Texte intégral
Le Conseil de l'Union européenne vient d'entériner formellement, ce lundi 4 décembre 2000, dans ses conclusions, les modalités de la participation de l'Union européenne à l'Agence Mondiale Anti-dopage et à son financement.
Selon ces conclusions, " la participation de la Communauté européenne et de ses États membres sera assurée par la Présidence en exercice du Conseil et par un membre de la Commission ".
Je m'en félicite. Cette question était l'une des deux priorités que j'avais fixées à la Présidence française dans les domaines du sport.
Il n'aurait pas été compréhensible que l'Union européenne, dont le rôle a été déterminant pour la mise en place de l'AMA, ne puisse trouver un accord pour assurer la viabilité de l'Agence, et pour permettre sa représentation au sein de ses instances décisionnelles.
Le 6 novembre dernier, lors de la réunion des ministres des sports que j'avais accueillie à Paris, un consensus s'était dégagé pour affirmer la nécessité que cet objectif soit atteint.
C'est chose faite.
L'Union européenne a ainsi retrouvé sa cohérence et sera désormais mieux entendue, notamment pour demander l'évolution des statuts de l'AMA, afin que celle-ci dispose des moyens d'une organisation internationale, fondés sur un code universel de lutte contre le dopage, une liste unique de substances interdites, et des procédures valables pour tous.
(source http://www.jeunesse-sports.gouv.fr, le 23 janvier 2001)
Selon ces conclusions, " la participation de la Communauté européenne et de ses États membres sera assurée par la Présidence en exercice du Conseil et par un membre de la Commission ".
Je m'en félicite. Cette question était l'une des deux priorités que j'avais fixées à la Présidence française dans les domaines du sport.
Il n'aurait pas été compréhensible que l'Union européenne, dont le rôle a été déterminant pour la mise en place de l'AMA, ne puisse trouver un accord pour assurer la viabilité de l'Agence, et pour permettre sa représentation au sein de ses instances décisionnelles.
Le 6 novembre dernier, lors de la réunion des ministres des sports que j'avais accueillie à Paris, un consensus s'était dégagé pour affirmer la nécessité que cet objectif soit atteint.
C'est chose faite.
L'Union européenne a ainsi retrouvé sa cohérence et sera désormais mieux entendue, notamment pour demander l'évolution des statuts de l'AMA, afin que celle-ci dispose des moyens d'une organisation internationale, fondés sur un code universel de lutte contre le dopage, une liste unique de substances interdites, et des procédures valables pour tous.
(source http://www.jeunesse-sports.gouv.fr, le 23 janvier 2001)