Texte intégral
Le ministre des Affaires étrangères a présenté les projets de loi portant ratification des accords euro-méditerranéens instituant une association entre les Communautés européennes et leurs Etats membres, d'une part, et la République algérienne démocratique et populaire ainsi que la République libanaise, d'autre part. Ces deux accords, signés respectivement le 22 avril 2002 à Valence et le 17 juin 2002 à Luxembourg, se substitueront aux accords de coopération signés en 1976 et en 1977.
Ces accords s'inscrivent dans le cadre du renforcement de la politique méditerranéenne de l'Union européenne, qui s'est traduit par le lancement, lors de la Conférence de Barcelone en novembre 1995, du partenariat euro-méditerranéen rassemblant les quinze Etats membres de l'Union européenne et douze pays de la Méditerranée.
Ce partenariat global avec les pays méditerranéens s'articule autour de trois grands volets :
- un dialogue politique avec, en particulier, une coopération dans la lutte contre le terrorisme ;
- un renforcement des relations économiques avec l'objectif d'établissement d'une zone de libre-échange, dont la réalisation progressive doit s'étaler sur une période de transition de douze ans au maximum ;
- une série d'actions de coopération et de formation dans les secteurs sociaux et culturels.
Dans le contexte de " l'après 11 septembre 2001 ", cette politique de coopération et de dialogue doit, plus que jamais, constituer une priorité de l'action extérieure de l'Union.
Ces accords s'inscrivent dans le cadre du renforcement de la politique méditerranéenne de l'Union européenne, qui s'est traduit par le lancement, lors de la Conférence de Barcelone en novembre 1995, du partenariat euro-méditerranéen rassemblant les quinze Etats membres de l'Union européenne et douze pays de la Méditerranée.
Ce partenariat global avec les pays méditerranéens s'articule autour de trois grands volets :
- un dialogue politique avec, en particulier, une coopération dans la lutte contre le terrorisme ;
- un renforcement des relations économiques avec l'objectif d'établissement d'une zone de libre-échange, dont la réalisation progressive doit s'étaler sur une période de transition de douze ans au maximum ;
- une série d'actions de coopération et de formation dans les secteurs sociaux et culturels.
Dans le contexte de " l'après 11 septembre 2001 ", cette politique de coopération et de dialogue doit, plus que jamais, constituer une priorité de l'action extérieure de l'Union.