L'agroécologie est une rupture par rapport à l'agriculture productiviste. Elle est bénéfique tant pour l'environnement que pour la santé des hommes. Elle repose cependant sur des modes de production dont nous devons assumer les coûts si nous voulons qu'elle s'impose.
Le "choc de compétitivité" du rapport Gallois de 2012 a été le point de départ d'un renouveau de la politique industrielle en France, tournée vers la compétitivité et l'attractivité. Quelles sont les politiques mises en œuvre depuis et quels résultats peut-on observer ?
Difficultés à établir l'autonomie, rivalités et intérêts nationaux… Nombreux sont les obstacles pour construire une politique industrielle unifiée au niveau européen. La France doit trouver les moyens nécessaires pour ne pas rester simple spectatrice de la réindustrialisation européenne.
Face aux conséquences économiques de l’épidémie de Covid-19, la Commission européenne a proposé un plan de relance, baptisé "Next Generation EU". Un accord a été trouvé par les 27 États membres de l'UE pour un montant de 750 milliards d'euros, ce qui constitue une première : jusqu'alors, l'endettement en commun n'était pas permis.
Face à l’ascension foudroyante des GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft), les États-Unis et l’Union européenne travaillent sur différentes initiatives de régulation des géants du numérique, allant de mesures de contraintes et de transparence à un éventuel démantèlement.
La loi de 1901 relative au contrat d'association est le fruit d'un long processus, initié au lendemain du Second Empire, d'assouplissement des règles traditionnelles s'appliquant aux groupements de personnes (réunions publiques, sociétés ouvrières, syndicats...)
Avant 1901, le modèle associatif évolue lentement, en raison des réticences du pouvoir politique, qui voit dans les premières corporations et les revendications (d'ordre religieux, économique ou politique notamment) un risque d'affaiblissement.
Depuis 2019 la France est championne d’Europe en matière d’investissements directs étrangers (IDE). Les investissements directs étrangers renforcent-ils ou affaiblissent-ils le tissu économique français ? Comment cette performance s’explique-t-elle compte tenu des défis macroéconomiques qui persistent en France ?
Longtemps vues comme duales, les politiques d'atténuation des changements climatiques et d'adaptation à ces changements apparaissent dorénavant comme complémentaires. Si la France a mené une action plutôt précoce en matière d'adaptation, la crise de l'eau ou encore le retrait-gonflement des argiles témoignent de la nécessité d'aller plus loin.
L'Union européenne cherche à garantir des conditions de concurrence équitables, ainsi qu'un vaste choix et des prix justes aux consommateurs. Les plateformes numériques, comme tout acteur économique, sont donc réglementées, contrôlées et, le cas échéant, sanctionnées. Comment s'organise ce travail et quels en sont les résultats ?