Résumé
La candidature de M. Mitterrand (esprit "revanchard et sectaire", positionnement en tant que chef du PS, "radicalisme" de son état-major de campagne)-la popularité de M. Mitterrand dans les sondages et les raisons de ne pas voter pour lui (candidat de l'affrontement, incompétence de l'homme d'Etat, bilan négatif du septennat, incapacité à résoudre les problèmes).<br>- La campagne de M. Chirac : le coût de la campagne et la réfutation de la notion "d'Etat-RPR" (pluralisme politique du gouvernement, stabilité des responsables de l'audiovisuel et de l'administration après mars 1986-dénonciation de "l'Etat-PS" entre 1981 et 1986)-les raisons de voter pour M. Chirac (homme de la sécurité, de la clarté, du respect des engagements et de l'avenir)-l'après mai 1988 (pas de dissolution de l'Assemblée nationale en cas d'élection de M. Chirac-pas de cohabitation et période d'incertitudes en cas d'élection de M. Mitterrand).<br>- Le rapport des forces au sein de la droite : les relations RPR UDF (position favorable à la double candidature, respect du code de bonne conduite de la part du RPR, position favorable à la proposition de fusion RPR UDF de M. Balladur mais réalisation prématurée)-la montée du Front national (la responsabilité de la politique "laxiste" du PS de 1981 à 1986-les résultats de la politique "sécuritaire" depuis mars 1986-le ralliement sans contreparties de certains députés du Front national au RPR).- 27 VUES