Texte intégral
Monsieur le Député-Maire,
Mesdames les Présidentes,
Messieurs les Présidents,
Mesdames, Messieurs,
Chers amis,
C'est toujours un plaisir et un honneur de venir à Cannes, rendez-vous international du cinéma, mais aussi de l'industrie des programmes audiovisuels. Je suis très heureux de rencontrer ce soir les professionnels de la télévision venus du monde entier.
Et je tiens tout d'abord à remercier chaleureusement Paul Zilk, Président de Reed Midem, de m'avoir invité à participer à cette soirée, qui clôt la journée en l'honneur de la France, à l'occasion du vingtième anniversaire du MIPCOM.
Le MIPCOM est devenu l'un des plus importants marchés des films et des programmes pour la télévision, la vidéo, le câble et les satellites.
Comme tout marché, c'est un lieu d'échanges, non seulement de produits et de services, mais aussi d'idées et de réflexions, notamment sur les évolutions technologiques, entre les quelque dix mille participants, représentant plus de 90 pays. C'est donc, par excellence, un lieu de diversité.
Vous connaissez mon engagement en faveur de cette diversité culturelle, qui n'est autre que le devoir de chacune de nos nations à défendre et à promouvoir la richesse inhérente à sa culture.
La production audiovisuelle, la création d'uvres pour la télévision, comme d'ailleurs pour le cinéma, contribue à l'enrichissement de nos cultures. Nous devons préserver et développer cet espace de liberté pour nos créateurs.
Cette édition du MIPCOM est placée sous le signe de cette diversité et de cette liberté, on pourrait la comparer à la diversité des flux et des flots d'une mer, qui symbolise les courants d'échanges qui la traversent. Making Waves, faire des vagues, tel est la " signature " que vous avez retenue pour cette XXe édition ! Permettre ces échanges, c'est aussi permettre aux nouvelles vagues de se répandre et de se mélanger aux autres.
La diversité, c'est ce mouvement continuel, où surgit l'inattendu, la surprise, non seulement dans le divertissement, mais aussi dans tout ce qui fait appel à l'intelligence et à la sensibilité des téléspectateurs à travers le monde.
C'est pourquoi je suis très attaché à encourager la circulation des uvres, qui nous permet de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons. C'est un enjeu important aussi pour construire l'Europe de la culture en laquelle je crois.
Je suis ouvert à toute proposition de votre part pour renforcer les mécanismes existants, ou en imaginer de nouveaux, pour faciliter cette circulation des uvres dans le cadre du nouveau Plan Média de l'Union européenne.
J'ai bien conscience que vos échanges permettent à cette diversité de prendre corps. La télévision connaît une formidable expansion, grâce aux évolutions technologiques, et aux productions dont les uvres enrichissent notre patrimoine commun.
La multiplication des canaux de diffusion répond à une demande des téléspectateurs. Elle doit s'accompagner d'un effort de production. Nous avons besoin aujourd'hui de davantage de contenus. Je souhaite que le succès de la télévision serve la culture et facilite l'accès au savoir. Qu'il permette la diffusion d'uvres originales, dans tous les genres, du documentaire à la fiction ou à l'animation, sans oublier les émissions de divertissement.
La France a une chance à saisir dans cet environnement en mutation, car elle dispose d'un atout incomparable, le talent de ses créateurs et producteurs.
Je l'ai dit, il y a moins d'un mois à Saint-Tropez, en célébrant les dix ans de TVFI, dont je salue le Président, Jean-Louis Guillaud, que je tiens à féliciter pour l'efficacité de son action au service des distributeurs et des producteurs français : la France doit s'affirmer comme une nation exportatrice de programmes, qui reflètent la qualité et la diversité de ses créations.
Les achats de nos programmes par les chaînes du monde entier sont une contribution essentielle pour l'économie du secteur audiovisuel. Ils sont aussi une chance pour la culture française qui peut ainsi toucher des publics nouveaux, sensibles au sérieux de nos documentaires, à l'inventivité de nos films d'animation, à la qualité originale de nos fictions.
Je me réjouis aussi que les coproductions internationales se développent et permettent la réalisation d'uvres ambitieuses dans tous les genres.
Aujourd'hui, c'est la journée de la France. Il y a un " label France ". Un label de qualité. Un label de compétences. Un label de diversité.
Ce label s'appuie sur les richesses de notre patrimoine, qui sont l'objet d'une attention particulière de la part de l'État et des collectivités territoriales, attachés non seulement à les préserver, mais aussi à les faire vivre et à les animer.
Je souhaite que nos paysages, nos monuments, nos villes et nos villages, soient encore mieux valorisés à l'étranger, en particulier auprès des producteurs audiovisuels et cinématographiques. Les collectivités territoriales ont ici un rôle majeur à jouer.
La France est un grand pays de télévision, qui a su développer une très grande expertise technique et artistique.
Nous pouvons, vous pouvez, compter sur la force des talents de nos scénaristes, de nos réalisateurs, de nos comédiens et de nos techniciens. Contrairement à une idée reçue, beaucoup d'entre eux, et de plus en plus, parlent plusieurs langues, et en particulier, bien sûr, la langue anglaise.
Il est évidemment souhaitable que la production des uvres puisse se faire dans des conditions économiques saines.
Je sais qu'il est parfois difficile pour les producteurs de trouver l'ensemble des financements dont ils ont besoin pour réaliser leurs projets dans de bonnes conditions.
C'est pourquoi j'ai décidé de mettre en place dès 2005 un premier train de mesures en faveur de l'audiovisuel. Je les ai annoncées le 22 septembre dernier à l'occasion de la présentation du budget 2005 de mon ministère.
Ces premières mesures sont au nombre de trois : le crédit d'impôt, le soutien à la création de fonds régionaux d'aide à la production, la mise en place d'un fonds pour la création audiovisuelle innovante.
Elles permettront de donner un nouvel essor à la production audiovisuelle française.
Le crédit d'impôt, comme les aides régionales, sont destinés à redonner du dynamisme à la localisation sur le territoire français des productions.
Nous sommes riches de notre expertise technique dans tous les métiers de la production.
Nos industries techniques, nos auditoriums, nos studios, nos entreprises de location de matériels et de prestations techniques offrent des compétences de très haute qualité, notamment dans ces domaines d'excellence que sont la post-production et les effets spéciaux numériques. Je le sais, cette technicité a un coût. C'est pourquoi j'ai souhaité faire bénéficier la production audiovisuelle d'un crédit d'impôt.
Je vous annonce qu'une enveloppe de 34 M y sera consacrée en 2005.
L'aide à la création innovante que je mettrai en place dès 2005 favorisera le développement de cet esprit créatif qui doit caractériser le " label France ".
Oui, soutenir la production audiovisuelle française, la valoriser sur le plan international, c'est aussi soutenir la création dans ce qu'elle a de plus innovant, c'est favoriser la diversité des écritures, des formats, des sujets. Ainsi, le fonds pour la création audiovisuelle innovante sera doté dès 2005, de 4 M, et contribuera au financement des uvres les plus ambitieuses, qui sont aussi celles, j'en ai conscience, qui ont le plus de difficultés à obtenir des financements.
Je crois profondément dans les atouts de la France. Je suis fier de la créativité et de l'attractivité de mon pays.
Dans l'exercice de mes fonctions, je suis naturellement, et par goût personnel, le " VRP " des programmes français. Et je suis toujours à la disposition des professionnels pour favoriser l'exportation de nos programmes, par exemple, dès la fin de cette semaine, en Chine, à Pékin, Shanghaï et Hong Kong, où je vais lancer l'année de la France, aux côtés du Président de la République.
Je soutiens les atouts de la France en Europe et dans le monde. Mais pas dans un esprit défensif. Bien au contraire. Dans un esprit de conquête, d'ouverture, et de dialogue, conformément à la vision de la diversité culturelle que j'ai rappelée au début de ce propos. Je suis un fervent partisan du développement des échanges.
Et si je soutiens la circulation des programmes français, en particulier en Europe, c'est parce je sais tout l'apport des coproductions ou des pré-ventes. Des programmes de grande qualité en ont bénéficié. Des documentaires reconnus, mais aussi des succès de l'animation français comme Cédric ou Funky cops, ou de la fiction, comme Milady, Les Trois mousquetaires, ou Dalida.
Et si je suis résolu à lutter contre les délocalisations qui me paraissent absurdes au regard de la richesse du patrimoine et des talents que nous avons à offrir au monde, je tiens aussi à faire de la France une terre d'accueil.
Je me réjouis que des fictions télévisées étrangères soient tournées en France. J'en connais quelques exemples : un épisode ou deux de Sex in the city, une série allemande, Alexandria, une série russe, l'Aventurière, une série chinoise.
Je souhaite, Mesdames et Messieurs, une industrie audiovisuelle dynamique et ouverte sur le monde.
Je vous souhaite la bienvenue en France, non seulement pour échanger vos expériences, vendre et acheter vos programmes, mais aussi pour tourner et réaliser vos productions. Car c'est ainsi que nous ferons vivre la diversité culturelle qui permet de partager, avec les téléspectateurs, tant d'émotions, de questions, de réflexions, de découvertes et de plaisirs.
La Commission nationale du film France et son réseau de commissions régionales ont un rôle très important à jouer dans cette perspective.
Elle est un véritable outil au service de tous ceux qui veulent tourner en France. Épaulée par le réseau diplomatique français, où nos attachés audiovisuels font un travail formidable, elle a à cur de valoriser nos atouts auprès de tous les producteurs d'uvres audiovisuelles et cinématographiques.
Je fais toute confiance à Frédéric Brillion, Président de la Commission nationale, pour donner un nouvel élan à cette association et pour faire en sorte que notre pays soit la terre d'accueil de tous ceux qui mettent leurs talents au service de la création.
Je vous remercie.
(Source http://www.culture.gouv.fr, le 6 octobre 2004)
Mesdames les Présidentes,
Messieurs les Présidents,
Mesdames, Messieurs,
Chers amis,
C'est toujours un plaisir et un honneur de venir à Cannes, rendez-vous international du cinéma, mais aussi de l'industrie des programmes audiovisuels. Je suis très heureux de rencontrer ce soir les professionnels de la télévision venus du monde entier.
Et je tiens tout d'abord à remercier chaleureusement Paul Zilk, Président de Reed Midem, de m'avoir invité à participer à cette soirée, qui clôt la journée en l'honneur de la France, à l'occasion du vingtième anniversaire du MIPCOM.
Le MIPCOM est devenu l'un des plus importants marchés des films et des programmes pour la télévision, la vidéo, le câble et les satellites.
Comme tout marché, c'est un lieu d'échanges, non seulement de produits et de services, mais aussi d'idées et de réflexions, notamment sur les évolutions technologiques, entre les quelque dix mille participants, représentant plus de 90 pays. C'est donc, par excellence, un lieu de diversité.
Vous connaissez mon engagement en faveur de cette diversité culturelle, qui n'est autre que le devoir de chacune de nos nations à défendre et à promouvoir la richesse inhérente à sa culture.
La production audiovisuelle, la création d'uvres pour la télévision, comme d'ailleurs pour le cinéma, contribue à l'enrichissement de nos cultures. Nous devons préserver et développer cet espace de liberté pour nos créateurs.
Cette édition du MIPCOM est placée sous le signe de cette diversité et de cette liberté, on pourrait la comparer à la diversité des flux et des flots d'une mer, qui symbolise les courants d'échanges qui la traversent. Making Waves, faire des vagues, tel est la " signature " que vous avez retenue pour cette XXe édition ! Permettre ces échanges, c'est aussi permettre aux nouvelles vagues de se répandre et de se mélanger aux autres.
La diversité, c'est ce mouvement continuel, où surgit l'inattendu, la surprise, non seulement dans le divertissement, mais aussi dans tout ce qui fait appel à l'intelligence et à la sensibilité des téléspectateurs à travers le monde.
C'est pourquoi je suis très attaché à encourager la circulation des uvres, qui nous permet de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons. C'est un enjeu important aussi pour construire l'Europe de la culture en laquelle je crois.
Je suis ouvert à toute proposition de votre part pour renforcer les mécanismes existants, ou en imaginer de nouveaux, pour faciliter cette circulation des uvres dans le cadre du nouveau Plan Média de l'Union européenne.
J'ai bien conscience que vos échanges permettent à cette diversité de prendre corps. La télévision connaît une formidable expansion, grâce aux évolutions technologiques, et aux productions dont les uvres enrichissent notre patrimoine commun.
La multiplication des canaux de diffusion répond à une demande des téléspectateurs. Elle doit s'accompagner d'un effort de production. Nous avons besoin aujourd'hui de davantage de contenus. Je souhaite que le succès de la télévision serve la culture et facilite l'accès au savoir. Qu'il permette la diffusion d'uvres originales, dans tous les genres, du documentaire à la fiction ou à l'animation, sans oublier les émissions de divertissement.
La France a une chance à saisir dans cet environnement en mutation, car elle dispose d'un atout incomparable, le talent de ses créateurs et producteurs.
Je l'ai dit, il y a moins d'un mois à Saint-Tropez, en célébrant les dix ans de TVFI, dont je salue le Président, Jean-Louis Guillaud, que je tiens à féliciter pour l'efficacité de son action au service des distributeurs et des producteurs français : la France doit s'affirmer comme une nation exportatrice de programmes, qui reflètent la qualité et la diversité de ses créations.
Les achats de nos programmes par les chaînes du monde entier sont une contribution essentielle pour l'économie du secteur audiovisuel. Ils sont aussi une chance pour la culture française qui peut ainsi toucher des publics nouveaux, sensibles au sérieux de nos documentaires, à l'inventivité de nos films d'animation, à la qualité originale de nos fictions.
Je me réjouis aussi que les coproductions internationales se développent et permettent la réalisation d'uvres ambitieuses dans tous les genres.
Aujourd'hui, c'est la journée de la France. Il y a un " label France ". Un label de qualité. Un label de compétences. Un label de diversité.
Ce label s'appuie sur les richesses de notre patrimoine, qui sont l'objet d'une attention particulière de la part de l'État et des collectivités territoriales, attachés non seulement à les préserver, mais aussi à les faire vivre et à les animer.
Je souhaite que nos paysages, nos monuments, nos villes et nos villages, soient encore mieux valorisés à l'étranger, en particulier auprès des producteurs audiovisuels et cinématographiques. Les collectivités territoriales ont ici un rôle majeur à jouer.
La France est un grand pays de télévision, qui a su développer une très grande expertise technique et artistique.
Nous pouvons, vous pouvez, compter sur la force des talents de nos scénaristes, de nos réalisateurs, de nos comédiens et de nos techniciens. Contrairement à une idée reçue, beaucoup d'entre eux, et de plus en plus, parlent plusieurs langues, et en particulier, bien sûr, la langue anglaise.
Il est évidemment souhaitable que la production des uvres puisse se faire dans des conditions économiques saines.
Je sais qu'il est parfois difficile pour les producteurs de trouver l'ensemble des financements dont ils ont besoin pour réaliser leurs projets dans de bonnes conditions.
C'est pourquoi j'ai décidé de mettre en place dès 2005 un premier train de mesures en faveur de l'audiovisuel. Je les ai annoncées le 22 septembre dernier à l'occasion de la présentation du budget 2005 de mon ministère.
Ces premières mesures sont au nombre de trois : le crédit d'impôt, le soutien à la création de fonds régionaux d'aide à la production, la mise en place d'un fonds pour la création audiovisuelle innovante.
Elles permettront de donner un nouvel essor à la production audiovisuelle française.
Le crédit d'impôt, comme les aides régionales, sont destinés à redonner du dynamisme à la localisation sur le territoire français des productions.
Nous sommes riches de notre expertise technique dans tous les métiers de la production.
Nos industries techniques, nos auditoriums, nos studios, nos entreprises de location de matériels et de prestations techniques offrent des compétences de très haute qualité, notamment dans ces domaines d'excellence que sont la post-production et les effets spéciaux numériques. Je le sais, cette technicité a un coût. C'est pourquoi j'ai souhaité faire bénéficier la production audiovisuelle d'un crédit d'impôt.
Je vous annonce qu'une enveloppe de 34 M y sera consacrée en 2005.
L'aide à la création innovante que je mettrai en place dès 2005 favorisera le développement de cet esprit créatif qui doit caractériser le " label France ".
Oui, soutenir la production audiovisuelle française, la valoriser sur le plan international, c'est aussi soutenir la création dans ce qu'elle a de plus innovant, c'est favoriser la diversité des écritures, des formats, des sujets. Ainsi, le fonds pour la création audiovisuelle innovante sera doté dès 2005, de 4 M, et contribuera au financement des uvres les plus ambitieuses, qui sont aussi celles, j'en ai conscience, qui ont le plus de difficultés à obtenir des financements.
Je crois profondément dans les atouts de la France. Je suis fier de la créativité et de l'attractivité de mon pays.
Dans l'exercice de mes fonctions, je suis naturellement, et par goût personnel, le " VRP " des programmes français. Et je suis toujours à la disposition des professionnels pour favoriser l'exportation de nos programmes, par exemple, dès la fin de cette semaine, en Chine, à Pékin, Shanghaï et Hong Kong, où je vais lancer l'année de la France, aux côtés du Président de la République.
Je soutiens les atouts de la France en Europe et dans le monde. Mais pas dans un esprit défensif. Bien au contraire. Dans un esprit de conquête, d'ouverture, et de dialogue, conformément à la vision de la diversité culturelle que j'ai rappelée au début de ce propos. Je suis un fervent partisan du développement des échanges.
Et si je soutiens la circulation des programmes français, en particulier en Europe, c'est parce je sais tout l'apport des coproductions ou des pré-ventes. Des programmes de grande qualité en ont bénéficié. Des documentaires reconnus, mais aussi des succès de l'animation français comme Cédric ou Funky cops, ou de la fiction, comme Milady, Les Trois mousquetaires, ou Dalida.
Et si je suis résolu à lutter contre les délocalisations qui me paraissent absurdes au regard de la richesse du patrimoine et des talents que nous avons à offrir au monde, je tiens aussi à faire de la France une terre d'accueil.
Je me réjouis que des fictions télévisées étrangères soient tournées en France. J'en connais quelques exemples : un épisode ou deux de Sex in the city, une série allemande, Alexandria, une série russe, l'Aventurière, une série chinoise.
Je souhaite, Mesdames et Messieurs, une industrie audiovisuelle dynamique et ouverte sur le monde.
Je vous souhaite la bienvenue en France, non seulement pour échanger vos expériences, vendre et acheter vos programmes, mais aussi pour tourner et réaliser vos productions. Car c'est ainsi que nous ferons vivre la diversité culturelle qui permet de partager, avec les téléspectateurs, tant d'émotions, de questions, de réflexions, de découvertes et de plaisirs.
La Commission nationale du film France et son réseau de commissions régionales ont un rôle très important à jouer dans cette perspective.
Elle est un véritable outil au service de tous ceux qui veulent tourner en France. Épaulée par le réseau diplomatique français, où nos attachés audiovisuels font un travail formidable, elle a à cur de valoriser nos atouts auprès de tous les producteurs d'uvres audiovisuelles et cinématographiques.
Je fais toute confiance à Frédéric Brillion, Président de la Commission nationale, pour donner un nouvel élan à cette association et pour faire en sorte que notre pays soit la terre d'accueil de tous ceux qui mettent leurs talents au service de la création.
Je vous remercie.
(Source http://www.culture.gouv.fr, le 6 octobre 2004)