Texte intégral
Le ministre d'Etat, ministre de l'économie, des finances et de la privatisation, a rendu compte au Conseil des ministres des réunions qui se sont tenues à Washington à l'occasion de l'assemblée annuelle du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale.
- Ces réunions ont été très positives. L'accord du Louvre a été de nouveau confirmé. Les pays participants se sont félicités de son bon fonctionnement et de la stabilisation des taux de change. Ils ont réaffirmé leur volonté de poursuivre et de renforcer la coordination de leurs politiques économiques.
- La France a tenu ses engagements ; tous ses partenaires du groupe des sept l'ont reconnu et lui en ont donné acte. D'ores et déjà, elle est le pays qui a réussi la désinflation la plus rapide au sein du groupe des sept ; pour le taux d'inflation, elle se classe aujourd'hui immédiatement après le Japon et l'Allemagne et avant ses quatre autres partenaires. Son déficit budgétaire a été réduit ; il est désormais comparable à celui de l'Allemagne. L'écart de croissance et d'inflation avec son principal partenaire se réduit année après année.
- S'agissant du rôle des organisations internationales et du développement de leurs concours au pays en développement, le principe de l'augmentation du capital de la Banque mondiale, que la France demandait depuis longtemps, est maintenant acquis. En outre, il a été débattu de l'opportunité d'une augmentation des ressources dont dispose le Fonds monétaire international pour prêter à bas taux d'intérêt aux pays pauvres. La France a confirmé officiellement qu'elle était disposée à contribuer à cet effort à hauteur de 500 millions de dollars sur trois ans dans le cadre de la facilité d'ajustement structurel.
- Enfin, au sujet du problème de la dette, les pays participants ont réaffirmé leur attachement à la stratégie définie à Séoul en 1985 et ont relevé le caractère positif de la diversification récente des formules de financement offertes par les banques aux pays en développement.
- Ces réunions ont été très positives. L'accord du Louvre a été de nouveau confirmé. Les pays participants se sont félicités de son bon fonctionnement et de la stabilisation des taux de change. Ils ont réaffirmé leur volonté de poursuivre et de renforcer la coordination de leurs politiques économiques.
- La France a tenu ses engagements ; tous ses partenaires du groupe des sept l'ont reconnu et lui en ont donné acte. D'ores et déjà, elle est le pays qui a réussi la désinflation la plus rapide au sein du groupe des sept ; pour le taux d'inflation, elle se classe aujourd'hui immédiatement après le Japon et l'Allemagne et avant ses quatre autres partenaires. Son déficit budgétaire a été réduit ; il est désormais comparable à celui de l'Allemagne. L'écart de croissance et d'inflation avec son principal partenaire se réduit année après année.
- S'agissant du rôle des organisations internationales et du développement de leurs concours au pays en développement, le principe de l'augmentation du capital de la Banque mondiale, que la France demandait depuis longtemps, est maintenant acquis. En outre, il a été débattu de l'opportunité d'une augmentation des ressources dont dispose le Fonds monétaire international pour prêter à bas taux d'intérêt aux pays pauvres. La France a confirmé officiellement qu'elle était disposée à contribuer à cet effort à hauteur de 500 millions de dollars sur trois ans dans le cadre de la facilité d'ajustement structurel.
- Enfin, au sujet du problème de la dette, les pays participants ont réaffirmé leur attachement à la stratégie définie à Séoul en 1985 et ont relevé le caractère positif de la diversification récente des formules de financement offertes par les banques aux pays en développement.