Texte intégral
Le ministre de la solidarité, de la santé et de la protection sociale a présenté au Conseil des ministres une communication sur le bilan de la lutte contre le SIDA un an après l'annonce du plan du Gouvernement.
- 1 - La prévention et l'éducation pour la santé.
- Deux campagnes d'information destinées au grand public et trois autres sur le préservatif masculin ont été réalisées.
- En 1990, 120 millions de francs seront consacrés aux campagnes d'information. Un plan de deux ans à mener de concert avec les associations sera élaboré d'ici la fin de l'année.
- D'autres actions d'information et de formation s'adressent aux élèves, aux étudiants, aux militaires et à des groupes particulièrement vulnérables ainsi qu'à des professions susceptibles de diffuser l'information, médecins, travailleurs sociaux, policiers.
- La vente libre des seringues est maintenue.
- 2 - La prise en charge.
- L'expertise des médicaments susceptibles d'être utilisés pour le traitement de la maladie est désormais plus rapide.
- En 1990, le budget supplémentaire consacré au traitement du SIDA dans les hôpitaux sera de 550 millions de francs pour la création de postes et les dépenses médicales.
- Les soins à domicile seront encouragés.
- Les collectivités locales, l'Etat et la Caisse nationale de l'assurance maladie des travailleurs salariés conjugueront leurs efforts pour mieux répondre aux problèmes sociaux posés par la maladie.
- 3 - La recherche.
- En 1989, l'Agence nationale de recherches contre le SIDA a financé 229 recherches et 47 bourses d'études. En 1990, son budget passera de 150 à 180 millions de francs.
- 4 - Les relations internationales.
- A l'initiative du Président de la République, la première réunion du Comité international d'éthique sur le SIDA s'est tenue à Paris en mai dernier.
- Le Conseil des ministres européen de la santé a adopté le 13 novembre 1989 une résolution tendant à la mise en place d'un programme communautaire de lutte contre le SIDA.
- La France organise cette semaine avec l'Organisation mondiale de la santé une réunion internationale sur le SIDA chez la mère et l'enfant.
- 1 - La prévention et l'éducation pour la santé.
- Deux campagnes d'information destinées au grand public et trois autres sur le préservatif masculin ont été réalisées.
- En 1990, 120 millions de francs seront consacrés aux campagnes d'information. Un plan de deux ans à mener de concert avec les associations sera élaboré d'ici la fin de l'année.
- D'autres actions d'information et de formation s'adressent aux élèves, aux étudiants, aux militaires et à des groupes particulièrement vulnérables ainsi qu'à des professions susceptibles de diffuser l'information, médecins, travailleurs sociaux, policiers.
- La vente libre des seringues est maintenue.
- 2 - La prise en charge.
- L'expertise des médicaments susceptibles d'être utilisés pour le traitement de la maladie est désormais plus rapide.
- En 1990, le budget supplémentaire consacré au traitement du SIDA dans les hôpitaux sera de 550 millions de francs pour la création de postes et les dépenses médicales.
- Les soins à domicile seront encouragés.
- Les collectivités locales, l'Etat et la Caisse nationale de l'assurance maladie des travailleurs salariés conjugueront leurs efforts pour mieux répondre aux problèmes sociaux posés par la maladie.
- 3 - La recherche.
- En 1989, l'Agence nationale de recherches contre le SIDA a financé 229 recherches et 47 bourses d'études. En 1990, son budget passera de 150 à 180 millions de francs.
- 4 - Les relations internationales.
- A l'initiative du Président de la République, la première réunion du Comité international d'éthique sur le SIDA s'est tenue à Paris en mai dernier.
- Le Conseil des ministres européen de la santé a adopté le 13 novembre 1989 une résolution tendant à la mise en place d'un programme communautaire de lutte contre le SIDA.
- La France organise cette semaine avec l'Organisation mondiale de la santé une réunion internationale sur le SIDA chez la mère et l'enfant.