Texte intégral
Application du rapport sur les sciences de la vie et de la société.
- (Ministre de la Santé et de la Sécurité sociale et secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé de la Recherche).
- A la suite du rapport sur les sciences de la vie et la société, remis au président de la République en novembre 1979 par les professeurs Gros, Jacob et Royer, un programme d'action avait été arrêté pour développer les applications de la biologie et plus généralement des sciences de la vie.
- Un conseil restreint du 2 février 1981 a examiné l'avancement de ces différents programmes, s'est assuré de leur bonne réalisation, et a retenu des actions nouvelles dans la ligne des propositions du rapport Pelissolo sur "La biologie, demain".
- En-particulier, il a été décidé de renforcer l'appui aux centres de recherche fondamentale les plus avancés de l'Institut Pasteur, des universités de Strasbourg, Compiègne et Toulouse. Les formations supérieures à la biologie seront développées ; les quatre premiers "programmes pilotes" de recherche-développement ont été lancés (carburants de substitution, fabrication de protéines, sélection des semences, immunologie).
- Il a été décidé de créer un Conseil national de l'alimentation.
- Le ministre de la Santé et de la Sécurité sociale a rendu compte de la mise en oeuvre du "plan médicament", comportant notamment au-titre de l'amélioration de l'environnement scientifique, le développement des départements hospitaliers de pharmacologie clinique, la constitution de trois centres d'expertise toxicologique français de niveau international. Le développement des technologies bio-médicales pourra bénéficier de la création du Comité de la technologie et de la logistique bio-médicales qui va associer chercheurs, médecins, industriels pour la recherche des "créneaux" d'avenir. Enfin, divers programmes concernant le développement des bio-technologies ont été approuvés.
- Le développement des applications industrielles de la biologie sera encouragé avec l'obje ctif de porter le chiffre d'affaires de la bio-industrie, au sens large, de 6 milliards de francs en 1980 à 18 milliards de francs en 1985. Le Comité de développement des industries stratégiques (CODIS) appuiera les projets les plus intéressants qui seront présentés en ce sens.
- (Ministre de la Santé et de la Sécurité sociale et secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé de la Recherche).
- A la suite du rapport sur les sciences de la vie et la société, remis au président de la République en novembre 1979 par les professeurs Gros, Jacob et Royer, un programme d'action avait été arrêté pour développer les applications de la biologie et plus généralement des sciences de la vie.
- Un conseil restreint du 2 février 1981 a examiné l'avancement de ces différents programmes, s'est assuré de leur bonne réalisation, et a retenu des actions nouvelles dans la ligne des propositions du rapport Pelissolo sur "La biologie, demain".
- En-particulier, il a été décidé de renforcer l'appui aux centres de recherche fondamentale les plus avancés de l'Institut Pasteur, des universités de Strasbourg, Compiègne et Toulouse. Les formations supérieures à la biologie seront développées ; les quatre premiers "programmes pilotes" de recherche-développement ont été lancés (carburants de substitution, fabrication de protéines, sélection des semences, immunologie).
- Il a été décidé de créer un Conseil national de l'alimentation.
- Le ministre de la Santé et de la Sécurité sociale a rendu compte de la mise en oeuvre du "plan médicament", comportant notamment au-titre de l'amélioration de l'environnement scientifique, le développement des départements hospitaliers de pharmacologie clinique, la constitution de trois centres d'expertise toxicologique français de niveau international. Le développement des technologies bio-médicales pourra bénéficier de la création du Comité de la technologie et de la logistique bio-médicales qui va associer chercheurs, médecins, industriels pour la recherche des "créneaux" d'avenir. Enfin, divers programmes concernant le développement des bio-technologies ont été approuvés.
- Le développement des applications industrielles de la biologie sera encouragé avec l'obje ctif de porter le chiffre d'affaires de la bio-industrie, au sens large, de 6 milliards de francs en 1980 à 18 milliards de francs en 1985. Le Comité de développement des industries stratégiques (CODIS) appuiera les projets les plus intéressants qui seront présentés en ce sens.