Texte intégral
Le ministre d'État, ministre des Affaires étrangères et européennes et le ministre chargé des Affaires européennes saluent l'accord décisif et ambitieux conclu le 21 juillet entre les chefs d'État ou de gouvernement des pays membres de la zone euro, avec le soutien du président de la Banque centrale européenne.
Cet accord n'aurait pas été possible sans l'impulsion forte donnée par le président de la République. En se rendant à Berlin la veille du sommet, il a pu proposer à la chancelière fédérale d'Allemagne une position commune qui a constitué le socle décisif de l'accord conclu hier à Bruxelles.
A partir de cette initiative franco-allemande, les dirigeants des pays de la zone euro ont su faire preuve d'un sens aigu des responsabilités face à une situation grave et urgente afin d'assurer la stabilité et la pérennité de l'union monétaire, qui constitue un acquis essentiel de la construction européenne.
Des mesures exceptionnelles ont été décidées pour répondre à la situation spécifique de la Grèce, assurer la soutenabilité de sa dette, accompagner la nécessaire poursuite de ses efforts et l'aider à retrouver le chemin de la croissance.
Au-delà, des décisions essentielles ont été prises pour renforcer la capacité des européens à faire face ensemble aux crises économiques et financières. Elles permettront en particulier au Fonds européen de stabilité financière (FESF) d'agir de façon plus flexible et préventive.
Comme l'a souhaité le président de la République, ce dispositif ouvre la voie à un véritable fonds monétaire à l'échelle européenne.
Le ministre d'État, ministre des Affaires étrangères et européennes et le ministre chargé des Affaires européennes saluent enfin l'engagement en faveur d'un nouveau renforcement de la gouvernance de la zone euro, qui permettra de consolider la réponse à la crise, en renforçant la convergence au sein de l'union économique et monétaire.
Cet ensemble de décisions constituent un succès pour l'Europe, qui a démontré son unité.
Face à la crise, il n'y a pas d'autre réponse que d'aller vers davantage d'intégration européenne.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 1er août 2011
Cet accord n'aurait pas été possible sans l'impulsion forte donnée par le président de la République. En se rendant à Berlin la veille du sommet, il a pu proposer à la chancelière fédérale d'Allemagne une position commune qui a constitué le socle décisif de l'accord conclu hier à Bruxelles.
A partir de cette initiative franco-allemande, les dirigeants des pays de la zone euro ont su faire preuve d'un sens aigu des responsabilités face à une situation grave et urgente afin d'assurer la stabilité et la pérennité de l'union monétaire, qui constitue un acquis essentiel de la construction européenne.
Des mesures exceptionnelles ont été décidées pour répondre à la situation spécifique de la Grèce, assurer la soutenabilité de sa dette, accompagner la nécessaire poursuite de ses efforts et l'aider à retrouver le chemin de la croissance.
Au-delà, des décisions essentielles ont été prises pour renforcer la capacité des européens à faire face ensemble aux crises économiques et financières. Elles permettront en particulier au Fonds européen de stabilité financière (FESF) d'agir de façon plus flexible et préventive.
Comme l'a souhaité le président de la République, ce dispositif ouvre la voie à un véritable fonds monétaire à l'échelle européenne.
Le ministre d'État, ministre des Affaires étrangères et européennes et le ministre chargé des Affaires européennes saluent enfin l'engagement en faveur d'un nouveau renforcement de la gouvernance de la zone euro, qui permettra de consolider la réponse à la crise, en renforçant la convergence au sein de l'union économique et monétaire.
Cet ensemble de décisions constituent un succès pour l'Europe, qui a démontré son unité.
Face à la crise, il n'y a pas d'autre réponse que d'aller vers davantage d'intégration européenne.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 1er août 2011