Texte intégral
Les propositions présentées aux élus corses par le gouvernement de la gauche plurielle constituent à mon sens une première étape positive. La voie choisie doit permettre que s'engage un processus fondé sur le dépassement du statu quo et le refus de l'aventure. Je ne peux que m'en réjouir. D'autant que de longue date, et particulièrement ces derniers mois, le Parti communiste, ses élus et ses militants corses ont été les artisans tenaces et courageux de ce qui aujourd'hui peut constituer une avancée citoyenne et démocratique.
En toutes occasions, une seule chose a guidé notre réflexion et notre action : l'intérêt de la Corse et de la République. Je pense que la Corse a besoin tout à la fois de moyens nouveaux mis au service du développement social, économique et des services publics de l'île, d'une ambition culturelle et de la démocratisation des institutions.
Aujourd'hui, c'est un processus qui se met en place. Les communistes vont s'y engager avec opiniâtreté pour contribuer au développement de la Corse dans le cadre de la République, mais aussi avec une particulière vigilance et un rejet sans appel de la violence et de toute dérive maffieuse.
(source http://www.pcf.fr, le 17 décembre 2002)
En toutes occasions, une seule chose a guidé notre réflexion et notre action : l'intérêt de la Corse et de la République. Je pense que la Corse a besoin tout à la fois de moyens nouveaux mis au service du développement social, économique et des services publics de l'île, d'une ambition culturelle et de la démocratisation des institutions.
Aujourd'hui, c'est un processus qui se met en place. Les communistes vont s'y engager avec opiniâtreté pour contribuer au développement de la Corse dans le cadre de la République, mais aussi avec une particulière vigilance et un rejet sans appel de la violence et de toute dérive maffieuse.
(source http://www.pcf.fr, le 17 décembre 2002)