Texte intégral
Je remercie le Maroc d'avoir organisé avec l'Union européenne ce forum sur les contributions nationales dans le cadre de la préparation de la COP21. La France travaille depuis déjà longtemps avec le Maroc sur la lutte contre le dérèglement climatique, en préparation de la COP21 qui se tiendra à Paris et de la COP22 qui se passera au Maroc. Je veux à nouveau ici dire combien le Maroc est impliqué sur cette question de dérèglement climatique et nos deux pays ont témoigné de leur volonté de poursuivre leur mobilisation à travers l'appel de Tanger lancé par le Roi Mohammed VI et le président François Hollande à la fin du mois de septembre.
A 50 jours de la COP21, nous sommes déterminés à construire un accord ambitieux, juridiquement contraignant et qui nous remette sur la trajectoire des deux degrés. Les 150 contributions nationales publiées par les États contiennent des engagements qui sont un encouragement pour la COP21. Nous avons encore du travail à accomplir tous ensemble.
C'est pour cela qu'il nous faut nous donner aussi des objectifs de plus long terme et un système de revue régulière des engagements pour que les différents pays puissent progresser dans la lutte contre le dérèglement climatique et retrouver progressivement la trajectoire des deux degrés. C'est important pour les États insulaires qui font face à la hausse du niveau des mers, mais aussi pour les pays d'Afrique qui voient aujourd'hui leurs territoires menacés par la désertification.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 19 octobre 2015
A 50 jours de la COP21, nous sommes déterminés à construire un accord ambitieux, juridiquement contraignant et qui nous remette sur la trajectoire des deux degrés. Les 150 contributions nationales publiées par les États contiennent des engagements qui sont un encouragement pour la COP21. Nous avons encore du travail à accomplir tous ensemble.
C'est pour cela qu'il nous faut nous donner aussi des objectifs de plus long terme et un système de revue régulière des engagements pour que les différents pays puissent progresser dans la lutte contre le dérèglement climatique et retrouver progressivement la trajectoire des deux degrés. C'est important pour les États insulaires qui font face à la hausse du niveau des mers, mais aussi pour les pays d'Afrique qui voient aujourd'hui leurs territoires menacés par la désertification.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 19 octobre 2015