Texte intégral
Samedi 6 décembre le quotidien Présent titrait : « Jean-Marc, 17 ans, tué à coups de pied par une bande de « jeunes » déjà connus des services de police. Comme Nicolas à Marseille, comme Robin à Rennes, comme Sabrina à Nancy, comme Jérôme à Bondy, comme… »
Il ne s’agit plus là de simples faits divers, mais bel et bien de faits de société, qui traduisent un ébranlement profond de notre civilisation. Fait aggravant, 40 % des violences de voie publique dans notre pays sont aujourd’hui le fait des mineurs, souvent commis par des très jeune (10-14 ans). À en croire les seules statistiques officielles, au premier semestre de l’année 1997, la délinquance des mineurs a augmenté de 12,2 %. Or, c’est l’immigration qui constitue la pierre angulaire de ce drame.
Des milliers de jeunes Français sont agressés, blessés, battus, volés dans la rue et dans un lieu qui devrait être un sanctuaire : l’école. Ceux qui osent résister à la loi du racket, à la loi de la haine, à la loi des « jeunes », qui osent briser la loi du silence, qui osent résister, qui osent marcher regard droit et tête haute, sont désormais des cibles vivantes pour les bandes ethniques. Les autres, terrorisés au point, comme les camarades de classe de Jean-Marc, de ne pas oser dénoncer les coupables, sont déjà, sans peut-être le savoir, résignés à l’esclavage de la peur.
Ces morts à répétition inquiètent la classe politique, non parce que de jeunes Français sont assassinés, mais parce qu’elle craint la réaction du peuple, excédé de tels débordements de violence. C’est la raison pour laquelle l’affaire est soigneusement bordée dès qu’un meurtre de ce genre se produit. Association, syndicats, partis politiques, organisent en mémoire des victimes défilés, pétitions, marches silencieuses, mesures tout aussi inefficaces les unes que les autres, mais qui n’ont qu’un but : empêcher la juste colère des citoyens de s’exprimer… et surtout leur interdire de rejoindre les rangs du Front national ! Ces rassemblements hétéroclites de Tartuffes et d’innocents constituent un curieux mélange de cynisme et de pleutrerie, bien à l’image de notre société qui se refuse à voir les problèmes tels qu’ils sont, et préfère se bercer d’illusions en pratiquant la politique de l’autruche. Le réveil sera terrible.
La seule priorité de l’établissement : empêcher la juste colère des citoyens
Assurés de l’impunité par le jeu des lois prétendument anti-racistes, bénéficiant de la mansuétude de la justice et du lobby médiatique, insultant des forces de police condamnées par crainte de « bavures » à rester l’arme au pied, encouragés à suivre les modes socio-culturelles qui exaltent le modèle américain, cherchant à singer les bandes ultra-violentes du Bronx, les jeunes immigrés qui ne veulent ni ne peuvent devenir Français, reconstituent les structures claniques de leurs pays d’origine, et se conduisent comme en pays conquis ou à conquérir. C’est là le fait majeur qui explique la croissance exponentielle de l’insécurité dans notre pays, la violence en milieu scolaire, les agressions dans les transports, les banlieues en voie d’explosion, les batailles rangées entre bandes rivales pour le contrôle de zones de « deal ». Cette évolution, prévue et dénoncée par le FN depuis et pendant des années, conduit du caillassage, forme nationale de l’inti-fada, à la guérilla urbaine, et de la guérilla à la guerre civile.
Il y a dans notre pays plus de 6 millions d’immigrés, qui coûtent chaque année à la communauté nationale près de 300 milliards de francs. Alors qu’il n’y a pas assez de travail pour les Français, le gouvernement naturalise à tour de bras. 150 000 demandes de régularisation ont ainsi été déposées, pour naturaliser les clandestins que l’UDF et le RPR ont laissé s’installer en France. Nous dénonçons avec vigueur la criminelle politique d’immigration qui a été menée par les gouvernements successifs, de « gauche » comme de « droite », et qui a conduit en toute impunité à l’implantation de véritables colonies de peuplement étrangères sur notre territoire, déjà majoritaires dans certaines villes.
Cette immigration-invasion qui se poursuit sans relâche depuis trente ans, est la cause principale de la montée du chômage, de l’insécurité, du fiscalisme, de l’illettrisme, en un mot de l’affaiblissement dramatique de notre pays. En vérité, les Français en ont assez de ces faux-débats sur l’immigration destinés seulement à abuser les gogos et tromper les électeurs avant chaque grand scrutin. PC-PS-UDF-RPR, ils ont tous renoncé à défendre la France, ils ont tous abdiqué devant l’immigration-invasion, quand ils ne ‘ont pas ouvertement favorisée.
Disons-le clairement : la question n’est pas de savoir combien de clandestins il faut régulariser, ni à quel âge les immigrés obtiendront la nationalité française et le droit de vote, mais quand et comment nous allons inverser, fermement et massivement, les flux migratoires. Et que l’on ne vienne pas là nous dire que ce sont des mesures inhumaines !
Une volonté politique et quelques mesures de bon sens
Il suffit simplement d’une volonté politique, et d’appliquer aussitôt que possible quelque mesures concrètes et de bon sens, comme l’organisation du regroupement familial des immigrés dans leurs pays d’origine, le remplacement de la carte permanente de 10 ans par une carte temporaire de un an, l’application du principe de la préférence nationale pour l’emploi, le logement, les prestations familiales et sociales, la suppression de l’aberrant droit du sol, pour en revenir à la logique du droit du sang et de la filiation, complété par la naturalisation des étrangers qui la méritent, sans oublier bien sûr la dénonciation du Traité de Maastricht et le rétablissement des contrôles aux frontières. C’est à cette condition, et à cette condition seulement, que nous pourrons encore exister en tant que nation libre, homogène et souveraine à l’orée du troisième millénaire.
Il n’y a pas de liberté ni de prospérité sans ordre et sans justice.