Texte intégral
Mesdames et Messieurs,
J'ai eu le bonheur de recevoir le sénateur George Mitchell. Ce n'est pas la première fois que nous nous rencontrons et ce n'est pas la dernière. J'ai toujours l'espoir qu'avec un tel homme, dévouant tout son temps à la paix au Proche-Orient, à la création d'un Etat palestinien et tentant, en permanence, de trouver les terrains d'entente entre les Palestiniens et les Israéliens, ils puissent à nouveau se parler, avec l'espoir d'une paix qui comprendrait un Etat palestinien stable, démocratique et viable.
Nous avons parlé de cela et, bien entendu, nous nous retrouverons, George Mitchell et moi-même, demain à Bruxelles. Nous ne serons pas seuls. Il y aura notamment Catherine Ashton, Haut représentant de l'Union pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, Tony Blair, émissaire du Quartet pour le Proche-Orient et Jonas Gahr Stoere, ministre norvégien des Affaires étrangères
Pierre Duquesne, ambassadeur chargé notamment du suivi de la Conférence de Paris présent aujourd'hui, pourrait vous rappeler par les chiffres même, les espoirs qui étaient nés à ce moment là et l'importance d'assurer le suivi de cette initiative pour un Etat palestinien.
Les choses avancent, si on peut dire. Parfois, ce n'est pas suffisant de l'affirmer mais nous continuons, nous nous obstinons et, grâce au sénateur Mitchell, nous avons toutes les raisons de penser qu'il faut vraiment continuer.
Je ne vous décrirai pas la situation au Proche-Orient, et le sénateur Mitchell ne va pas le faire non plus. Je le remercie d'être passé à Paris et d'avoir consacré à cette étape quelques heures de son emploi du temps bien chargé, avant Bruxelles et avant sa tournée au Proche-Orient. Je lui renouvelle mon amitié, le soutien et l'assurance de la coopération de la France.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 12 janvier 2010
J'ai eu le bonheur de recevoir le sénateur George Mitchell. Ce n'est pas la première fois que nous nous rencontrons et ce n'est pas la dernière. J'ai toujours l'espoir qu'avec un tel homme, dévouant tout son temps à la paix au Proche-Orient, à la création d'un Etat palestinien et tentant, en permanence, de trouver les terrains d'entente entre les Palestiniens et les Israéliens, ils puissent à nouveau se parler, avec l'espoir d'une paix qui comprendrait un Etat palestinien stable, démocratique et viable.
Nous avons parlé de cela et, bien entendu, nous nous retrouverons, George Mitchell et moi-même, demain à Bruxelles. Nous ne serons pas seuls. Il y aura notamment Catherine Ashton, Haut représentant de l'Union pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, Tony Blair, émissaire du Quartet pour le Proche-Orient et Jonas Gahr Stoere, ministre norvégien des Affaires étrangères
Pierre Duquesne, ambassadeur chargé notamment du suivi de la Conférence de Paris présent aujourd'hui, pourrait vous rappeler par les chiffres même, les espoirs qui étaient nés à ce moment là et l'importance d'assurer le suivi de cette initiative pour un Etat palestinien.
Les choses avancent, si on peut dire. Parfois, ce n'est pas suffisant de l'affirmer mais nous continuons, nous nous obstinons et, grâce au sénateur Mitchell, nous avons toutes les raisons de penser qu'il faut vraiment continuer.
Je ne vous décrirai pas la situation au Proche-Orient, et le sénateur Mitchell ne va pas le faire non plus. Je le remercie d'être passé à Paris et d'avoir consacré à cette étape quelques heures de son emploi du temps bien chargé, avant Bruxelles et avant sa tournée au Proche-Orient. Je lui renouvelle mon amitié, le soutien et l'assurance de la coopération de la France.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 12 janvier 2010