Texte intégral
Madame la Présidente de la Fondation pour l'enfance,
Monsieur le Président de la Société du cheval français,
Mesdames, Messieurs,
C'est avec grand plaisir que je vous accueille dans cette maison qu'on appelle l'Hôtel de Lassay.
La protection des droits de l'enfance et des enfants nous rassemble aujourd'hui, nous qui venons de pays et d'horizons différents. Nous savons tous en effet que c'est à travers les enfants que le monde prépare son avenir et qu'une société se juge par le sort qu'elle réserve à ses enfants.
Or, malgré les progrès techniques et scientifiques, il faut bien constater que plus de cent millions d'enfants de 5 à 14 ans sont encore quotidiennement contraints à travailler, 10 % d'enfants meurent avant d'avoir atteint l'âge de 5 ans, 20 millions d'enfants sont victimes de conflits.
Il faut donc agir à l'échelon international. En donnant davantage de moyens aux organismes spécialisés. En continuant l'action utile menée au sein de l'Organisation Internationale du Travail sur l'interdiction du travail des enfants.
Il faut agir aussi au niveau national. C'est ce que nous essayons de faire en France. En faisant évoluer le droit de la famille pour renforcer la protection des droits de l'enfant. En instituant une autorité indépendante que j'ai proposé d'appeler du beau nom de "défenseur des enfants", qui sera un recours permanent pour faire respecter les droits des enfants.
Oui, nous devons agir. Agir, comme le fait de façon remarquable la Fondation pour l'enfance à laquelle j'associe ce soir vous toutes et tous qui aimez les enfants, qui aimez aussi ce sport magnifique qui est le sport hippique, et qui êtes généreux. C'est pourquoi je tiens, en terminant, Madame, à rendre hommage à l'action que vous menez sans relâche, comme à l'action que chacun de ceux qui sont ici présents accomplit. Vous êtes ici chez vous. C'est le sens de cette soirée d'amitié chaleureuse. Merci.
(Source http://www.assemblee-nationale.fr, le 10 février 2000)
Monsieur le Président de la Société du cheval français,
Mesdames, Messieurs,
C'est avec grand plaisir que je vous accueille dans cette maison qu'on appelle l'Hôtel de Lassay.
La protection des droits de l'enfance et des enfants nous rassemble aujourd'hui, nous qui venons de pays et d'horizons différents. Nous savons tous en effet que c'est à travers les enfants que le monde prépare son avenir et qu'une société se juge par le sort qu'elle réserve à ses enfants.
Or, malgré les progrès techniques et scientifiques, il faut bien constater que plus de cent millions d'enfants de 5 à 14 ans sont encore quotidiennement contraints à travailler, 10 % d'enfants meurent avant d'avoir atteint l'âge de 5 ans, 20 millions d'enfants sont victimes de conflits.
Il faut donc agir à l'échelon international. En donnant davantage de moyens aux organismes spécialisés. En continuant l'action utile menée au sein de l'Organisation Internationale du Travail sur l'interdiction du travail des enfants.
Il faut agir aussi au niveau national. C'est ce que nous essayons de faire en France. En faisant évoluer le droit de la famille pour renforcer la protection des droits de l'enfant. En instituant une autorité indépendante que j'ai proposé d'appeler du beau nom de "défenseur des enfants", qui sera un recours permanent pour faire respecter les droits des enfants.
Oui, nous devons agir. Agir, comme le fait de façon remarquable la Fondation pour l'enfance à laquelle j'associe ce soir vous toutes et tous qui aimez les enfants, qui aimez aussi ce sport magnifique qui est le sport hippique, et qui êtes généreux. C'est pourquoi je tiens, en terminant, Madame, à rendre hommage à l'action que vous menez sans relâche, comme à l'action que chacun de ceux qui sont ici présents accomplit. Vous êtes ici chez vous. C'est le sens de cette soirée d'amitié chaleureuse. Merci.
(Source http://www.assemblee-nationale.fr, le 10 février 2000)