Texte intégral
Face au constat alarmant d'une progression de l'épidémie de Sida en Afrique, les Chefs d'Etat et de délégation, réunis à Paris à l'occasion de la XXème Conférence des chefs d'Etat d'Afrique et de France, ont exprimé leur soutien plein et entier aux propositions faites à l'initiative du président de la République Française en vue de créer un fonds de solidarité thérapeutique contre le sida.
Considérant qu'il est indispensable que les nouveaux traitements déjà utilisés avec succès dans les pays développés, soient rendus accessibles aux populations des pays en développement, ils agiront de manière concertée auprès des gouvernements et des organisations internationales engagées à leurs côtés dans le développement économique et social pour faire aboutir ce projet rapidement.
Ils ont enregistré avec satisfaction les positions déjà exprimées par l'Union européenne comme par la réunion des huit pays les plus industrialisés à l'initiative de la France.
Ils ont exprimé leur volonté déterminée de poursuivre et d'amplifier les politiques nationales qui permettront d'adapter l'organisation des soins à la mise en oeuvre des nouveaux traitements. Ils souhaitent que les premiers programmes d'extension des traitements qui vont dès maintenant s'engager dans plusieurs pays d'Afrique avec l'aide de la communauté internationale puissent être rapidement élargis à d'autres pays.
Considérant qu'il est indispensable que les nouveaux traitements déjà utilisés avec succès dans les pays développés, soient rendus accessibles aux populations des pays en développement, ils agiront de manière concertée auprès des gouvernements et des organisations internationales engagées à leurs côtés dans le développement économique et social pour faire aboutir ce projet rapidement.
Ils ont enregistré avec satisfaction les positions déjà exprimées par l'Union européenne comme par la réunion des huit pays les plus industrialisés à l'initiative de la France.
Ils ont exprimé leur volonté déterminée de poursuivre et d'amplifier les politiques nationales qui permettront d'adapter l'organisation des soins à la mise en oeuvre des nouveaux traitements. Ils souhaitent que les premiers programmes d'extension des traitements qui vont dès maintenant s'engager dans plusieurs pays d'Afrique avec l'aide de la communauté internationale puissent être rapidement élargis à d'autres pays.