Texte intégral
Le secrétaire d'Etat au commerce extérieur a présenté une communication sur le bilan annuel du commerce extérieur.
Le solde commercial de la France s'est maintenu à un bon niveau en 1999 avec 124 MdsF d'excédent (18,9 Mds d'euros). Cette légère contraction par rapport à 1998 traduit le ralentissement de l'activité mondiale fin 1998 - début 1999 et l'alourdissement de la facture énergétique due à la hausse du cours du pétrole.
Portés par la compétitivité structurelle des entreprises françaises - qu'illustre notamment la hausse de 17 MdsF (2,6 Mds d'euros) de notre excédent avec la zone euro - nos échanges se sont vivement redressés à partir du 2ème trimestre. L'accélération des échanges a concerné l'ensemble des secteurs.
En 2000, le commerce mondial devrait connaître une progression de l'ordre de 10 % en volume, soit un rythme équivalent à 1997, qui fut une année exceptionnelle. La France devrait en profiter grâce en particulier à une poursuite de la hausse des ventes de biens d'équipement.
Ces bons résultats confirment le rôle moteur joué par les échanges internationaux dans l'accélération de la croissance au cours de l'année 1999. Ils ont contribué à la remarquable amélioration de la situation du marché du travail en 1999 et seront un des vecteurs de la croissance en l'an 2000 comme en témoigne, selon la dernière enquête de l'INSEE, l'optimisme de nos industriels dans leurs intentions d'investissement.
Le solde commercial de la France s'est maintenu à un bon niveau en 1999 avec 124 MdsF d'excédent (18,9 Mds d'euros). Cette légère contraction par rapport à 1998 traduit le ralentissement de l'activité mondiale fin 1998 - début 1999 et l'alourdissement de la facture énergétique due à la hausse du cours du pétrole.
Portés par la compétitivité structurelle des entreprises françaises - qu'illustre notamment la hausse de 17 MdsF (2,6 Mds d'euros) de notre excédent avec la zone euro - nos échanges se sont vivement redressés à partir du 2ème trimestre. L'accélération des échanges a concerné l'ensemble des secteurs.
En 2000, le commerce mondial devrait connaître une progression de l'ordre de 10 % en volume, soit un rythme équivalent à 1997, qui fut une année exceptionnelle. La France devrait en profiter grâce en particulier à une poursuite de la hausse des ventes de biens d'équipement.
Ces bons résultats confirment le rôle moteur joué par les échanges internationaux dans l'accélération de la croissance au cours de l'année 1999. Ils ont contribué à la remarquable amélioration de la situation du marché du travail en 1999 et seront un des vecteurs de la croissance en l'an 2000 comme en témoigne, selon la dernière enquête de l'INSEE, l'optimisme de nos industriels dans leurs intentions d'investissement.