Texte intégral
Monsieur le Président,
Mesdames et Messieurs les Députés,
Monsieur le Député,
Vous l'avez dit, en l'état actuel des informations, nous ne pouvons et nous ne devons exclure aucune hypothèse, accident ou attentat. Il faut attendre la connaissance exacte des faits au terme de l'enquête qui est menée.
Dès la nouvelle, les autorités françaises ont pris contact avec les responsables yéménites. Le président de la République a téléphoné à son homologue, M. Ali Saleh, et notre ambassadeur a été en contact avec le ministère de l'Intérieur, le ministre des Transports et le ministre des Affaires étrangères yéménites. Nous avons envoyé sur place, à Mouqallah, un agent consulaire pour assister nos compatriotes en difficulté et pour répondre aux besoins immédiats du bateau.
Nous avons par ailleurs décidé d'envoyer sur place une mission d'expertise du ministère des Transports, et des représentants de son Bureau Enquête-accident seront donc très rapidement sur place. Ils doivent en principe arriver aujourd'hui avec également un expert de la pollution maritime. Bien évidemment et compte tenu de la tension qui existe actuellement sur la scène internationale, nous avons décidé d'une vigilance particulière en liaison avec notre réseau diplomatique et consulaire. En effet, depuis plusieurs mois et bien avant l'attentat de Karachi, nous sommes conscients des responsabilités qui sont les nôtres et les consignes du Premier ministre à cet égard ont été extrêmement précises. Nous avons fait en sorte donc que les plans de sécurité de l'ensemble de nos ambassades dans chacun des pays, puissent répondre aux situations particulières qui, d'ores et déjà, peuvent être évaluées.
Nous attachons évidemment une attention particulière également aux problèmes des biens de nos ressortissants. Nous faisons face à toute éventualité en liaison avec nos chefs de postes et l'ensemble des ministères concernés.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 10 octobre 2002)
Mesdames et Messieurs les Députés,
Monsieur le Député,
Vous l'avez dit, en l'état actuel des informations, nous ne pouvons et nous ne devons exclure aucune hypothèse, accident ou attentat. Il faut attendre la connaissance exacte des faits au terme de l'enquête qui est menée.
Dès la nouvelle, les autorités françaises ont pris contact avec les responsables yéménites. Le président de la République a téléphoné à son homologue, M. Ali Saleh, et notre ambassadeur a été en contact avec le ministère de l'Intérieur, le ministre des Transports et le ministre des Affaires étrangères yéménites. Nous avons envoyé sur place, à Mouqallah, un agent consulaire pour assister nos compatriotes en difficulté et pour répondre aux besoins immédiats du bateau.
Nous avons par ailleurs décidé d'envoyer sur place une mission d'expertise du ministère des Transports, et des représentants de son Bureau Enquête-accident seront donc très rapidement sur place. Ils doivent en principe arriver aujourd'hui avec également un expert de la pollution maritime. Bien évidemment et compte tenu de la tension qui existe actuellement sur la scène internationale, nous avons décidé d'une vigilance particulière en liaison avec notre réseau diplomatique et consulaire. En effet, depuis plusieurs mois et bien avant l'attentat de Karachi, nous sommes conscients des responsabilités qui sont les nôtres et les consignes du Premier ministre à cet égard ont été extrêmement précises. Nous avons fait en sorte donc que les plans de sécurité de l'ensemble de nos ambassades dans chacun des pays, puissent répondre aux situations particulières qui, d'ores et déjà, peuvent être évaluées.
Nous attachons évidemment une attention particulière également aux problèmes des biens de nos ressortissants. Nous faisons face à toute éventualité en liaison avec nos chefs de postes et l'ensemble des ministères concernés.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 10 octobre 2002)