Texte intégral
Mesdames et Messieurs, j'ai reçu avec plaisir mon ami Josep Piqué qui va assurer, en tant que ministre des Affaires étrangères du Royaume d'Espagne, la présidence du Conseil Affaires générales à partir du 1er janvier. C'est une responsabilité lourde et importante, stratégique dans cette période. Je suis très heureux d'avoir l'occasion de travailler encore plus étroitement que nous ne le faisions déjà.
Nous avons passé en revue tous les points, les priorités de la Présidence espagnole m'ont été exposées. Nous connaissons l'ensemble des sujets qui sont sur la table et que nous allons avoir à traiter ensemble. Je n'entre pas dans le détail, je pense qu'il voudra dire un mot tout de suite mais je peux simplement vous dire que nous sommes quasiment d'accord sur tous les sujets et de toutes les façons, nous appuierons avec beaucoup d'énergie et d'amitié la présidence espagnole pour traiter tous les problèmes très importants qui sont à son ordre du jour.
Q - (inaudible)
(...)
R - Concernant la lutte contre le terrorisme, je pense que nos deux pays sont engagés totalement et que nous sommes exactement sur la même longueur d'onde.
Pour ce qui est de Barcelone, nous l'abordons dans l'esprit qui a été celui du Conseil européen de Lisbonne, une date importante. Nous participerons activement à cette préparation et il n'y a pas de raison pour que nous ne nous mettions pas d'accord.
Q - Je suppose que vous avez évoqué la crise argentine, et la position que chacun de vous a sur le plan bilatéral et sur le plan européen
(...)
R - Nous apporterons notre appui aux efforts de la Présidence espagnole par rapport à l'Argentine.
Q - Quelle est votre évaluation de la situation actuelle au Proche-Orient et des démarches de l'Union européenne après celle des Etats-Unis ? Quelles sont les priorités de la présidence espagnole s'agissant de cette région, comptez-vous assurer une présence diplomatique comme autrefois ?
R - Vous connaissez la gravité de la situation au Proche-Orient, les Quinze se sont exprimés avec beaucoup de clarté et de fermeté à Laeken. Ils ont exprimé des exigences indissociables aussi bien à l'égard de l'Autorité palestinienne qu'à l'égard du gouvernement israélien. Je crois que la seule façon de commencer à sortir de la situation actuelle serait de mettre en oeuvre ce que les Européens ont demandé.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 21 décembre 2001)
Nous avons passé en revue tous les points, les priorités de la Présidence espagnole m'ont été exposées. Nous connaissons l'ensemble des sujets qui sont sur la table et que nous allons avoir à traiter ensemble. Je n'entre pas dans le détail, je pense qu'il voudra dire un mot tout de suite mais je peux simplement vous dire que nous sommes quasiment d'accord sur tous les sujets et de toutes les façons, nous appuierons avec beaucoup d'énergie et d'amitié la présidence espagnole pour traiter tous les problèmes très importants qui sont à son ordre du jour.
Q - (inaudible)
(...)
R - Concernant la lutte contre le terrorisme, je pense que nos deux pays sont engagés totalement et que nous sommes exactement sur la même longueur d'onde.
Pour ce qui est de Barcelone, nous l'abordons dans l'esprit qui a été celui du Conseil européen de Lisbonne, une date importante. Nous participerons activement à cette préparation et il n'y a pas de raison pour que nous ne nous mettions pas d'accord.
Q - Je suppose que vous avez évoqué la crise argentine, et la position que chacun de vous a sur le plan bilatéral et sur le plan européen
(...)
R - Nous apporterons notre appui aux efforts de la Présidence espagnole par rapport à l'Argentine.
Q - Quelle est votre évaluation de la situation actuelle au Proche-Orient et des démarches de l'Union européenne après celle des Etats-Unis ? Quelles sont les priorités de la présidence espagnole s'agissant de cette région, comptez-vous assurer une présence diplomatique comme autrefois ?
R - Vous connaissez la gravité de la situation au Proche-Orient, les Quinze se sont exprimés avec beaucoup de clarté et de fermeté à Laeken. Ils ont exprimé des exigences indissociables aussi bien à l'égard de l'Autorité palestinienne qu'à l'égard du gouvernement israélien. Je crois que la seule façon de commencer à sortir de la situation actuelle serait de mettre en oeuvre ce que les Européens ont demandé.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 21 décembre 2001)