Texte intégral
Monsieur le Ministre,
Après votre nomination par le nouveau président de la nation argentine, M. Edouardo Duhalde, aux fonctions de ministre des Relations extérieures, je tiens à vous exprimer toutes mes félicitations, mes vux les plus chaleureux et mes encouragements pour la tâche difficile et importante qui vous échoit.
Je n'oublie pas notre rencontre à l'ambassade de France, lors de ma visite à Buenos Aires en avril 2000, et j'espère que nous aurons l'occasion prochainement de nous retrouver.
Je sais l'intérêt que vous portez aux relations entre nos deux pays. Vous pouvez être sûr que la France ne ménagera pas ses efforts pour appuyer votre pays en harmonie avec nos partenaires de l'Union européenne et d'abord avec la présidence espagnole.
Nous savons aussi que vous aurez à cur de veiller sur nos entreprises qui ont beaucoup investi en Argentine, parce qu'elles croient profondément en son avenir et parce qu'elles ont confiance dans sa parole. Elles sont pour vous de bons partenaires, et il faut leur donner la possibilité de continuer à investir et de contribuer ainsi au redressement du pays.
Je forme enfin des vux pour que le travail courageux et nécessaire entrepris par le nouveau président et le nouveau gouvernement porte vite ses fruits.
Je vous prie de croire, Monsieur le Ministre, à ma haute considération et à mes sentiments très cordiaux.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 8 janvier 2002)
Après votre nomination par le nouveau président de la nation argentine, M. Edouardo Duhalde, aux fonctions de ministre des Relations extérieures, je tiens à vous exprimer toutes mes félicitations, mes vux les plus chaleureux et mes encouragements pour la tâche difficile et importante qui vous échoit.
Je n'oublie pas notre rencontre à l'ambassade de France, lors de ma visite à Buenos Aires en avril 2000, et j'espère que nous aurons l'occasion prochainement de nous retrouver.
Je sais l'intérêt que vous portez aux relations entre nos deux pays. Vous pouvez être sûr que la France ne ménagera pas ses efforts pour appuyer votre pays en harmonie avec nos partenaires de l'Union européenne et d'abord avec la présidence espagnole.
Nous savons aussi que vous aurez à cur de veiller sur nos entreprises qui ont beaucoup investi en Argentine, parce qu'elles croient profondément en son avenir et parce qu'elles ont confiance dans sa parole. Elles sont pour vous de bons partenaires, et il faut leur donner la possibilité de continuer à investir et de contribuer ainsi au redressement du pays.
Je forme enfin des vux pour que le travail courageux et nécessaire entrepris par le nouveau président et le nouveau gouvernement porte vite ses fruits.
Je vous prie de croire, Monsieur le Ministre, à ma haute considération et à mes sentiments très cordiaux.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 8 janvier 2002)