Texte intégral
Le ministre délégué à la Coopération et à la Francophonie, Charles Josselin, et le ministre des Finances de Côte d'Ivoire, Bouabré Bohoun, ont signé aujourd'hui à Paris une convention d'aide budgétaire d'un montant de 55,1 millions d'euros, soit 36 milliards de francs CFA environ.
Ce montant est destiné à couvrir la bonification des intérêts du prêt que la France a accordé le 25 avril 2002 à la Côte d'Ivoire. Ce prêt, d'un montant total de 182,94 millions d'euros (120 milliards de francs CFA), se situe dans le cadre du financement du programme conclu entre la Côte d'Ivoire et le Fonds monétaire international et approuvé le 27 mars 2002.
Cette aide intervient en complément des appuis budgétaires accordés par les autres partenaires de la Côte d'Ivoire : Fonds monétaire international, Banque mondiale, Union européenne et Banque africaine de Développement. Les points d'affectation de l'aide française privilégient notamment le soutien aux populations et la relance de l'économie.
L'effort de la France sera poursuivi par la mise en oeuvre d'un contrat désendettement-développement (C2D), au point d'achèvement de l'initiative PPTE, à la fin de l'année 2003.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 2 mai 2002)
Ce montant est destiné à couvrir la bonification des intérêts du prêt que la France a accordé le 25 avril 2002 à la Côte d'Ivoire. Ce prêt, d'un montant total de 182,94 millions d'euros (120 milliards de francs CFA), se situe dans le cadre du financement du programme conclu entre la Côte d'Ivoire et le Fonds monétaire international et approuvé le 27 mars 2002.
Cette aide intervient en complément des appuis budgétaires accordés par les autres partenaires de la Côte d'Ivoire : Fonds monétaire international, Banque mondiale, Union européenne et Banque africaine de Développement. Les points d'affectation de l'aide française privilégient notamment le soutien aux populations et la relance de l'économie.
L'effort de la France sera poursuivi par la mise en oeuvre d'un contrat désendettement-développement (C2D), au point d'achèvement de l'initiative PPTE, à la fin de l'année 2003.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 2 mai 2002)