Texte intégral
Le Premier ministre a pris connaissance du bilan des accidents de la route du mois d'octobre 1987 que lui a communiqué le ministre de l'équipement, du logement, de l'aménagement du territoire et des transports, M. Pierre Méhaignerie.
- 17096 accidents corporels, soit - 8,3 % par rapport à octobre 86
- 881 tués, soit - 21,1 % par rapport à octobre 86
- 23183 blessés, soit - 9,6 % par rapport à octobre 86
- Sur les dix premiers mois de 1987, comparés à la même période de 1986, on constate une diminution de :
- - 8,9 % des accidents corporels,
- - 11,7 % des tués
- - 10 % des blessés.
- Ce résultat est exceptionnel car du 1er novembre 1986 au 31 octobre 1987, le nombre des tués sur la route a été de 9908. Pour la première fois depuis plus de 25 ans, en 1961, leur nombre est inférieur à la barre des 10000 au cours de 12 mois consécutifs.
- Ces chiffres confirment l'exceptionnelle mobilisation des conducteurs et des forces de police et de gendarmerie. Ils démontrent que la mort sur la route n'est pas une fatalité. Le Gouvernement tient à remercier tous les usagers de la route qui ont su modifier leur comportement et choisir la vie.
- Néanmoins, 9908 tués et 237000 blessés restent un tribut intolérable payé chaque année à la circulation routière. La France demeure l'avant-dernier pays de la Communauté européenne pour le nombre de tués par million d'habitants : 217 par an contre 99 en Grande-Bretagne. L'effort doit être poursuivi. Chaque conducteur de voiture, de camion, ou de moto, mais aussi chaque piéton et cycliste doit prendre conscience du caractère inacceptable de cette hécatombe et de sa responsabilité personnelle. Ce succès doit convaincre tous les Français que si nous voulons, nous pouvons améliorer progressivement la sécurité sur les routes et dans les rues des villes.
- Le Gouvernement poursuivra la politique qu'il a engagée au cours du Comité interministériel de la Sécurité routière du 11 février 1987.
- 17096 accidents corporels, soit - 8,3 % par rapport à octobre 86
- 881 tués, soit - 21,1 % par rapport à octobre 86
- 23183 blessés, soit - 9,6 % par rapport à octobre 86
- Sur les dix premiers mois de 1987, comparés à la même période de 1986, on constate une diminution de :
- - 8,9 % des accidents corporels,
- - 11,7 % des tués
- - 10 % des blessés.
- Ce résultat est exceptionnel car du 1er novembre 1986 au 31 octobre 1987, le nombre des tués sur la route a été de 9908. Pour la première fois depuis plus de 25 ans, en 1961, leur nombre est inférieur à la barre des 10000 au cours de 12 mois consécutifs.
- Ces chiffres confirment l'exceptionnelle mobilisation des conducteurs et des forces de police et de gendarmerie. Ils démontrent que la mort sur la route n'est pas une fatalité. Le Gouvernement tient à remercier tous les usagers de la route qui ont su modifier leur comportement et choisir la vie.
- Néanmoins, 9908 tués et 237000 blessés restent un tribut intolérable payé chaque année à la circulation routière. La France demeure l'avant-dernier pays de la Communauté européenne pour le nombre de tués par million d'habitants : 217 par an contre 99 en Grande-Bretagne. L'effort doit être poursuivi. Chaque conducteur de voiture, de camion, ou de moto, mais aussi chaque piéton et cycliste doit prendre conscience du caractère inacceptable de cette hécatombe et de sa responsabilité personnelle. Ce succès doit convaincre tous les Français que si nous voulons, nous pouvons améliorer progressivement la sécurité sur les routes et dans les rues des villes.
- Le Gouvernement poursuivra la politique qu'il a engagée au cours du Comité interministériel de la Sécurité routière du 11 février 1987.