Texte intégral
Le ministre du travail, de lemploi et du dialogue social a présenté une communication relative à la situation de lemploi.
La situation de lemploi en ce début dannée 2014 est le reflet des indicateurs économiques moins favorables quau dernier trimestre 2013. La conjoncture du 1er trimestre 2014 (croissance de 0,0%) sest traduite par une destruction de postes dans le secteur marchand (-23 600, hors agriculture, chiffres Insee), alors que les entreprises avaient renoué avec la création demplois au dernier trimestre 2013 (+15 000 emplois créés). Corrélativement, on compte en avril 2014, une augmentation du nombre de demandeurs demploi en catégorie A (+14 800 soit +0,4%). Ces derniers étaient ainsi 3,364 millions inscrits à Pôle emploi.
Les évolutions de lemploi et du chômage du premier trimestre 2014 ne dessinent pas encore la tendance du second trimestre, ni celle de lannée. Dailleurs, les déclarations dembauches de plus dun mois (hors intérim) ont progressé de +3,8 % en avril 2014.
Laction du Gouvernement sinscrit dans la durée. Le Pacte de responsabilité et de solidarité donne de la visibilité aux entreprises pour investir et pour embaucher. Lappropriation du Pacte doit désormais samplifier au niveau des branches professionnelles et des territoires. Pour les branches, la grande conférence sociale des 7 et 8 juillet sera loccasion dun premier rendez-vous pour un suivi renforcé des négociations et des engagements.Le Gouvernement continue dagir à tous les niveaux en faveur de lemploi. Cette mobilisation se renforce dès maintenant sagissant de l'apprentissage et de la formation des demandeurs d'emploi. Le succès des emplois d'avenir appelle une amplification de leur dynamique, pour qu'ils bénéficient à davantage de jeunes : au total, 95 000 emplois davenir pourront être conclus en 2014, permettant de prolonger les contrats des jeunes embauchés pour un an et dembaucher 70 000 nouveaux jeunes en 2014. De même, le déploiement des contrats aidés se poursuivra. 400 000 contrats uniques dinsertion pourront ainsi être conclus en 2014 (350 000 dans le secteur non-marchand, 50 000 dans le secteur marchand).
La situation de lemploi en ce début dannée 2014 est le reflet des indicateurs économiques moins favorables quau dernier trimestre 2013. La conjoncture du 1er trimestre 2014 (croissance de 0,0%) sest traduite par une destruction de postes dans le secteur marchand (-23 600, hors agriculture, chiffres Insee), alors que les entreprises avaient renoué avec la création demplois au dernier trimestre 2013 (+15 000 emplois créés). Corrélativement, on compte en avril 2014, une augmentation du nombre de demandeurs demploi en catégorie A (+14 800 soit +0,4%). Ces derniers étaient ainsi 3,364 millions inscrits à Pôle emploi.
Les évolutions de lemploi et du chômage du premier trimestre 2014 ne dessinent pas encore la tendance du second trimestre, ni celle de lannée. Dailleurs, les déclarations dembauches de plus dun mois (hors intérim) ont progressé de +3,8 % en avril 2014.
Laction du Gouvernement sinscrit dans la durée. Le Pacte de responsabilité et de solidarité donne de la visibilité aux entreprises pour investir et pour embaucher. Lappropriation du Pacte doit désormais samplifier au niveau des branches professionnelles et des territoires. Pour les branches, la grande conférence sociale des 7 et 8 juillet sera loccasion dun premier rendez-vous pour un suivi renforcé des négociations et des engagements.Le Gouvernement continue dagir à tous les niveaux en faveur de lemploi. Cette mobilisation se renforce dès maintenant sagissant de l'apprentissage et de la formation des demandeurs d'emploi. Le succès des emplois d'avenir appelle une amplification de leur dynamique, pour qu'ils bénéficient à davantage de jeunes : au total, 95 000 emplois davenir pourront être conclus en 2014, permettant de prolonger les contrats des jeunes embauchés pour un an et dembaucher 70 000 nouveaux jeunes en 2014. De même, le déploiement des contrats aidés se poursuivra. 400 000 contrats uniques dinsertion pourront ainsi être conclus en 2014 (350 000 dans le secteur non-marchand, 50 000 dans le secteur marchand).