Texte intégral
Le ministre délégué au commerce extérieur a présenté une communication sur la politique de soutien aux exportations.
En 2004, les exportations françaises (341 milliards d'euros) ont progressé de 5,6 %, alors que les importations (349 milliards d'euros) ont augmenté de 8,6 %, ce qui fait apparaître un solde négatif de 7,8 milliards d'euros.
Ce déficit ne doit toutefois pas masquer le dynamisme des exportations qui atteignent en 2004 leur plus haut niveau historique. Il résulte d'une forte progression de nos importations, qui s'explique pour moitié par l'augmentation des prix de l'énergie et des métaux et par la bonne tenue de la consommation intérieure.
Pour encourager les exportations, le Gouvernement a pris d'importantes mesures, comme le crédit d'impôt de prospection commerciale qui est inscrit dans la loi de finances pour 2005, le contrat emploi-export qui permet de recruter dans les métiers de l'exportation, l'élaboration de plans d'action commerciale concernant 25 pays-cibles fortement importateurs et la réforme du volontariat international en entreprise avec pour objectif d'atteindre 4 000 volontaires à la fin de l'année 2005.
De nouvelles mesures viennent d'être proposées au Premier ministre. L'une d'entres elles consiste à élargir les déductions d'impôt sur le revenu pour les missions de prospection commerciale à l'étranger au-delà de 120 jours par an. Cette mesure devrait constituer une incitation pour les salariés des entreprises à prospecter les marchés étrangers. En outre, une stratégie sectorielle à l'exportation portant sur plusieurs segments de marché est en cours d'élaboration avec les fédérations professionnelles ; trois plans ont déjà été établis dans les secteurs des éco-industries, du vin et de l'agro-alimentaire.
Les exportations devraient continuer à progresser en 2005 car la croissance du commerce mondial reste forte, ce qui contribuera à la croissance et à l'emploi en France. L'objectif du Gouvernement est d'inciter, d'ici à trois ans, 50 000 nouvelles petites et moyennes entreprises à exporter. [UD 4]
En 2004, les exportations françaises (341 milliards d'euros) ont progressé de 5,6 %, alors que les importations (349 milliards d'euros) ont augmenté de 8,6 %, ce qui fait apparaître un solde négatif de 7,8 milliards d'euros.
Ce déficit ne doit toutefois pas masquer le dynamisme des exportations qui atteignent en 2004 leur plus haut niveau historique. Il résulte d'une forte progression de nos importations, qui s'explique pour moitié par l'augmentation des prix de l'énergie et des métaux et par la bonne tenue de la consommation intérieure.
Pour encourager les exportations, le Gouvernement a pris d'importantes mesures, comme le crédit d'impôt de prospection commerciale qui est inscrit dans la loi de finances pour 2005, le contrat emploi-export qui permet de recruter dans les métiers de l'exportation, l'élaboration de plans d'action commerciale concernant 25 pays-cibles fortement importateurs et la réforme du volontariat international en entreprise avec pour objectif d'atteindre 4 000 volontaires à la fin de l'année 2005.
De nouvelles mesures viennent d'être proposées au Premier ministre. L'une d'entres elles consiste à élargir les déductions d'impôt sur le revenu pour les missions de prospection commerciale à l'étranger au-delà de 120 jours par an. Cette mesure devrait constituer une incitation pour les salariés des entreprises à prospecter les marchés étrangers. En outre, une stratégie sectorielle à l'exportation portant sur plusieurs segments de marché est en cours d'élaboration avec les fédérations professionnelles ; trois plans ont déjà été établis dans les secteurs des éco-industries, du vin et de l'agro-alimentaire.
Les exportations devraient continuer à progresser en 2005 car la croissance du commerce mondial reste forte, ce qui contribuera à la croissance et à l'emploi en France. L'objectif du Gouvernement est d'inciter, d'ici à trois ans, 50 000 nouvelles petites et moyennes entreprises à exporter. [UD 4]