Texte intégral
Le Président de la République a tenu aujourd'hui à 17 heures une réunion de suivi du Plan Alzheimer, en présence du Premier ministre, de M. Xavier DARCOS, ministre du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville, de Mme Valérie PECRESSE, ministre de la recherche, de Mme Roselyne BACHELOT-NARQUIN, ministre de la santé et des sports, ainsi que de Mme Nora BERRA, secrétaire d'Etat en charge des Aînés. Mme Florence LUSTMAN, chargée du Plan Alzheimer, le Pr Joël MENARD, auteur du rapport sur le Plan Alzheimer, Mme Arlette MEYRIEUX, présidente de France Alzheimer, M. Philippe LAGAYETTE, président de la fondation de coopération scientifique (FCS) dédiée à la recherche sur la maladie d'Alzheimer et les maladies apparentées, le Pr Philippe AMOUYEL, directeur scientifique de la FCS, ainsi que le Pr Françoise FORETTE, présidente du Collectif Alzheimer, participaient aussi à la réunion.
Cette réunion, troisième du genre, était organisée à l'occasion du deuxième anniversaire du lancement du Plan Alzheimer.
Le chef de l'Etat a constaté les progrès réalisés, grâce au Plan, dans le domaine de la recherche. Il a en particulier salué la découverte en 2009 par une équipe française de deux gènes associés à la maladie. Il s'agit d'une étape importante dans la compréhension de cette dernière. 61 projets de recherche, financés à hauteur de 30 Meuros par le Plan, sont en cours. 54 nouveaux chercheurs ont été recrutés en deux ans.
En attendant l'arrivée éventuelle d'un traitement, le diagnostic et la prise en charge se renforcent. Le territoire est désormais maillé en lieux de diagnostic, à l'hôpital ou auprès des neurologues libéraux. 11 expérimentations de plateformes de répit sont en cours, qui permettent d'offrir aux familles une diversité de solutions de répit. La formation des aidants familiaux, soit 14 heures, pour améliorer le quotidien, actuellement dispensée par France Alzheimer et financée par le Plan, a démarré. Les 17 expérimentations de Maisons pour l'accueil et intégration des malades d'Alzheimer (MAIA), portes d'entrée unique dans le dispositif de prise en charge, intègrent les interventions sanitaires et médico-sociales au plan local. Enfin, 40 équipes de services de soins infirmiers à domicile (SSIAD) ont été créées en 2009, pour proposer aux personnes malades de la réhabilitation au domicile par des professionnels formés.
Pour accélérer les évolutions prévues par le Plan, le Président de la République a demandé au Premier ministre de fixer un objectif national de formation de nouveaux professionnels (assistants de soins en gérontologie, psychomotriciens, ergothérapeutes) dont le rôle est indispensable pour améliorer la qualité de vie des patients et des aidants. Il a également demandé qu'un objectif soit défini région par région s'agissant de la création d'unités spécialisées dans les maisons de retraite pour les personnes présentant des troubles modérés du comportement.
Cette réunion, troisième du genre, était organisée à l'occasion du deuxième anniversaire du lancement du Plan Alzheimer.
Le chef de l'Etat a constaté les progrès réalisés, grâce au Plan, dans le domaine de la recherche. Il a en particulier salué la découverte en 2009 par une équipe française de deux gènes associés à la maladie. Il s'agit d'une étape importante dans la compréhension de cette dernière. 61 projets de recherche, financés à hauteur de 30 Meuros par le Plan, sont en cours. 54 nouveaux chercheurs ont été recrutés en deux ans.
En attendant l'arrivée éventuelle d'un traitement, le diagnostic et la prise en charge se renforcent. Le territoire est désormais maillé en lieux de diagnostic, à l'hôpital ou auprès des neurologues libéraux. 11 expérimentations de plateformes de répit sont en cours, qui permettent d'offrir aux familles une diversité de solutions de répit. La formation des aidants familiaux, soit 14 heures, pour améliorer le quotidien, actuellement dispensée par France Alzheimer et financée par le Plan, a démarré. Les 17 expérimentations de Maisons pour l'accueil et intégration des malades d'Alzheimer (MAIA), portes d'entrée unique dans le dispositif de prise en charge, intègrent les interventions sanitaires et médico-sociales au plan local. Enfin, 40 équipes de services de soins infirmiers à domicile (SSIAD) ont été créées en 2009, pour proposer aux personnes malades de la réhabilitation au domicile par des professionnels formés.
Pour accélérer les évolutions prévues par le Plan, le Président de la République a demandé au Premier ministre de fixer un objectif national de formation de nouveaux professionnels (assistants de soins en gérontologie, psychomotriciens, ergothérapeutes) dont le rôle est indispensable pour améliorer la qualité de vie des patients et des aidants. Il a également demandé qu'un objectif soit défini région par région s'agissant de la création d'unités spécialisées dans les maisons de retraite pour les personnes présentant des troubles modérés du comportement.