Texte intégral
C'est la deuxième fois que je viens ici puisque j'étais là déjà venu le 10 août. Cela signifie notre solidarité avec le Kurdistan et en particulier avec les gens qui sont réfugiés. Il faut bien penser qu'au Kurdistan, il y a plus d'un million de réfugiés et beaucoup d'entre eux sont dans une situation très difficile.
Certains nous demandent d'aller en Europe, d'aller en France, c'est la raison pour laquelle nous avons adopté une position avec les autorités locales. Nous ne pouvons pas accueillir tout le monde et d'ailleurs, si tout le monde s'en allait, ce serait la victoire des terroristes. Nous privilégions donc ceux qui sont en extrême difficulté et qui ont un lien avec la France.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 22 septembre 2014