Texte intégral
La ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche a présenté une communication relative à l'autonomie des universités.
Trois ans après l'adoption de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités, 72 universités sur 83 sont passées à l'autonomie. Elles disposent ainsi de marges de manoeuvre plus importantes pour la gestion de leur budget et de leurs ressources humaines.
Ce passage à l'autonomie, qui se fait plus rapidement que prévu, représente un transfert sans précédent de l'Etat vers les universités : plus de 125 000 emplois, soit une masse salariale de près de 7 milliards d'euros. 1 340 000 étudiants en recueillent aujourd'hui les bénéfices.
Le passage à l'autonomie commence en effet à porter ses fruits :
- pour les étudiants, avec davantage de travail d'orientation, de dispositifs d'insertion professionnelle, de lutte contre l'échec en licence, d'accompagnement personnalisé et de bilan de compétences ;
- pour les entreprises, qui peuvent nouer des partenariats avec les universités, notamment à travers les 35 fondations qui ont vu le jour grâce à la loi ;
- pour tous les personnels de l'université, qui bénéficient d'une gestion plus dynamique des ressources humaines et dont les carrières sont devenues plus attractives grâce à une meilleure reconnaissance de leur travail.
Cette réforme s'est accompagnée d'une refonte du dialogue de gestion entre l'Etat et les universités, qui a vocation à se poursuivre.Elle a été rendue possible par une augmentation de 22% des moyens de fonctionnement des universités depuis 2007, qui a permis un rééquilibrage en faveur des universités qui en avaient besoin au vu de leur activité et de leurs performances.
Trois ans après l'adoption de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités, 72 universités sur 83 sont passées à l'autonomie. Elles disposent ainsi de marges de manoeuvre plus importantes pour la gestion de leur budget et de leurs ressources humaines.
Ce passage à l'autonomie, qui se fait plus rapidement que prévu, représente un transfert sans précédent de l'Etat vers les universités : plus de 125 000 emplois, soit une masse salariale de près de 7 milliards d'euros. 1 340 000 étudiants en recueillent aujourd'hui les bénéfices.
Le passage à l'autonomie commence en effet à porter ses fruits :
- pour les étudiants, avec davantage de travail d'orientation, de dispositifs d'insertion professionnelle, de lutte contre l'échec en licence, d'accompagnement personnalisé et de bilan de compétences ;
- pour les entreprises, qui peuvent nouer des partenariats avec les universités, notamment à travers les 35 fondations qui ont vu le jour grâce à la loi ;
- pour tous les personnels de l'université, qui bénéficient d'une gestion plus dynamique des ressources humaines et dont les carrières sont devenues plus attractives grâce à une meilleure reconnaissance de leur travail.
Cette réforme s'est accompagnée d'une refonte du dialogue de gestion entre l'Etat et les universités, qui a vocation à se poursuivre.Elle a été rendue possible par une augmentation de 22% des moyens de fonctionnement des universités depuis 2007, qui a permis un rééquilibrage en faveur des universités qui en avaient besoin au vu de leur activité et de leurs performances.