Texte intégral
Réunis à Ouagadougou, les ministres des Affaires étrangères et chefs de délégation ont procédé à l'évaluation de la mise en oeuvre des décisions issues de la XIXème Conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de France et d'Afrique qui s'est tenue dans la capitale burkinabé en décembre 1996, et ont discuté de la coopération en matière de sécurité, thème proposé pour la XXème Conférence au Sommet prévue à Paris du 26 au 28 novembre 1998.
A cette occasion, ils ont passé en revue les situations prévalant dans les différents pays du continent et examiné les initiatives sous-régionales, régionales et internationales, portant sur la prévention et le règlement des conflits.
Ils ont également examiné dans ce cadre les contributions actuelles visant au renforcement des capacités africaines de maintien de la paix. Ils ont souligné la pertinence des mécanismes sous-régionaux et régionaux dans le cadre de l'Organisation de l'Unité africaine. Ils ont en outre estimé que la nature des conflits implique un engagement plus actif de la communauté internationale, notamment à travers le Conseil de sécurité de l'Organisation des Nations unies.
Les ministres des Affaires étrangères et chefs de délégation ont procédé à l'évaluation de la mise en oeuvre de la Déclaration finale de Ouagadougou portant sur la "bonne gouvernance et le développement". Ils ont constaté les avancées encourageantes réalisés dans le processus de démocratisation, caractérisé par une plus grande participation de la société civile.
Un point a également été consacré à la préparation des négociations portant sur l'avenir de la Convention de Lomé. Le débat a permis de mettre l'accent sur la Déclaration de Libreville, ainsi que sur la préservation de l'unité et de la solidarité du Groupe ACP. Il a également permis de souligner l'importance du partenariat entre les Etats ACP et l'Union européenne, qu'il s'agisse de la ratification des Accords déjà paraphés, de la consolidation des acquis, de l'adaptation de certaines institutions telles que le STABEX et le SYSMIN ou de l'accroissement de l'enveloppe financière.
Les ministres des Affaires étrangères et chefs de délégation ont écouté avec intérêt la communication qui leur a été faite sur la réforme du dispositif français de coopération et noté avec satisfaction que la restructuration intervenue est inspirée des soucis d'efficacité et de pérennisation de l'amitié franco-africaine.
Les ministres des Affaires étrangères et chefs de délégation ont exprimé leur gratitude à Son Excellence M. Blaise Compaoré, président du Faso, président du Conseil des ministres, au gouvernement et au peuple burkinabé pour l'accueil et l'hospitalité qui leur ont été réservés./.
A cette occasion, ils ont passé en revue les situations prévalant dans les différents pays du continent et examiné les initiatives sous-régionales, régionales et internationales, portant sur la prévention et le règlement des conflits.
Ils ont également examiné dans ce cadre les contributions actuelles visant au renforcement des capacités africaines de maintien de la paix. Ils ont souligné la pertinence des mécanismes sous-régionaux et régionaux dans le cadre de l'Organisation de l'Unité africaine. Ils ont en outre estimé que la nature des conflits implique un engagement plus actif de la communauté internationale, notamment à travers le Conseil de sécurité de l'Organisation des Nations unies.
Les ministres des Affaires étrangères et chefs de délégation ont procédé à l'évaluation de la mise en oeuvre de la Déclaration finale de Ouagadougou portant sur la "bonne gouvernance et le développement". Ils ont constaté les avancées encourageantes réalisés dans le processus de démocratisation, caractérisé par une plus grande participation de la société civile.
Un point a également été consacré à la préparation des négociations portant sur l'avenir de la Convention de Lomé. Le débat a permis de mettre l'accent sur la Déclaration de Libreville, ainsi que sur la préservation de l'unité et de la solidarité du Groupe ACP. Il a également permis de souligner l'importance du partenariat entre les Etats ACP et l'Union européenne, qu'il s'agisse de la ratification des Accords déjà paraphés, de la consolidation des acquis, de l'adaptation de certaines institutions telles que le STABEX et le SYSMIN ou de l'accroissement de l'enveloppe financière.
Les ministres des Affaires étrangères et chefs de délégation ont écouté avec intérêt la communication qui leur a été faite sur la réforme du dispositif français de coopération et noté avec satisfaction que la restructuration intervenue est inspirée des soucis d'efficacité et de pérennisation de l'amitié franco-africaine.
Les ministres des Affaires étrangères et chefs de délégation ont exprimé leur gratitude à Son Excellence M. Blaise Compaoré, président du Faso, président du Conseil des ministres, au gouvernement et au peuple burkinabé pour l'accueil et l'hospitalité qui leur ont été réservés./.