Texte intégral
Le peuple Français a clairement dit NON à la Constitution de l'Union Européenne, et ainsi refusé l'inféodation de la France à un Etat supranational.
Il a rejeté la construction d'une Europe qui n'était ni européenne, ni indépendante, ni protectrice. Par cet acte solennel, il a remis fondamentalement en cause le processus politique, économique et social en cours depuis 20 ans et dont chacun a pu mesurer le caractère désastreux.
Il a ainsi réaffirmé l'indépendance politique de la France et son droit sacré à disposer d'elle-même.
Le Président de la République et le Gouvernement, qui se sont impliqués sans réserve dans la campagne en faveur du OUI, ont été nettement désavoués.
Conformément à l'esprit évident des institutions de la Ve République, ils doivent donc démissionner et le peuple doit être appelé au plus tôt à des élections présidentielles et législatives anticipées.
Il avait été clairement dit que la Constitution intégrait tous les traités signés jusque-là, et dont, d'ailleurs, la plupart n'avaient pas été soumis au référendum. Dans ces conditions, c'est l'ensemble des relations inter-européennes qui doivent être remises en discussion dans le but d'aboutir à une meilleure coopération des Etats à l'intérieur d'une Europe des Nations. Cet espoir ne saurait cependant limiter la liberté de la France à l'égard des Nations du monde vis-à-vis desquelles elle exerce une influence reconnue.
Le Front National, qui s'honore d'avoir depuis plusieurs décennies lutté pour la défense de la patrie, de la Nation et du Peuple, appelle les autres nations européennes à exiger elles aussi le vote par référendum, et à sauvegarder leur indépendance et leur identité.
Il appelle enfin le peuple Français à s'unir pour affronter les graves difficultés qui sont la conséquence des politiques suivies depuis trente ans, et à promouvoir les réformes indispensables à la défense de nos intérêts nationaux fondamentaux.
(Source http://www.frontnational.com, le 30 mai 2005)
Il a rejeté la construction d'une Europe qui n'était ni européenne, ni indépendante, ni protectrice. Par cet acte solennel, il a remis fondamentalement en cause le processus politique, économique et social en cours depuis 20 ans et dont chacun a pu mesurer le caractère désastreux.
Il a ainsi réaffirmé l'indépendance politique de la France et son droit sacré à disposer d'elle-même.
Le Président de la République et le Gouvernement, qui se sont impliqués sans réserve dans la campagne en faveur du OUI, ont été nettement désavoués.
Conformément à l'esprit évident des institutions de la Ve République, ils doivent donc démissionner et le peuple doit être appelé au plus tôt à des élections présidentielles et législatives anticipées.
Il avait été clairement dit que la Constitution intégrait tous les traités signés jusque-là, et dont, d'ailleurs, la plupart n'avaient pas été soumis au référendum. Dans ces conditions, c'est l'ensemble des relations inter-européennes qui doivent être remises en discussion dans le but d'aboutir à une meilleure coopération des Etats à l'intérieur d'une Europe des Nations. Cet espoir ne saurait cependant limiter la liberté de la France à l'égard des Nations du monde vis-à-vis desquelles elle exerce une influence reconnue.
Le Front National, qui s'honore d'avoir depuis plusieurs décennies lutté pour la défense de la patrie, de la Nation et du Peuple, appelle les autres nations européennes à exiger elles aussi le vote par référendum, et à sauvegarder leur indépendance et leur identité.
Il appelle enfin le peuple Français à s'unir pour affronter les graves difficultés qui sont la conséquence des politiques suivies depuis trente ans, et à promouvoir les réformes indispensables à la défense de nos intérêts nationaux fondamentaux.
(Source http://www.frontnational.com, le 30 mai 2005)