Texte intégral
Nous avons toujours dit que nous étions là pour aider la résistance, et pour trouver une solution politique. S'agissant des armes, il n'est pas question de les livrer dans des conditions qui ne seraient pas sûres en ce qui nous concerne. C'est-à-dire que nous n'allons pas livrer des armes pour qu'elles se retournent contre nous.
C'est l'une des raisons pour lesquelles il faut que nous ayons des concertations, en particulier avec le général Idriss, le commandant militaire de l'armée syrienne libre. Il y a des matériels ou des aides qui peuvent déjà être fournies puisqu'elles sont permises par la législation européenne. Dans ce cadre, il y a des matériels non létaux qui sont fournis par les différents pays européens.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 24 juin 2013