nous pensons qu'il faudrait parler des vrais sujets qui concernent les Iraniens, comme le Moyen-Orient et comme le reste du monde.
Q - La perspective d'une adhésion à l'Union européenne des pays des Balkans est-elle toujours d'actualités ?
R - Mais oui bien sûr ! D'ailleurs nous avançons. Malheureusement, il y a eu une manifestation pas très agréable à Pristina. Les voitures qui représentaient Eulex ont été cassées par les gens que l'on aide, ce n'est pas une façon de faire! Je vais aller en Serbie, les Balkans rentreront dans l'Europe.
Q - Et l'accord intérimaire avec la Serbie, sera-t-il décongelé ou pas ?
R - Je pense, du moins ce qui se décongèle et qui est nouveau, c'est entre la Slovénie et la Croatie. Et j'espère progressivement que tout se débloquera. La France est favorable, depuis toujours, à l'entrée des pays des Balkans occidentaux dans l'Union européenne.
Q - Pour la conférence en décembre ?
R - Oui.
Q - Pour la Croatie, M. Olli Rehn a parlé d'un calendrier à quelques mois...
R - Il doit être mieux informé que moi. Nous avons vu qu'entre la Slovénie et la Croatie, la situation semble apparemment s'être débloquée. Attendons les actes. Je crois qu'un vote du Parlement slovène doit avoir lieu, mais c'est déjà très encourageant. J'ai toujours pensé qu'il était préférable de les laisser agir en bilatéral, il y a eu tellement de tentatives de la part des dirigeants européens et aujourd'hui, la situation semble se débloquer.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 17 septembre 2009
R - Vous savez combien il y a eu de rencontres avec l'Iran ? Beaucoup, beaucoup, beaucoup. Nous allons en faire une de plus, c'est très bien, je n'en attends pas grand-chose, hélas. Nous avons beaucoup rencontré l'Iran, nous continuons à rencontrer l'Iran. Il faut toujours parler, donc nous allons parler.
Q - Faut-il aussi insister sur les sanctions ?
R - Il faut insister sur les vrais sujets qui ne sont pas abordés dans le document iranien.
Q - Y aura-t-il encore beaucoup de réunions après ?
R - Il y en aura probablement une à New York. Encore une fois, j'y suis très favorable. Nous avons souvent rencontré les Iraniens, nous avons envoyé des représentants en Iran. Maintenant, nous pensons qu'il faudrait parler des vrais sujets qui concernent les Iraniens, comme le Moyen-Orient et comme le reste du monde.
Q - La perspective d'une adhésion à l'Union européenne des pays des Balkans est-elle toujours d'actualités ?
R - Mais oui bien sûr ! D'ailleurs nous avançons. Malheureusement, il y a eu une manifestation pas très agréable à Pristina. Les voitures qui représentaient Eulex ont été cassées par les gens que l'on aide, ce n'est pas une façon de faire! Je vais aller en Serbie, les Balkans rentreront dans l'Europe.
Q - Et l'accord intérimaire avec la Serbie, sera-t-il décongelé ou pas ?
R - Je pense, du moins ce qui se décongèle et qui est nouveau, c'est entre la Slovénie et la Croatie. Et j'espère progressivement que tout se débloquera. La France est favorable, depuis toujours, à l'entrée des pays des Balkans occidentaux dans l'Union européenne.
Q - Pour la conférence en décembre ?
R - Oui.
Q - Pour la Croatie, M. Olli Rehn a parlé d'un calendrier à quelques mois...
R - Il doit être mieux informé que moi. Nous avons vu qu'entre la Slovénie et la Croatie, la situation semble apparemment s'être débloquée. Attendons les actes. Je crois qu'un vote du Parlement slovène doit avoir lieu, mais c'est déjà très encourageant. J'ai toujours pensé qu'il était préférable de les laisser agir en bilatéral, il y a eu tellement de tentatives de la part des dirigeants européens et aujourd'hui, la situation semble se débloquer.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 17 septembre 2009