Texte intégral
Madame la Ministre,
Monsieur le Délégué général du Québec,
Monsieur le Secrétaire général du Comité bilatéral de l'Entente,
Mesdames et Messieurs les Représentants des Ordres professionnels, des ministères et organismes du Québec et de la France
Chers Amis,
Je suis très heureux de me retrouver parmi vous pour cette cérémonie de signature des Arrangements de reconnaissance mutuelle.
Le président de la République et le Premier ministre du Québec ont signé le 17 octobre 2008 à Québec une entente historique, qui a ouvert la voie aux Arrangements que vous allez conclure aujourd'hui.
Ces Arrangements permettront de faciliter l'exercice de ces professions et métiers réglementés, au Québec ou en France, par les personnes ayant acquis leur qualification de l'autre côté de l'Atlantique.
L'objectif est ainsi d'établir un espace de mobilité professionnelle transatlantique entre la France et le Québec.
Et ce n'est là que le début, puisque cet espace est susceptible, à terme, d'être élargi à l'ensemble de l'Union européenne et du Canada, dans le cadre de la négociation en cours de l'accord de partenariat économique entre ces deux entités.
En 2008, le président de la République et le Premier ministre du Québec avaient établi un calendrier ambitieux pour mettre en oeuvre cette Entente. Deux ans après cette signature, force est de constater que le pari a été tenu.
Je salue donc l'ampleur du travail accompli conjointement par les secrétaires généraux, M. Doutriaux (ci-présent) du côté français et M. Rémillard du côté québécois mais également par les autorités compétentes : ministères, ordres professionnels, chambres des métiers, Office français de l'Immigration et de l'Intégration... Cet effort mutuel a permis de rapprocher les régimes français et québécois qui diffèrent dans leurs fonctionnements.
Avec les signatures d'aujourd'hui, ce seront 65 Arrangements de reconnaissance mutuelle qui auront été conclus entre la France et le Québec.
Ils concernent des professions extrêmement variées, boulangers, pâtissiers, ingénieurs chimistes, psychologues ou encore professionnels de certains secteurs de l'automobile.
D'autres métiers sont, logiquement appelés à suivre à échéance rapprochée.
En tout état de cause, cette cérémonie vient conclure un cycle important de l'entente entre la France et le Québec: la plupart des négociations d'Arrangements de reconnaissance mutuelle sont arrivées à leur terme.
Il reste maintenant à procéder à l'entrée en vigueur effective des Arrangements signés aujourd'hui. Cette mise en application doit être la plus rapide possible, pour que les professionnels puissent en bénéficier dans les meilleurs délais et que la démarche engagée soit renforcée dans sa crédibilité.
A cet égard, il est essentiel que tous les acteurs de l'Entente se mobilisent pour informer le public de ces nouvelles opportunités. Une communication conjointe, la plus large possible, est nécessaire pour que l'Entente accomplisse son objectif.
Mesdames et Messieurs, c'est avec plaisir que je participe à cet événement du partenariat franco-québécois. Un événement aux conséquences concrètes, qui vont réellement changer la vie de ceux de nos concitoyens, Français ou Québécois, qui décident de tenter leur chance de l'autre côté de l'Atlantique.
Je vous remercie. Je crois maintenant qu'il va être procédé à la signature des arrangements entre les représentants des différents ordres professionnels.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 25 novembre 2010
Monsieur le Délégué général du Québec,
Monsieur le Secrétaire général du Comité bilatéral de l'Entente,
Mesdames et Messieurs les Représentants des Ordres professionnels, des ministères et organismes du Québec et de la France
Chers Amis,
Je suis très heureux de me retrouver parmi vous pour cette cérémonie de signature des Arrangements de reconnaissance mutuelle.
Le président de la République et le Premier ministre du Québec ont signé le 17 octobre 2008 à Québec une entente historique, qui a ouvert la voie aux Arrangements que vous allez conclure aujourd'hui.
Ces Arrangements permettront de faciliter l'exercice de ces professions et métiers réglementés, au Québec ou en France, par les personnes ayant acquis leur qualification de l'autre côté de l'Atlantique.
L'objectif est ainsi d'établir un espace de mobilité professionnelle transatlantique entre la France et le Québec.
Et ce n'est là que le début, puisque cet espace est susceptible, à terme, d'être élargi à l'ensemble de l'Union européenne et du Canada, dans le cadre de la négociation en cours de l'accord de partenariat économique entre ces deux entités.
En 2008, le président de la République et le Premier ministre du Québec avaient établi un calendrier ambitieux pour mettre en oeuvre cette Entente. Deux ans après cette signature, force est de constater que le pari a été tenu.
Je salue donc l'ampleur du travail accompli conjointement par les secrétaires généraux, M. Doutriaux (ci-présent) du côté français et M. Rémillard du côté québécois mais également par les autorités compétentes : ministères, ordres professionnels, chambres des métiers, Office français de l'Immigration et de l'Intégration... Cet effort mutuel a permis de rapprocher les régimes français et québécois qui diffèrent dans leurs fonctionnements.
Avec les signatures d'aujourd'hui, ce seront 65 Arrangements de reconnaissance mutuelle qui auront été conclus entre la France et le Québec.
Ils concernent des professions extrêmement variées, boulangers, pâtissiers, ingénieurs chimistes, psychologues ou encore professionnels de certains secteurs de l'automobile.
D'autres métiers sont, logiquement appelés à suivre à échéance rapprochée.
En tout état de cause, cette cérémonie vient conclure un cycle important de l'entente entre la France et le Québec: la plupart des négociations d'Arrangements de reconnaissance mutuelle sont arrivées à leur terme.
Il reste maintenant à procéder à l'entrée en vigueur effective des Arrangements signés aujourd'hui. Cette mise en application doit être la plus rapide possible, pour que les professionnels puissent en bénéficier dans les meilleurs délais et que la démarche engagée soit renforcée dans sa crédibilité.
A cet égard, il est essentiel que tous les acteurs de l'Entente se mobilisent pour informer le public de ces nouvelles opportunités. Une communication conjointe, la plus large possible, est nécessaire pour que l'Entente accomplisse son objectif.
Mesdames et Messieurs, c'est avec plaisir que je participe à cet événement du partenariat franco-québécois. Un événement aux conséquences concrètes, qui vont réellement changer la vie de ceux de nos concitoyens, Français ou Québécois, qui décident de tenter leur chance de l'autre côté de l'Atlantique.
Je vous remercie. Je crois maintenant qu'il va être procédé à la signature des arrangements entre les représentants des différents ordres professionnels.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 25 novembre 2010