Texte intégral
Michel SAPIN : Bonsoir à tous. Le président de l'Eurogroupe va vous faire une présentation précise de l'accord qui a été conclu ce soir, puisqu'un accord a été conclu.
Je voudrais juste dire deux ou trois choses. D'abord cet accord, et l'ensemble des discussions entre nous, ont souligné les efforts considérables, la confiance que l'on pouvait avoir dans le gouvernement grec d'aujourd'hui, sa capacité à mettre en uvre, même lorsque c'est politique difficile, les réformes nécessaires. Cet accord est d'abord un acte de confiance vis-à-vis de la Grèce d'aujourd'hui.
Ensuite, c'est un accord qui traite tous les points dont nous parlons depuis des mois, parfois même des années : aussi bien la nécessité de soutenir cette Grèce, qui aujourd'hui est dans un effort efficace, que de regarder attentivement -ce n'est pas à moi de les décrire ici- toutes les mesures qu'il convient de prendre du point de vue du traitement de la dette. Donc ce que la Grèce attendait depuis longtemps, ce à quoi nous nous étions engagés aussi depuis longtemps. Un traitement de la dette est aujourd'hui acté, et même précisé dans de bonnes conditions.
Q - Que veut dire acté ?
Cela fait partie de l'accord lui-même de façon précise, et suivant un principe d'organisation à court-terme, à moyen-terme et à long-terme. Mais je le répète, ce n'est pas à moi de vous décrire tout cela. C'est au président de l'Eurogroupe, dont je me permets de dire qu'il a fait un merveilleux travail d'animation, et qui a permis que cet accord soit trouvé.
Même si les discussions ont été longues, le climat a toujours été un climat extrêmement détendu, un climat extrêmement constructif, de la part de l'ensemble des partenaires.
Q - Le FMI fait partie de l'accord ?
Le FMI fait partie de l'accord dans des conditions qui sont précisées dans l'accord. Là encore, le président de l'Eurogroupe vous fera une description précise.
Merci.
Source : http://www.rpfrance.eu, le 25 mai 2016
Je voudrais juste dire deux ou trois choses. D'abord cet accord, et l'ensemble des discussions entre nous, ont souligné les efforts considérables, la confiance que l'on pouvait avoir dans le gouvernement grec d'aujourd'hui, sa capacité à mettre en uvre, même lorsque c'est politique difficile, les réformes nécessaires. Cet accord est d'abord un acte de confiance vis-à-vis de la Grèce d'aujourd'hui.
Ensuite, c'est un accord qui traite tous les points dont nous parlons depuis des mois, parfois même des années : aussi bien la nécessité de soutenir cette Grèce, qui aujourd'hui est dans un effort efficace, que de regarder attentivement -ce n'est pas à moi de les décrire ici- toutes les mesures qu'il convient de prendre du point de vue du traitement de la dette. Donc ce que la Grèce attendait depuis longtemps, ce à quoi nous nous étions engagés aussi depuis longtemps. Un traitement de la dette est aujourd'hui acté, et même précisé dans de bonnes conditions.
Q - Que veut dire acté ?
Cela fait partie de l'accord lui-même de façon précise, et suivant un principe d'organisation à court-terme, à moyen-terme et à long-terme. Mais je le répète, ce n'est pas à moi de vous décrire tout cela. C'est au président de l'Eurogroupe, dont je me permets de dire qu'il a fait un merveilleux travail d'animation, et qui a permis que cet accord soit trouvé.
Même si les discussions ont été longues, le climat a toujours été un climat extrêmement détendu, un climat extrêmement constructif, de la part de l'ensemble des partenaires.
Q - Le FMI fait partie de l'accord ?
Le FMI fait partie de l'accord dans des conditions qui sont précisées dans l'accord. Là encore, le président de l'Eurogroupe vous fera une description précise.
Merci.
Source : http://www.rpfrance.eu, le 25 mai 2016