Texte intégral
Mesdames et Messieurs,
C'est un plaisir et un honneur pour moi de recevoir mon collègue et ami le ministre des affaires étrangères grec.
Vous savez les liens très étroits qui unissent la Grèce et la France. Même si les choses ne sont pas terminées, la Grèce est passée par un moment extrêmement difficile et la France a été à ses côtés et l'est toujours. En effet, nous pensons que la Grèce est nécessaire à la solidité européenne.
Avec mon collègue et ami Dimitris, nous avons fait le tour de la situation nationale grecque, de la situation régionale et de la situation internationale. Nous avons aussi bien sûr parlé de l'Europe. Comme vous le savez, il y a, à la fin de cette semaine, un important sommet consacré aux perspectives financières. La Grèce va prendre la présidence de l'Union européenne en 2014. Nous avons abordé nos relations bilatérales et insisté en particulier sur la nécessité de développer nos relations économiques. Il y a beaucoup de choses à faire ensemble. Nous avons parlé de la situation internationale, nous avons bien sûr parlé de la Syrie, du Mali.
Nous nous sommes entretenus de ce dont traite chacune de nos deux administrations et j'ai dit à quel point, pour nous, la Grèce est un élément tout à fait déterminant de l'Union européenne. Il est vrai que compte tenu de la situation que chacun connaît, il y a eu des efforts considérables qui ont été fait par nos amis grecs.
La France a toujours été aux côtés de la Grèce dans les périodes les plus difficiles et maintenant que peu à peu les choses sont en train de s'arranger, nous sommes heureux de continuer d'être à leurs côtés, tout simplement parce que l'amitié entre la Grèce et la France est pour nous un pilier auquel nous croyons.
Q - Avez-vous parlé d'une visite prochaine du président de la République en Grèce dont la date serait prévue le 18 février ? Qu'attendez-vous comme résultats pour la Grèce et quels seront les domaines pour lesquels vous serez le plus attentif ?
R - Très brièvement, nous avons en effet abordé cette question. Il y a effectivement un projet de visite puisque nos amis grecs, de façon extrêmement chaleureuse, ont invité le président Français. J'espère très fortement que cela pourra se faire très rapidement. Je vais m'en entretenir avec François Hollande.
Comme Dimitris l'a dit, les champs de notre coopération sont des plus divers : il y a les champs économique, éducatif, culturel, technique. Nous devons avancer la main dans la main. Les sujets d'entretiens ne manqueront pas. Nous sommes amis, la Grèce et la France depuis très longtemps. La façon dont nous avons travaillé ensemble durant la période récente est, je crois, tout à fait exemplaire et nous avons bien l'intention de continuer et de l'amplifier.
Q - Dans le domaine économique, la France envisagerait-elle de faire des investissements en Grèce ? Sur le plan bilatéral, comment comptez-vous aider la Grèce dans cette période difficile ?
R - Il y a beaucoup d'initiatives prises en Grèce, en liaison avec la situation économique. Chaque fois que des projets peuvent être faits et qui font intervenir des entreprises françaises, nous en serons extrêmement ravis. Il peut y avoir aussi des investissements faits ensemble dans des pays tiers. De même, il peut y avoir et il y a déjà des coopérations en matière technique, éducative et technologique. C'est l'ensemble du champ qui doit être concerné.
Q - Monsieur le Ministre, un tanker français a disparu au large de la Côte d'Ivoire. A-t-on quelques précisions sur cette disparition ?
R - Nous sommes en train de vérifier tout cela. L'information a été donnée il y a quelques temps et nous sommes en liaison avec les autorités locales.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 12 février 2013
C'est un plaisir et un honneur pour moi de recevoir mon collègue et ami le ministre des affaires étrangères grec.
Vous savez les liens très étroits qui unissent la Grèce et la France. Même si les choses ne sont pas terminées, la Grèce est passée par un moment extrêmement difficile et la France a été à ses côtés et l'est toujours. En effet, nous pensons que la Grèce est nécessaire à la solidité européenne.
Avec mon collègue et ami Dimitris, nous avons fait le tour de la situation nationale grecque, de la situation régionale et de la situation internationale. Nous avons aussi bien sûr parlé de l'Europe. Comme vous le savez, il y a, à la fin de cette semaine, un important sommet consacré aux perspectives financières. La Grèce va prendre la présidence de l'Union européenne en 2014. Nous avons abordé nos relations bilatérales et insisté en particulier sur la nécessité de développer nos relations économiques. Il y a beaucoup de choses à faire ensemble. Nous avons parlé de la situation internationale, nous avons bien sûr parlé de la Syrie, du Mali.
Nous nous sommes entretenus de ce dont traite chacune de nos deux administrations et j'ai dit à quel point, pour nous, la Grèce est un élément tout à fait déterminant de l'Union européenne. Il est vrai que compte tenu de la situation que chacun connaît, il y a eu des efforts considérables qui ont été fait par nos amis grecs.
La France a toujours été aux côtés de la Grèce dans les périodes les plus difficiles et maintenant que peu à peu les choses sont en train de s'arranger, nous sommes heureux de continuer d'être à leurs côtés, tout simplement parce que l'amitié entre la Grèce et la France est pour nous un pilier auquel nous croyons.
Q - Avez-vous parlé d'une visite prochaine du président de la République en Grèce dont la date serait prévue le 18 février ? Qu'attendez-vous comme résultats pour la Grèce et quels seront les domaines pour lesquels vous serez le plus attentif ?
R - Très brièvement, nous avons en effet abordé cette question. Il y a effectivement un projet de visite puisque nos amis grecs, de façon extrêmement chaleureuse, ont invité le président Français. J'espère très fortement que cela pourra se faire très rapidement. Je vais m'en entretenir avec François Hollande.
Comme Dimitris l'a dit, les champs de notre coopération sont des plus divers : il y a les champs économique, éducatif, culturel, technique. Nous devons avancer la main dans la main. Les sujets d'entretiens ne manqueront pas. Nous sommes amis, la Grèce et la France depuis très longtemps. La façon dont nous avons travaillé ensemble durant la période récente est, je crois, tout à fait exemplaire et nous avons bien l'intention de continuer et de l'amplifier.
Q - Dans le domaine économique, la France envisagerait-elle de faire des investissements en Grèce ? Sur le plan bilatéral, comment comptez-vous aider la Grèce dans cette période difficile ?
R - Il y a beaucoup d'initiatives prises en Grèce, en liaison avec la situation économique. Chaque fois que des projets peuvent être faits et qui font intervenir des entreprises françaises, nous en serons extrêmement ravis. Il peut y avoir aussi des investissements faits ensemble dans des pays tiers. De même, il peut y avoir et il y a déjà des coopérations en matière technique, éducative et technologique. C'est l'ensemble du champ qui doit être concerné.
Q - Monsieur le Ministre, un tanker français a disparu au large de la Côte d'Ivoire. A-t-on quelques précisions sur cette disparition ?
R - Nous sommes en train de vérifier tout cela. L'information a été donnée il y a quelques temps et nous sommes en liaison avec les autorités locales.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 12 février 2013