Texte intégral
La gendarmerie tout entière, unie par la pensée, s'incline solennellement et fidèlement chaque annnée, le 16 février, pour commémorer le souvenir des siens tombés en service commandés.
Aux personnels d'active rassemblés dans le recueillement se joignent les retraités, les réservistes, et les principales autorités civiles, militaires et judiciaires de l'Etat, aux côtés desquelles la gendarmerie sert la nation. Tous entendent par leur présence souligner l'attachement à un corps qui illustre les vertus de courage et d'abnégation.
Le gendarme veille chaque jour, chaque nuit, dans nos villes, nos banlieues et nos campagnes, comme sur les théâtres d'opérations extérieurs. Soldats de loi, il est le gage de la paix publique. Il incarne depuis des siècles la protection des personnes et des biens.
Les femmes et les hommes qui portent l'uniforme bleu et noir savent les risques qu'ils courent du fait de leur engagement total au service du pays et de leurs concitoyens. Cette conscience d'un péril accepté, toujours présent même au cours des missions les plus banales, rend encore plus noble le sacrifice de ces militaires.
En appelant le nom des victimes du devoir décédés en 1997, nous saluons avec émotion le dévouement absolu de ceux qui ont mérité plus que notre reconnaissance : notre admiration.
Votre présence à tous en ce 16 février, témoigne, par delà la peine, de l'immense fierté qu'éprouve la gendarmerie devant l'exemple héroïque donné par ces hommes d'honneur et de devoir. Leur évocation, devant le drapeau tricolore, doit être le ferment de la foi et du courage chez leurs frères d'armes qui ont en charge la défense de la paix civile et des libertés.
(Source http://www.défense.gouv.fr, le 17 septembre 2001)
Aux personnels d'active rassemblés dans le recueillement se joignent les retraités, les réservistes, et les principales autorités civiles, militaires et judiciaires de l'Etat, aux côtés desquelles la gendarmerie sert la nation. Tous entendent par leur présence souligner l'attachement à un corps qui illustre les vertus de courage et d'abnégation.
Le gendarme veille chaque jour, chaque nuit, dans nos villes, nos banlieues et nos campagnes, comme sur les théâtres d'opérations extérieurs. Soldats de loi, il est le gage de la paix publique. Il incarne depuis des siècles la protection des personnes et des biens.
Les femmes et les hommes qui portent l'uniforme bleu et noir savent les risques qu'ils courent du fait de leur engagement total au service du pays et de leurs concitoyens. Cette conscience d'un péril accepté, toujours présent même au cours des missions les plus banales, rend encore plus noble le sacrifice de ces militaires.
En appelant le nom des victimes du devoir décédés en 1997, nous saluons avec émotion le dévouement absolu de ceux qui ont mérité plus que notre reconnaissance : notre admiration.
Votre présence à tous en ce 16 février, témoigne, par delà la peine, de l'immense fierté qu'éprouve la gendarmerie devant l'exemple héroïque donné par ces hommes d'honneur et de devoir. Leur évocation, devant le drapeau tricolore, doit être le ferment de la foi et du courage chez leurs frères d'armes qui ont en charge la défense de la paix civile et des libertés.
(Source http://www.défense.gouv.fr, le 17 septembre 2001)