Texte intégral
Q - Quelles sont les informations qui vous remontent ce soir du Caire, quel message adressez-vous aux Français qui s'y trouvent et à leurs familles ?
R - Je suis l'évolution de la situation. J'ai appelé, il y a quelques heures, notre ambassadeur pour faire le point sur la situation sécuritaire. Nous avons envoyé des consignes de sécurité par SMS à tous nos ressortissants français ; nous en avons à peu près 6.000. Il y a des touristes français, et nous sommes attachés à ce qu'ils restent le plus éloigné possible des lieux de rassemblements. La situation reste très volatile, il y a eu des victimes, et nous étions préoccupés par la sécurité de nos ressortissants.
Q - Ce soir, la diplomatie française est extrêmement prudente, reconnaît ce qui s'est passé, mais attend de voir ?
R - Bien-sûr, la situation évolue très rapidement. Je crois que l'heure est à l'observation plutôt qu'aux commentaires. Attendons de voir ce que les Égyptiens veulent faire de leur pays, ce qu'ils désirent pour leur avenir, et nous serons de toute façon aux côtés de ce pays ami. (...)
Q - François Hollande arrive en Tunisie demain ; le voyage prendra une dimension particulière...
R - Je fais partie de la délégation comme un certain nombre de ministres. (...) La Tunisie connait une période de transition, avec une Constitution qui n'est pas encore finalisée. Nous allons en Tunisie avec un message assez fort, afin de dire que nous sommes aux côtés de tous ces peuples qui sont sur le chemin de la démocratie. La France reste le pays ami de tous ces pays d'Afrique du nord, et nous continuons à les accompagner comme nous le pouvons.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 18 juillet 2013
R - Je suis l'évolution de la situation. J'ai appelé, il y a quelques heures, notre ambassadeur pour faire le point sur la situation sécuritaire. Nous avons envoyé des consignes de sécurité par SMS à tous nos ressortissants français ; nous en avons à peu près 6.000. Il y a des touristes français, et nous sommes attachés à ce qu'ils restent le plus éloigné possible des lieux de rassemblements. La situation reste très volatile, il y a eu des victimes, et nous étions préoccupés par la sécurité de nos ressortissants.
Q - Ce soir, la diplomatie française est extrêmement prudente, reconnaît ce qui s'est passé, mais attend de voir ?
R - Bien-sûr, la situation évolue très rapidement. Je crois que l'heure est à l'observation plutôt qu'aux commentaires. Attendons de voir ce que les Égyptiens veulent faire de leur pays, ce qu'ils désirent pour leur avenir, et nous serons de toute façon aux côtés de ce pays ami. (...)
Q - François Hollande arrive en Tunisie demain ; le voyage prendra une dimension particulière...
R - Je fais partie de la délégation comme un certain nombre de ministres. (...) La Tunisie connait une période de transition, avec une Constitution qui n'est pas encore finalisée. Nous allons en Tunisie avec un message assez fort, afin de dire que nous sommes aux côtés de tous ces peuples qui sont sur le chemin de la démocratie. La France reste le pays ami de tous ces pays d'Afrique du nord, et nous continuons à les accompagner comme nous le pouvons.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 18 juillet 2013