Texte intégral
Deux Français, M. Franck Janier-Dubry et Melle Karine Mane, ont été enlevés à Douchanbe dans la nuit du 18 au 19 novembre. Ils travaillaient respectivement pour le programme Tacis et une organisation non gouvernementale travaillant pour le HCR.
Dès l'annonce de l'enlèvement de M. Franck Janier-Dubry et de Melle Karine Mane, notre ambassadeur à Moscou s'est rendu à Douchanbe.
L'ambassadeur a entretenu sur place tous les contacts nécessaires tant avec les autorités gouvernementales qu'avec les responsables de l'opposition tadjike.
Des contacts ont également été pris par nos représentants, notamment lors de la Conférence internationale sur le Tadjikistan qui s'est tenue à Vienne les 24 et 25 novembre à Bruxelles et partout où cela pouvait paraître utile.
Les autorités françaises ont sans cesse insisté sur la nécessité d'obtenir la libération de nos compatriotes sains et saufs, ce à quoi les autorités tadjikes s'étaient engagées. Notre ambassadeur a été tenu étroitement informé du déroulement des négociations menées par les autorités tadjikes, sous leur entière responsabilité.
Selon nos informations, à ce stade, c'est alors que les négociations étaient en cours avec les ravisseurs, qui avaient été localisés, que ces derniers ont pris l'initiative de rompre les pourparlers et ont ouvert le feu, blessant mortellement Melle Karine Mane.
Les autorités tadjikes ont tout mis en oeuvre pour que des soins soient immédiatement prodigués à Melle Karine Mane, qui est malheureusement décédée peu après son arrivée à l'hôpital.
Les autorités françaises ont affrété un appareil militaire spécial pour rapatrier M. Janier-Dubry et la dépouille mortelle de Melle Karine Mane. Cet avion pourra également procéder, le cas échéant, au rapatriement de ceux de nos compatriotes et des ressortissants étrangers, notamment européens, qui le souhaitent.
Les autorités françaises, profondément bouleversées par ce tragique événement, adresse à la famille et aux proches de Melle Mane leurs condoléances attristées. Le président de la République et le Premier ministre adressent des messages personnels à la famille de Melle Karine Mane.
Dès l'annonce de l'enlèvement de M. Franck Janier-Dubry et de Melle Karine Mane, notre ambassadeur à Moscou s'est rendu à Douchanbe.
L'ambassadeur a entretenu sur place tous les contacts nécessaires tant avec les autorités gouvernementales qu'avec les responsables de l'opposition tadjike.
Des contacts ont également été pris par nos représentants, notamment lors de la Conférence internationale sur le Tadjikistan qui s'est tenue à Vienne les 24 et 25 novembre à Bruxelles et partout où cela pouvait paraître utile.
Les autorités françaises ont sans cesse insisté sur la nécessité d'obtenir la libération de nos compatriotes sains et saufs, ce à quoi les autorités tadjikes s'étaient engagées. Notre ambassadeur a été tenu étroitement informé du déroulement des négociations menées par les autorités tadjikes, sous leur entière responsabilité.
Selon nos informations, à ce stade, c'est alors que les négociations étaient en cours avec les ravisseurs, qui avaient été localisés, que ces derniers ont pris l'initiative de rompre les pourparlers et ont ouvert le feu, blessant mortellement Melle Karine Mane.
Les autorités tadjikes ont tout mis en oeuvre pour que des soins soient immédiatement prodigués à Melle Karine Mane, qui est malheureusement décédée peu après son arrivée à l'hôpital.
Les autorités françaises ont affrété un appareil militaire spécial pour rapatrier M. Janier-Dubry et la dépouille mortelle de Melle Karine Mane. Cet avion pourra également procéder, le cas échéant, au rapatriement de ceux de nos compatriotes et des ressortissants étrangers, notamment européens, qui le souhaitent.
Les autorités françaises, profondément bouleversées par ce tragique événement, adresse à la famille et aux proches de Melle Mane leurs condoléances attristées. Le président de la République et le Premier ministre adressent des messages personnels à la famille de Melle Karine Mane.