Texte intégral
Monsieur Paul Mashatile, ministre des arts et de la culture,
Madame Aurélie Filippetti, ministre de la culture et de la communication,
Monsieur Dikgang Moopeloa, président des saisons Afrique du Sud-France pour l'Afrique du Sud,
Monsieur Xavier Darcos, président des saisons Afrique du Sud-France pour la France,
Mesdames et Messieurs les ambassadeurs,
Mesdames et Messieurs,
Chers Amis,
Tout d'abord, une très cordiale bienvenue. Vous êtes ici chez vous et je voudrais en quelques mots vous dire ce que nous faisons ensemble. Ensuite, notre ami, le ministre des arts et de la culture de l'Afrique du Sud dira lui-même quelques mots et ensuite, Madame la ministre de la culture.
Il me semble qu'un film est prévu après lequel, nous prendrons du temps pour répondre à vos questions.
Les saisons croisées France Afrique du Sud sont les premières saisons consacrées en France à un pays d'Afrique subsaharienne. Ces saisons croisées mettent en lumière la créativité sud-africaine et la singularité de la relation qui existe entre l'Afrique du Sud et la France. Je veux remercier chaleureusement Mme Filippetti d'être aujourd'hui à mes côtés pour accueillir nos amis sud-africains avec le président Darcos.
Ce volet sud-africain des saisons croisées, qui s'ouvrira fin mai dans notre pays, est, je crois, très attendu. Les Français, Cher Ami Monsieur le ministre, sont curieux de votre pays qui est le siège d'un des plus grands combats pour la dignité de l'homme au XXème siècle, incarné par le président Nelson Mandela auquel un hommage particulier sera rendu.
Et pour le jeune militant des droits de l'Homme que j'étais il y a quelques dizaines d'années, alors Premier ministre, c'est toujours une grande émotion de recevoir des amis d'Afrique du Sud.
Votre pays est le foyer d'une culture florissante que le public français a déjà commencé à aimer à travers beaucoup de grands artistes comme William Kentridge à Robyn Orlin, certains d'ailleurs nous seront présentés.
L'Afrique du Sud est un très grand pays, je le mesure en parcourant le continent africain, semaine après semaine. C'est un pays d'avenir qui compte énormément en Afrique et dans le monde. Ces saisons croisées permettront d'éclairer beaucoup d'aspects au-delà du seul domaine artistique puisque c'est le choix qui a été fait - je salue les commissaires.
Nous avons tenu à élargir ces aspects à toute une série de sphères d'intérêt commun. C'est ainsi, m'indique-t-on, que l'éducation, la recherche, l'économie, la santé, la jeunesse et les sports, l'innovation et le tourisme seront abordés à travers ces saisons croisées. Elles permettront ainsi de nombreux partenariats publics et privés qui renforceront les relations d'amitié entre nos deux pays et c'est bien cela l'objet.
Je veux saluer la collaboration très active de nos partenaires sud-africains et je veux remercier aussi les généreux donateurs, les mécènes, car sans eux, rien n'aurait été possible.
La saison française en Afrique du Sud, qui s'est achevée en novembre dernier, a été un succès. L'exposition «Le Corps Image» à Johannesburg a réuni devant des oeuvres picturales et photographiques un public très nombreux. Pour les arts de la rue, l'évènement-phare fut la «Place des Anges» à Durban, ville où s'est tenu également le Congrès mondial des professeurs de langue française. Au total et ce chiffre est impressionnant, plus de 150.000 personnes ont pu apprécier la programmation diversifiée de la France en Afrique du Sud. Je crois que ce qui a été très apprécié - ce sera la même chose ici -, c'est que les événements ont concerné de nombreuses villes dans tout le territoire et pas seulement une seule grande ville.
Ce sont des bases importantes pour une coopération dans les domaines artistiques, universitaires, linguistiques notamment.
Je veux remercier les organisateurs de ces saisons - et tout particulièrement M. Dikgang Moopeloa, président des saisons pour l'Afrique du Sud, M. Xavier Darcos, président des saisons pour la France, M. Bongani Tembe, commissaire sud-africain, et M. Laurent Clavel, commissaire français. Je pense que j'écorche moins les noms en français qu'en sud africain. Je remercie aussi toutes les équipes du Department of Arts and Culture - que vous représentez ici Monsieur le ministre - et dont le soutien a été décisif, du National Arts council et de l'Institut français.
Je tiens aussi à remercier, dans ce propos court, ceux sans lesquels - je veux parler des entreprises - rien n'aurait été possible. Je cite Air France, Areva, Bouygues Travaux Publics, EDF, GDF-SUEZ, Mazars, Fondation Orange, Total. Et particulièrement le président du comité des mécènes, M. Luc Oursel. Leur implication a évidemment été déterminante dans la réussite de la saison française, et ce sera la même chose pour la saison sud-africaine en France.
La saison sud-africaine en France, que nous lançons officiellement aujourd'hui, se tiendra de mai à décembre 2013. Cela nous donnera l'occasion de nous revoir et nous en sommes heureux. Les nombreuses manifestations organisées dans ce cadre dans toute la France, vont connaître, à coup sûr, un grand succès et elles vont donner une nouvelle impulsion à la relation déjà excellente, marquée par l'estime et l'amitié, entre nos deux peuples.
Je terminerai en disant que je crois beaucoup à l'amitié entre l'Afrique du Sud et la France et je souhaite un grand succès à cette saison croisée et une profondeur de champ à notre amitié.
Je vous remercie.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 19 avril 2013
Madame Aurélie Filippetti, ministre de la culture et de la communication,
Monsieur Dikgang Moopeloa, président des saisons Afrique du Sud-France pour l'Afrique du Sud,
Monsieur Xavier Darcos, président des saisons Afrique du Sud-France pour la France,
Mesdames et Messieurs les ambassadeurs,
Mesdames et Messieurs,
Chers Amis,
Tout d'abord, une très cordiale bienvenue. Vous êtes ici chez vous et je voudrais en quelques mots vous dire ce que nous faisons ensemble. Ensuite, notre ami, le ministre des arts et de la culture de l'Afrique du Sud dira lui-même quelques mots et ensuite, Madame la ministre de la culture.
Il me semble qu'un film est prévu après lequel, nous prendrons du temps pour répondre à vos questions.
Les saisons croisées France Afrique du Sud sont les premières saisons consacrées en France à un pays d'Afrique subsaharienne. Ces saisons croisées mettent en lumière la créativité sud-africaine et la singularité de la relation qui existe entre l'Afrique du Sud et la France. Je veux remercier chaleureusement Mme Filippetti d'être aujourd'hui à mes côtés pour accueillir nos amis sud-africains avec le président Darcos.
Ce volet sud-africain des saisons croisées, qui s'ouvrira fin mai dans notre pays, est, je crois, très attendu. Les Français, Cher Ami Monsieur le ministre, sont curieux de votre pays qui est le siège d'un des plus grands combats pour la dignité de l'homme au XXème siècle, incarné par le président Nelson Mandela auquel un hommage particulier sera rendu.
Et pour le jeune militant des droits de l'Homme que j'étais il y a quelques dizaines d'années, alors Premier ministre, c'est toujours une grande émotion de recevoir des amis d'Afrique du Sud.
Votre pays est le foyer d'une culture florissante que le public français a déjà commencé à aimer à travers beaucoup de grands artistes comme William Kentridge à Robyn Orlin, certains d'ailleurs nous seront présentés.
L'Afrique du Sud est un très grand pays, je le mesure en parcourant le continent africain, semaine après semaine. C'est un pays d'avenir qui compte énormément en Afrique et dans le monde. Ces saisons croisées permettront d'éclairer beaucoup d'aspects au-delà du seul domaine artistique puisque c'est le choix qui a été fait - je salue les commissaires.
Nous avons tenu à élargir ces aspects à toute une série de sphères d'intérêt commun. C'est ainsi, m'indique-t-on, que l'éducation, la recherche, l'économie, la santé, la jeunesse et les sports, l'innovation et le tourisme seront abordés à travers ces saisons croisées. Elles permettront ainsi de nombreux partenariats publics et privés qui renforceront les relations d'amitié entre nos deux pays et c'est bien cela l'objet.
Je veux saluer la collaboration très active de nos partenaires sud-africains et je veux remercier aussi les généreux donateurs, les mécènes, car sans eux, rien n'aurait été possible.
La saison française en Afrique du Sud, qui s'est achevée en novembre dernier, a été un succès. L'exposition «Le Corps Image» à Johannesburg a réuni devant des oeuvres picturales et photographiques un public très nombreux. Pour les arts de la rue, l'évènement-phare fut la «Place des Anges» à Durban, ville où s'est tenu également le Congrès mondial des professeurs de langue française. Au total et ce chiffre est impressionnant, plus de 150.000 personnes ont pu apprécier la programmation diversifiée de la France en Afrique du Sud. Je crois que ce qui a été très apprécié - ce sera la même chose ici -, c'est que les événements ont concerné de nombreuses villes dans tout le territoire et pas seulement une seule grande ville.
Ce sont des bases importantes pour une coopération dans les domaines artistiques, universitaires, linguistiques notamment.
Je veux remercier les organisateurs de ces saisons - et tout particulièrement M. Dikgang Moopeloa, président des saisons pour l'Afrique du Sud, M. Xavier Darcos, président des saisons pour la France, M. Bongani Tembe, commissaire sud-africain, et M. Laurent Clavel, commissaire français. Je pense que j'écorche moins les noms en français qu'en sud africain. Je remercie aussi toutes les équipes du Department of Arts and Culture - que vous représentez ici Monsieur le ministre - et dont le soutien a été décisif, du National Arts council et de l'Institut français.
Je tiens aussi à remercier, dans ce propos court, ceux sans lesquels - je veux parler des entreprises - rien n'aurait été possible. Je cite Air France, Areva, Bouygues Travaux Publics, EDF, GDF-SUEZ, Mazars, Fondation Orange, Total. Et particulièrement le président du comité des mécènes, M. Luc Oursel. Leur implication a évidemment été déterminante dans la réussite de la saison française, et ce sera la même chose pour la saison sud-africaine en France.
La saison sud-africaine en France, que nous lançons officiellement aujourd'hui, se tiendra de mai à décembre 2013. Cela nous donnera l'occasion de nous revoir et nous en sommes heureux. Les nombreuses manifestations organisées dans ce cadre dans toute la France, vont connaître, à coup sûr, un grand succès et elles vont donner une nouvelle impulsion à la relation déjà excellente, marquée par l'estime et l'amitié, entre nos deux peuples.
Je terminerai en disant que je crois beaucoup à l'amitié entre l'Afrique du Sud et la France et je souhaite un grand succès à cette saison croisée et une profondeur de champ à notre amitié.
Je vous remercie.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 19 avril 2013