Texte intégral
Mesdames et Messieurs les Ministres,
Monsieur le Président, Monsieur le Vice-Président,
Mesdames et Messieurs,
C'est avec un plaisir tout particulier que nous vous accueillons aujourd'hui. Je sais ce que représente cette réunion en présence du Premier Ministre, pour l'ensemble d'entre vous et pour l'ensemble de nos concitoyens qui en auront connaissance et comprendront ainsi la place que le Gouvernement réserve à la prise en compte des besoins des personnes handicapées (enfants, adultes ou personnes âgées).
Je souhaite la bienvenue aux représentants de l'Assemblée des Départements de France qui, à partir de maintenant, seront associés aux travaux du Comité National Consultatif des Personnes handicapées. Je m'en réjouis vivement.
Les réunions du CNCPH sont toujours, et c'est la vocation de cette assemblée, l'occasion privilégiée de regarder le chemin parcouru, c'est aussi celle, de tracer les perspectives de l'action politique en direction des personnes handicapées.
C'est l'occasion pour nous tous, d'exprimer concrètement notre volonté d'avancer avec toujours plus de détermination vers une meilleure considération, une meilleure intégration des personnes handicapées dans la vie scolaire, professionnelle et sociale.
C'est l'occasion d'affirmer aussi notre volonté d'améliorer les conditions d'accueil de tous ceux, qui, enfants, adolescents et adultes malgré leurs efforts et ceux de leur famille, ne pourront malheureusement pas vivre tout-à-fait comme les autres mais qui y aspirent pourtant légitimement.
Dans quelques instants, le Premier Ministre viendra lui-même - pour la première fois dans l'histoire du CNCPH - rappeler avec l'attention qui est la sienne la conviction qui a guidé depuis plus de deux ans la politique du gouvernement.
Par sa présence, par le message qu'il délivrera devant vous, par la présence à ses côtés de plusieurs ministres eux aussi fortement engagés dans cet effort de reconnaissance et de solidarité, se manifeste clairement la volonté du gouvernement de confirmer les objectifs d'intégration et de mobiliser à cette fin les moyens nécessaires pour les atteindre avec vous de façon déterminée.
Il s'agit de conduire, nous en sommes tous convaincus, une action globale, qui prenne en compte tous les aspects de la vie ; une action aussi qui, pour avoir du sens et de l'efficacité, doit s'inscrire dans la durée et partir de ce qui a été fait, de ce qui a été obtenu et de l'évolution des besoins exprimés.
Je n'ai pas besoin de souligner que la rencontre d'aujourd'hui marque une étape importante dans cet effort commun qui nous réunit.
Au-delà des bilans financiers cependant significatifs malgré leur sécheresse -, nous ne pouvons pas oublier ce qui reste à faire, pour développer, améliorer et renforcer, quantitativement et qualitativement, les dispositifs d'aide et de soutien dont les personnes handicapées ont besoin pour acquérir l'autonomie à laquelle elles aspirent en fonction des aptitudes qu'elles entretiennent, acquièrent, développent dans les différents domaines de la vie ; nous devons veiller à réduire au mieux les obstacles qu'elles rencontrent encore trop souvent dans leur quotidien ainsi que leurs familles, qui sont fréquemment confrontées à des situations douloureuses.
Enfin, nous devons changer le regard des autres, sur cette différence qui marque ceux qui portent un handicap plus ou moins invalidant. Nous devons libérer l'attention de tous pour que chacun jouisse de la place qu'il peut tenir dans la société.
Avec mes collègues du gouvernement, aux côtés du Premier Ministre, nous écouterons donc avec une attention toute particulière, les préoccupations que vous voudrez bien exprimer.
(source http://www.social.gouv.fr, le 10 février 2000)
Monsieur le Président, Monsieur le Vice-Président,
Mesdames et Messieurs,
C'est avec un plaisir tout particulier que nous vous accueillons aujourd'hui. Je sais ce que représente cette réunion en présence du Premier Ministre, pour l'ensemble d'entre vous et pour l'ensemble de nos concitoyens qui en auront connaissance et comprendront ainsi la place que le Gouvernement réserve à la prise en compte des besoins des personnes handicapées (enfants, adultes ou personnes âgées).
Je souhaite la bienvenue aux représentants de l'Assemblée des Départements de France qui, à partir de maintenant, seront associés aux travaux du Comité National Consultatif des Personnes handicapées. Je m'en réjouis vivement.
Les réunions du CNCPH sont toujours, et c'est la vocation de cette assemblée, l'occasion privilégiée de regarder le chemin parcouru, c'est aussi celle, de tracer les perspectives de l'action politique en direction des personnes handicapées.
C'est l'occasion pour nous tous, d'exprimer concrètement notre volonté d'avancer avec toujours plus de détermination vers une meilleure considération, une meilleure intégration des personnes handicapées dans la vie scolaire, professionnelle et sociale.
C'est l'occasion d'affirmer aussi notre volonté d'améliorer les conditions d'accueil de tous ceux, qui, enfants, adolescents et adultes malgré leurs efforts et ceux de leur famille, ne pourront malheureusement pas vivre tout-à-fait comme les autres mais qui y aspirent pourtant légitimement.
Dans quelques instants, le Premier Ministre viendra lui-même - pour la première fois dans l'histoire du CNCPH - rappeler avec l'attention qui est la sienne la conviction qui a guidé depuis plus de deux ans la politique du gouvernement.
Par sa présence, par le message qu'il délivrera devant vous, par la présence à ses côtés de plusieurs ministres eux aussi fortement engagés dans cet effort de reconnaissance et de solidarité, se manifeste clairement la volonté du gouvernement de confirmer les objectifs d'intégration et de mobiliser à cette fin les moyens nécessaires pour les atteindre avec vous de façon déterminée.
Il s'agit de conduire, nous en sommes tous convaincus, une action globale, qui prenne en compte tous les aspects de la vie ; une action aussi qui, pour avoir du sens et de l'efficacité, doit s'inscrire dans la durée et partir de ce qui a été fait, de ce qui a été obtenu et de l'évolution des besoins exprimés.
Je n'ai pas besoin de souligner que la rencontre d'aujourd'hui marque une étape importante dans cet effort commun qui nous réunit.
Au-delà des bilans financiers cependant significatifs malgré leur sécheresse -, nous ne pouvons pas oublier ce qui reste à faire, pour développer, améliorer et renforcer, quantitativement et qualitativement, les dispositifs d'aide et de soutien dont les personnes handicapées ont besoin pour acquérir l'autonomie à laquelle elles aspirent en fonction des aptitudes qu'elles entretiennent, acquièrent, développent dans les différents domaines de la vie ; nous devons veiller à réduire au mieux les obstacles qu'elles rencontrent encore trop souvent dans leur quotidien ainsi que leurs familles, qui sont fréquemment confrontées à des situations douloureuses.
Enfin, nous devons changer le regard des autres, sur cette différence qui marque ceux qui portent un handicap plus ou moins invalidant. Nous devons libérer l'attention de tous pour que chacun jouisse de la place qu'il peut tenir dans la société.
Avec mes collègues du gouvernement, aux côtés du Premier Ministre, nous écouterons donc avec une attention toute particulière, les préoccupations que vous voudrez bien exprimer.
(source http://www.social.gouv.fr, le 10 février 2000)