Texte intégral
Madame et Messieurs les Ambassadeurs,
Mesdames et Messieurs les Sénateurs,
Monsieur le Député,
Messieurs les Présidents,
Mesdames et Messieurs,
Chers Amis,
Je voudrais en préambule vous remercier pour votre participation aux «VIIIe Rencontres sur la sécurité des entreprises françaises à l'étranger». Votre présence nombreuse consacre, s'il en était besoin, l'intérêt grandissant pour ce rendez-vous annuel, devenu, au fil des ans, l'un des points d'orgue de notre partenariat.
Je salue, également, la présence des sénateurs et députés représentant les Français établis hors de France. Je les remercie, au nom du gouvernement, de leur engagement aux côtés de nos communautés expatriées.
En choisissant, cette année, d'associer nos trois ambassadeurs - d'Indonésie, de Côte d'Ivoire et d'Égypte -, vous avez fait le choix de débattre, à partir de cas emblématiques, des réalités touchant à la sécurité des personnes.
Dans le cas particulier de l'Indonésie, 4e pays le plus peuplé au monde, la France s'est engagée avec discernement dans un partenariat stratégique. Vous avez pu apprécier notre capacité à aborder les marchés si prometteurs des pays «émergents» et «néo émergents», et prendre la mesure de l'impérieuse nécessité de disposer des outils d'accompagnement à l'internationalisation des entreprises.
La Côte d'Ivoire maintenant. Au terme de la crise «post-électorale» de novembre 2010, le pays a su se redresser et connaît aujourd'hui une embellie économique remarquable. Rappelons que le pays est l'un des plus riches d'Afrique. A la faveur de cet exemple, vous avez pu évoquer les conditions du retour ou du maintien sur place de notre présence. Cette présence, vous le savez, est porteuse d'avenir, puisque la France demeure le premier partenaire économique de la Côte d'Ivoire, forte de 140 filiales françaises et de 500 PME françaises de droit local.
Avec l'Égypte, enfin, pays emblématique des Printemps arabes, les échanges ont permis de faire le point sur une région qui concentre de nombreuses opportunités pour nos entreprises, mais qui requiert vigilance, réalisme et anticipation.
Dès lors, dans un environnement incertain, la sécurité de vos collaborateurs constitue un enjeu majeur et une condition même de votre réussite. J'en veux pour preuve - il était important de les entendre -, les témoignages d'entreprises fortement et durablement engagées comme Saint-Gobain ou GDF SUEZ.
Mesdames et Messieurs,
Mes fonctions m'amènent régulièrement à me déplacer, là où vous êtes implantés, là où vous investissez, là où vous participez du développement de notre économie. Ces dix-huit derniers mois, il n'est pas de voyage officiel où je n'ai rencontré les forces vives, les industriels les milieux d'affaires et traité de ces questions.
Partout, au Maroc, au Guatemala, au Mali, au Liban, comme en Malaisie, en Corée du Sud, en Libye ou au Qatar - pour citer quelques exemples récents -, je veille à rencontrer des chefs d'entreprises.
Ces rencontres permettent de prendre la mesure des difficultés auxquelles vous êtes confrontés, et des défis que vous devez relever. Votre perception, vos analyses et vos conseils constituent un éclairage essentiel à notre compréhension des grandes évolutions du monde, et souvent contribuent à l'adaptation de notre diplomatie économique.
Un constat s'impose : quelle que soit la taille de vos entreprises, leur visibilité ou leur notoriété, aucune ne peut s'affranchir d'aborder les questions de sécurité dans l'élaboration de leur stratégie globale et leur développement international : autant pour des raisons de responsabilité à l'endroit des personnels, que pour réunir toutes les conditions d'une implantation durable sur des marchés plus en plus concurrentiels, complexes voire exposés.
Ces «VIIIe Rencontres» auront permis de mettre en lumière un enseignement que Nelson Mandela avait si bien su s'appliquer toute sa vie durant : «Aucun de nous, en agissant seul, ne peut atteindre le succès».
C'est en mettant en commun nos compétences, nos atouts et notre expertise - État et entreprises, petites et grandes -, que la France confortera sa présence sur les marchés internationaux, tout en réduisant son exposition au risque.
Et c'est dans cet esprit, qu'année après année, au fil de nos échanges, avec le concours de nos ambassades et de nos consulats, mais aussi en mobilisant tous les opérateurs publics comme privés, nous nous efforçons d'améliorer nos outils facilitant la mobilité internationale.
Je commencerais par le plus connu de tous : les «fiches conseils aux voyageurs». Elles continuent de rencontrer un grand succès, avec près de 7 millions de consultations par an et un taux de satisfaction de près de 90 %. Mises à jour en permanence, avec près de 1 300 modifications durant l'année 2013, elles constituent le deuxième site administratif le plus consulté en France, en apportant aux usagers un service grand public, gratuit, simple d'accès, d'une fiabilité reconnue et appréciée.
Le nouveau «code couleur» des cartes, introduit en juin 2013, a permis d'améliorer la progressivité des «conseils», de dynamiser le système en assouplissant le zonage sécuritaire et en évitant les effets de seuil trop brutaux.
Le deuxième outil, c'est Ariane, qui fait lui aussi l'objet d'améliorations constantes. Depuis son lancement en juillet 2011, Ariane, portail d'enregistrement numérique, s'est simplifié. Il s'est adapté à l'ergonomie des Smartphones et s'est enrichi de nouveaux contenus, pratiques, comme les «fiches réflexe» ou les numéros de téléphones utiles.
Les premiers résultats sont là : au cours des six derniers mois, le portail a connu une progression constante du nombre d'inscrits, pour atteindre 122.236 enregistrements au 9 janvier 2014, et un enregistrement mensuel de près de 10.000 personnes lors des grands départs en vacances.
Avec le Centre de crise, nous maintiendrons le même niveau d'exigence pour que ses performances soient encore améliorées. Nous continuerons le travail de promotion auprès du grand public, dans les aéroports, en mairies, dans les préfectures.
Il en va de la sécurité des 13 millions de nos compatriotes qui se déplacent chaque année à l'étranger.
Je tiens, puisque l'occasion m'en est donnée, à souligner la coopération exemplaire nouée avec les principaux syndicats de voyagistes, le Syndicat national des agences de Voyages et le Syndicat des entreprises du tour operating, qui accompagnent la promotion d'Ariane.
Si nous ne pouvons empêcher les crises, nous avons cependant le devoir de les prévenir et de nous nous y préparer. Dans cette perspective, le ministère des affaires étrangères a mené des actions de prévention à destination des agents et des postes. C'est le troisième outil et le troisième moyen : les exercices de simulation de crise.
Comme l'a évoqué notre ambassadrice en Indonésie, le Centre de crise a «mis en situation» trois de nos postes diplomatiques, de façon simultanée, le 13 novembre dernier.
L'opération, baptisée «Exercice Océan indien», est la première du genre depuis la création du Centre de crise en 2008. Elle a mobilisé 32 agents volontaires, ainsi que les diplomates en poste dans les ambassades en Indonésie, au Sri Lanka et les agents du consulat général de France à Pondichéry.
Le scénario a été bâti en concertation avec des experts - sismologues et météorologues entre autres -, afin de se rapprocher le plus de la réalité d'une catastrophe climatique. En capitalisant sur les bonnes pratiques et les enseignements tirés de cet exercice, le ministère des affaires étrangères souhaite préparer au mieux ses agents aux situations de crise. L'enjeu est d'améliorer les procédures touchant à la mise en protection de nos ressortissants, la gestion de l'information et de la communication, la coordination avec les entreprises, les partenaires étrangers et les autorités locales... Autant de gestes, de pratiques et de procédures qu'il faut avoir préparés et anticipés.
J'ai personnellement assisté à cette simulation. J'ai pu en vérifier la pertinence et la nécessité. Elle nous a permis de tirer des enseignements utiles pour une meilleure préparation et anticipation des catastrophes ; naturelles en particulier. D'autres exercices de crise seront réalisés ailleurs dans le monde.
Quatrième outil, enfin : nous travaillons à l'amélioration des plans de sécurisation de nos ambassades et de nos consulats généraux.
Ces plans sont la pierre angulaire de notre «architecture de sécurité» à l'étranger. Ils nous aident à apporter, rapidement, dans les situations d'urgence, une réponse garantissant la sécurité de nos compatriotes. Ils mettent nos postes diplomatiques ou consulaires en mesure de solliciter les autorités locales - police, urgence médicale, sécurité civile et forces armées -, pour porter assistance à nos communautés en difficulté.
Ils recensent, notamment, les moyens de communication susceptibles d'être activés en temps de crise, ainsi que les équipements comme les matériels de sécurité utilisables dans de telles circonstances.
Mesdames et Messieurs,
Avec votre concours et forts des contacts de plus en plus étroits que vous nouez avec ce ministère, nous allons progresser sur la voie d'une approche coordonnée de la présence française dans chaque pays ; ce que nous appelons un «bloc pays» afin de servir une ambition commune : faire rayonner notre pays, exporter nos savoir-faire, notre industrie, nos services et accompagner nos investissements.
Je souhaite, sous l'autorité de Laurent Fabius, qui a fait du développement économique un pilier de notre diplomatie, et du président de la République, qui a fixé pour priorité le redressement de la France, demeurer à vos côtés dans votre déploiement international : des enjeux qui sont autant de défis à relever.
Cette rencontre aura marqué une nouvelle étape de réflexion et de mobilisation de nos forces au service d'un partenariat, que nous souhaitons toujours plus étroit et confiant entre les acteurs économiques et les pouvoirs publics.
Je vous remercie.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 11 février 2014
Mesdames et Messieurs les Sénateurs,
Monsieur le Député,
Messieurs les Présidents,
Mesdames et Messieurs,
Chers Amis,
Je voudrais en préambule vous remercier pour votre participation aux «VIIIe Rencontres sur la sécurité des entreprises françaises à l'étranger». Votre présence nombreuse consacre, s'il en était besoin, l'intérêt grandissant pour ce rendez-vous annuel, devenu, au fil des ans, l'un des points d'orgue de notre partenariat.
Je salue, également, la présence des sénateurs et députés représentant les Français établis hors de France. Je les remercie, au nom du gouvernement, de leur engagement aux côtés de nos communautés expatriées.
En choisissant, cette année, d'associer nos trois ambassadeurs - d'Indonésie, de Côte d'Ivoire et d'Égypte -, vous avez fait le choix de débattre, à partir de cas emblématiques, des réalités touchant à la sécurité des personnes.
Dans le cas particulier de l'Indonésie, 4e pays le plus peuplé au monde, la France s'est engagée avec discernement dans un partenariat stratégique. Vous avez pu apprécier notre capacité à aborder les marchés si prometteurs des pays «émergents» et «néo émergents», et prendre la mesure de l'impérieuse nécessité de disposer des outils d'accompagnement à l'internationalisation des entreprises.
La Côte d'Ivoire maintenant. Au terme de la crise «post-électorale» de novembre 2010, le pays a su se redresser et connaît aujourd'hui une embellie économique remarquable. Rappelons que le pays est l'un des plus riches d'Afrique. A la faveur de cet exemple, vous avez pu évoquer les conditions du retour ou du maintien sur place de notre présence. Cette présence, vous le savez, est porteuse d'avenir, puisque la France demeure le premier partenaire économique de la Côte d'Ivoire, forte de 140 filiales françaises et de 500 PME françaises de droit local.
Avec l'Égypte, enfin, pays emblématique des Printemps arabes, les échanges ont permis de faire le point sur une région qui concentre de nombreuses opportunités pour nos entreprises, mais qui requiert vigilance, réalisme et anticipation.
Dès lors, dans un environnement incertain, la sécurité de vos collaborateurs constitue un enjeu majeur et une condition même de votre réussite. J'en veux pour preuve - il était important de les entendre -, les témoignages d'entreprises fortement et durablement engagées comme Saint-Gobain ou GDF SUEZ.
Mesdames et Messieurs,
Mes fonctions m'amènent régulièrement à me déplacer, là où vous êtes implantés, là où vous investissez, là où vous participez du développement de notre économie. Ces dix-huit derniers mois, il n'est pas de voyage officiel où je n'ai rencontré les forces vives, les industriels les milieux d'affaires et traité de ces questions.
Partout, au Maroc, au Guatemala, au Mali, au Liban, comme en Malaisie, en Corée du Sud, en Libye ou au Qatar - pour citer quelques exemples récents -, je veille à rencontrer des chefs d'entreprises.
Ces rencontres permettent de prendre la mesure des difficultés auxquelles vous êtes confrontés, et des défis que vous devez relever. Votre perception, vos analyses et vos conseils constituent un éclairage essentiel à notre compréhension des grandes évolutions du monde, et souvent contribuent à l'adaptation de notre diplomatie économique.
Un constat s'impose : quelle que soit la taille de vos entreprises, leur visibilité ou leur notoriété, aucune ne peut s'affranchir d'aborder les questions de sécurité dans l'élaboration de leur stratégie globale et leur développement international : autant pour des raisons de responsabilité à l'endroit des personnels, que pour réunir toutes les conditions d'une implantation durable sur des marchés plus en plus concurrentiels, complexes voire exposés.
Ces «VIIIe Rencontres» auront permis de mettre en lumière un enseignement que Nelson Mandela avait si bien su s'appliquer toute sa vie durant : «Aucun de nous, en agissant seul, ne peut atteindre le succès».
C'est en mettant en commun nos compétences, nos atouts et notre expertise - État et entreprises, petites et grandes -, que la France confortera sa présence sur les marchés internationaux, tout en réduisant son exposition au risque.
Et c'est dans cet esprit, qu'année après année, au fil de nos échanges, avec le concours de nos ambassades et de nos consulats, mais aussi en mobilisant tous les opérateurs publics comme privés, nous nous efforçons d'améliorer nos outils facilitant la mobilité internationale.
Je commencerais par le plus connu de tous : les «fiches conseils aux voyageurs». Elles continuent de rencontrer un grand succès, avec près de 7 millions de consultations par an et un taux de satisfaction de près de 90 %. Mises à jour en permanence, avec près de 1 300 modifications durant l'année 2013, elles constituent le deuxième site administratif le plus consulté en France, en apportant aux usagers un service grand public, gratuit, simple d'accès, d'une fiabilité reconnue et appréciée.
Le nouveau «code couleur» des cartes, introduit en juin 2013, a permis d'améliorer la progressivité des «conseils», de dynamiser le système en assouplissant le zonage sécuritaire et en évitant les effets de seuil trop brutaux.
Le deuxième outil, c'est Ariane, qui fait lui aussi l'objet d'améliorations constantes. Depuis son lancement en juillet 2011, Ariane, portail d'enregistrement numérique, s'est simplifié. Il s'est adapté à l'ergonomie des Smartphones et s'est enrichi de nouveaux contenus, pratiques, comme les «fiches réflexe» ou les numéros de téléphones utiles.
Les premiers résultats sont là : au cours des six derniers mois, le portail a connu une progression constante du nombre d'inscrits, pour atteindre 122.236 enregistrements au 9 janvier 2014, et un enregistrement mensuel de près de 10.000 personnes lors des grands départs en vacances.
Avec le Centre de crise, nous maintiendrons le même niveau d'exigence pour que ses performances soient encore améliorées. Nous continuerons le travail de promotion auprès du grand public, dans les aéroports, en mairies, dans les préfectures.
Il en va de la sécurité des 13 millions de nos compatriotes qui se déplacent chaque année à l'étranger.
Je tiens, puisque l'occasion m'en est donnée, à souligner la coopération exemplaire nouée avec les principaux syndicats de voyagistes, le Syndicat national des agences de Voyages et le Syndicat des entreprises du tour operating, qui accompagnent la promotion d'Ariane.
Si nous ne pouvons empêcher les crises, nous avons cependant le devoir de les prévenir et de nous nous y préparer. Dans cette perspective, le ministère des affaires étrangères a mené des actions de prévention à destination des agents et des postes. C'est le troisième outil et le troisième moyen : les exercices de simulation de crise.
Comme l'a évoqué notre ambassadrice en Indonésie, le Centre de crise a «mis en situation» trois de nos postes diplomatiques, de façon simultanée, le 13 novembre dernier.
L'opération, baptisée «Exercice Océan indien», est la première du genre depuis la création du Centre de crise en 2008. Elle a mobilisé 32 agents volontaires, ainsi que les diplomates en poste dans les ambassades en Indonésie, au Sri Lanka et les agents du consulat général de France à Pondichéry.
Le scénario a été bâti en concertation avec des experts - sismologues et météorologues entre autres -, afin de se rapprocher le plus de la réalité d'une catastrophe climatique. En capitalisant sur les bonnes pratiques et les enseignements tirés de cet exercice, le ministère des affaires étrangères souhaite préparer au mieux ses agents aux situations de crise. L'enjeu est d'améliorer les procédures touchant à la mise en protection de nos ressortissants, la gestion de l'information et de la communication, la coordination avec les entreprises, les partenaires étrangers et les autorités locales... Autant de gestes, de pratiques et de procédures qu'il faut avoir préparés et anticipés.
J'ai personnellement assisté à cette simulation. J'ai pu en vérifier la pertinence et la nécessité. Elle nous a permis de tirer des enseignements utiles pour une meilleure préparation et anticipation des catastrophes ; naturelles en particulier. D'autres exercices de crise seront réalisés ailleurs dans le monde.
Quatrième outil, enfin : nous travaillons à l'amélioration des plans de sécurisation de nos ambassades et de nos consulats généraux.
Ces plans sont la pierre angulaire de notre «architecture de sécurité» à l'étranger. Ils nous aident à apporter, rapidement, dans les situations d'urgence, une réponse garantissant la sécurité de nos compatriotes. Ils mettent nos postes diplomatiques ou consulaires en mesure de solliciter les autorités locales - police, urgence médicale, sécurité civile et forces armées -, pour porter assistance à nos communautés en difficulté.
Ils recensent, notamment, les moyens de communication susceptibles d'être activés en temps de crise, ainsi que les équipements comme les matériels de sécurité utilisables dans de telles circonstances.
Mesdames et Messieurs,
Avec votre concours et forts des contacts de plus en plus étroits que vous nouez avec ce ministère, nous allons progresser sur la voie d'une approche coordonnée de la présence française dans chaque pays ; ce que nous appelons un «bloc pays» afin de servir une ambition commune : faire rayonner notre pays, exporter nos savoir-faire, notre industrie, nos services et accompagner nos investissements.
Je souhaite, sous l'autorité de Laurent Fabius, qui a fait du développement économique un pilier de notre diplomatie, et du président de la République, qui a fixé pour priorité le redressement de la France, demeurer à vos côtés dans votre déploiement international : des enjeux qui sont autant de défis à relever.
Cette rencontre aura marqué une nouvelle étape de réflexion et de mobilisation de nos forces au service d'un partenariat, que nous souhaitons toujours plus étroit et confiant entre les acteurs économiques et les pouvoirs publics.
Je vous remercie.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 11 février 2014