Texte intégral
La France salue la décision annoncée, le 17 janvier, par les Etats-Unis d'agir en faveur d'une négociation, à la Conférence du désarmement de Genève, d'un traité sur l'interdiction des mines antipersonnel.
- Elle-même avait proposé l'ouverture d'une telle négociation à Genève.
- Le président de la République avait marqué, dans son allocution devant le corps diplomatique le 8 janvier, notre souhait que la Conférence du désarmement élargisse cette année son champ d'action à la lutte contre le fléau abominable des mines antipersonnel. La conférence du désarmement a obtenu en 1996 un succès remarquable avec la signature (en septembre) du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires.
- Depuis mai 1996, la France se prononce en faveur d'un accord international et vérifiable sur l'interdiction totale et générale de mines antipersonnel. Elle a soutenu en octobre 1996, la déclaration d'Ottawa en faveur d'un tel objectif. Elle n'a pas ménagé ses efforts pour convaincre la communauté internationale de se mobiliser pour parvenir à l'élimination des mines antipersonnel dans le monde, notamment par la négociation à la Conférence du désarmement à Genève, d'un accord d'interdiction totale.
- La France s'est également associée, avec ses partenaires africains, lors du Sommet France-Afrique de décembre dernier, qui a réuni 46 Etats, à la Déclaration de Ouagadougou en faveur de l'interdiction totale des mines antipersonnel.
- A titre national, la France a renoncé à toute production et toute exportation des mines antipersonnel. Elle se félicite des nouvelles mesures unilatérales américaines allant dans ce sens.
- La France a également renoncé, le 2 octobre 1996, à l'emploi des mines antipersonnel, sauf en cas de nécessité absolue imposée par la protection de nos forces.
- La campagne que mène la France, avec d'autres pays et notamment ses partenaires européens, en faveur d'une mise hors la loi effective, donc universelle et véritable, des mines antipersonnel, reçoit un soutien majeur avec la décision américaine d'accepter une négociation sur ce sujet à la Conférence du désarmement. La France se réjouit de cette décision.
- Elle-même avait proposé l'ouverture d'une telle négociation à Genève.
- Le président de la République avait marqué, dans son allocution devant le corps diplomatique le 8 janvier, notre souhait que la Conférence du désarmement élargisse cette année son champ d'action à la lutte contre le fléau abominable des mines antipersonnel. La conférence du désarmement a obtenu en 1996 un succès remarquable avec la signature (en septembre) du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires.
- Depuis mai 1996, la France se prononce en faveur d'un accord international et vérifiable sur l'interdiction totale et générale de mines antipersonnel. Elle a soutenu en octobre 1996, la déclaration d'Ottawa en faveur d'un tel objectif. Elle n'a pas ménagé ses efforts pour convaincre la communauté internationale de se mobiliser pour parvenir à l'élimination des mines antipersonnel dans le monde, notamment par la négociation à la Conférence du désarmement à Genève, d'un accord d'interdiction totale.
- La France s'est également associée, avec ses partenaires africains, lors du Sommet France-Afrique de décembre dernier, qui a réuni 46 Etats, à la Déclaration de Ouagadougou en faveur de l'interdiction totale des mines antipersonnel.
- A titre national, la France a renoncé à toute production et toute exportation des mines antipersonnel. Elle se félicite des nouvelles mesures unilatérales américaines allant dans ce sens.
- La France a également renoncé, le 2 octobre 1996, à l'emploi des mines antipersonnel, sauf en cas de nécessité absolue imposée par la protection de nos forces.
- La campagne que mène la France, avec d'autres pays et notamment ses partenaires européens, en faveur d'une mise hors la loi effective, donc universelle et véritable, des mines antipersonnel, reçoit un soutien majeur avec la décision américaine d'accepter une négociation sur ce sujet à la Conférence du désarmement. La France se réjouit de cette décision.