Texte intégral
Le ministre délégué chargé du commerce extérieur a rendu compte au Conseil des ministres de la réunion informelle des ministres du commerce extérieur qui vient de se tenir à Séoul.
- Cette réunion regroupait treize ministres de pays industrialisés ou en développement, la Commission des Communautés européennes et les instances du GATT. Elle a porté sur les perspectives d'un nouveau cycle de négociations commerciales multilatérales et sur les évolutions de la politique commerciale internationale.
- Celle-ci est marquée par un recours accru, de la part des principaux promoteurs des nouvelles négociations, à des mesures unilatérales protectionnistes et à des accords bilatéraux. Cette évolution est incompatible avec l'esprit de libéralisation du commerce international qui avait présidé à la promotion d'un nouveau cycle de négociations au sein du GATT.
- L'absence de plusieurs pays en développement important témoigne des efforts qu'il reste à accomplir pour aboutir au consensus nécessaire à l'engagement de négociations.
- Pour sa part, la France a rappelé que rien n'était acquis quant au contenu d'un ordre du jour et que, notamment, elle n'accepterait pas que la question de l'agriculture soit un sujet privilégié de futures négociations multilatérales.
- Les contacts tenus en marge de la réunion avec nos partenaires européens et la Commission des Communautés européennes ont permis de conforter les positions communautaires sur ces sujets, ainsi que sur les autres questions d'actualité en matière de politique commerciale internationale.
- Cette réunion regroupait treize ministres de pays industrialisés ou en développement, la Commission des Communautés européennes et les instances du GATT. Elle a porté sur les perspectives d'un nouveau cycle de négociations commerciales multilatérales et sur les évolutions de la politique commerciale internationale.
- Celle-ci est marquée par un recours accru, de la part des principaux promoteurs des nouvelles négociations, à des mesures unilatérales protectionnistes et à des accords bilatéraux. Cette évolution est incompatible avec l'esprit de libéralisation du commerce international qui avait présidé à la promotion d'un nouveau cycle de négociations au sein du GATT.
- L'absence de plusieurs pays en développement important témoigne des efforts qu'il reste à accomplir pour aboutir au consensus nécessaire à l'engagement de négociations.
- Pour sa part, la France a rappelé que rien n'était acquis quant au contenu d'un ordre du jour et que, notamment, elle n'accepterait pas que la question de l'agriculture soit un sujet privilégié de futures négociations multilatérales.
- Les contacts tenus en marge de la réunion avec nos partenaires européens et la Commission des Communautés européennes ont permis de conforter les positions communautaires sur ces sujets, ainsi que sur les autres questions d'actualité en matière de politique commerciale internationale.