Résumé
VOLONTE DU GOUVERNEMENT DE CONTINUER A AUGMENTER LES DEPENSES DE L'ASSURANCE MALADIE MAIS DANS LES LIMITES DE L'AUGMENTATION DES RECETTES-EVENTUALITE D'UNE INTERVENTION GOUVERNEMENTALE EN-CAS D'ECHEC DES NEGOCIATIONS CONVENTIONNELLES ENTRE MEDECINS ET SECURITE SOCIALE OU D'UNE INTERVENTION PARLEMENTAIRE SI DES MODIFICATIONS DE LA LOI DE 1971 SONT ENVISAGEES.<br>- PAS QUESTION DE NATIONALISER LA MEDECINE-PAS DE REMISE EN CAUSE DE LA SECURITE SOCIALE MAIS NECESSITE D'UN RECENTRAGE : SUPPRESSION DE LA GRATUITE TOTALE QUI POUSSE A LA SURCONSOMMATION-DEVELOPPEMENT DES SOINS AUX GRANDS MALADES-MISE EN OEUVRE D'UNE POLITIQUE DE PREVENTION AU-NIVEAU SOCIAL ET MEDICAL ( ENCOURAGEMENT AUX EQUIPES PLURI-DISCIPLINAIRES DE PRISE EN CHARGE DES MALADES, DEVELOPPEMENT DE L'EPIDEMIOLOGIE).<br>- AVANTAGE DU PAIEMENT DIRECT A L'ACTE QUI N'EST PAS INCOMPATIBLE AVEC UNE MEDECINE LENTE ET QUI POURRAIT SE COMBINER AVEC UNE REMUNERATION D'UN TYPE DIFFERENT POUR L'EDUCATION SANITAIRE ET LA PREVENTION-DEMAND E D'AUTODISCIPLINE AUX MEDECINS POUR GARANTIR LA QUALITE DES SOINS MAIS PAS DE CONTROLE SUPPLEMENTAIRE AU-NIVEAU DES HOPITAUX.<br>- LUTTE CONTRE LA DROGUE PAR LA REPRESSION DU TRAFIC ET LA SENSIBILISATION DES JEUNES ET DE CEUX QUI S'EN OCCUPENT.- 6 VUES