Texte intégral
En cette journée internationale en mémoire des victimes de la Shoah et de la prévention des crimes contre lHumanité, la France se souvient des victimes, elle a une pensée pour leurs descendants.
La France entend répondre au devoir de la mémoire de la Shoah et de sa transmission aux nouvelles générations en France et à travers le monde. Au sein du ministère des Affaires étrangères et européennes, un ambassadeur, M. François Zimeray, est chargé des droits de lHomme et de la dimension internationale de la Shoah.
La France apporte également un soutien actif au «Projet Aladin», lancé à lUNESCO en 2009, qui vise à mieux faire connaître la Shoah dans le monde, en traduisant notamment en arabe certains grands textes, dont celui de Primo Levi «Si cest un homme». Cette initiative a vu le jour grâce à la Fondation pour la mémoire de la Shoah qui joue un rôle irremplaçable.
La communauté internationale a en effet la responsabilité, alors que les témoins directs de lholocauste ont, pour beaucoup, déjà disparu, de bien transmettre sa mémoire afin que plus jamais lhumanité ne connaisse pareille tragédie.
Ce devoir de mémoire est une responsabilité collective. Nous devons refuser toutes les formes de banalisation. La mémoire de lholocauste rappelle en effet la barbarie dont lhomme est capable mais témoigne aussi des actes de résistance et de solidarité entre les êtres humains face à lhorreur de lextermination.
Cest ce message que la France entend porter en cette journée internationale en mémoire des victimes de la Shoah et de la prévention des crimes contre lhumanité.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 6 février 2012
La France entend répondre au devoir de la mémoire de la Shoah et de sa transmission aux nouvelles générations en France et à travers le monde. Au sein du ministère des Affaires étrangères et européennes, un ambassadeur, M. François Zimeray, est chargé des droits de lHomme et de la dimension internationale de la Shoah.
La France apporte également un soutien actif au «Projet Aladin», lancé à lUNESCO en 2009, qui vise à mieux faire connaître la Shoah dans le monde, en traduisant notamment en arabe certains grands textes, dont celui de Primo Levi «Si cest un homme». Cette initiative a vu le jour grâce à la Fondation pour la mémoire de la Shoah qui joue un rôle irremplaçable.
La communauté internationale a en effet la responsabilité, alors que les témoins directs de lholocauste ont, pour beaucoup, déjà disparu, de bien transmettre sa mémoire afin que plus jamais lhumanité ne connaisse pareille tragédie.
Ce devoir de mémoire est une responsabilité collective. Nous devons refuser toutes les formes de banalisation. La mémoire de lholocauste rappelle en effet la barbarie dont lhomme est capable mais témoigne aussi des actes de résistance et de solidarité entre les êtres humains face à lhorreur de lextermination.
Cest ce message que la France entend porter en cette journée internationale en mémoire des victimes de la Shoah et de la prévention des crimes contre lhumanité.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 6 février 2012